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c1ergé clont
h
rºortune ne soit
brm–
coup
augm2ntée par
l' etfot d'une
n~partition
plus
égale'
a
l'except io n de ceux qui ont dix
fois plus qu'il ne leur faut, et qui ne cloivcnt
redouter aucun s2crifice' puisque 'mcme
apr~s
les réductions l es plus fortes , ils auront dix
fois plus encore qu'il ne leur faudra
~'·
' ,, C'en est assez, Messieurs :
je
n.e
me
suis
proposé, en prenant la parole , que de ramc–
ner la question
a
son
véritable
objet ; et je
crois avoir rempli ce but "·
>>
M.
l'abbé
M~rnry
se
plaindra,
sans
doute
enco;-e,
de
·ce
que
j'ai
employé
de
la méta–
physique; pour moi,
je lui demanderai
com–
ment
l'on
peut; sans
métaphysique,
définir
la
propriété
de l'Empire,
le
domaine,
fixer les
_rappor_ts
,<le
l'ét2t
naturel
a·
l'état
de société;
.déterminer
ce que
c'e~t
qu'un corps moral;
distinguer les propriétés
·des in
di vidus, de celles
des corps, et les
dºroits
ci~ils
des. droits poli–
tiques. Lorsqu'on n'a
que
des termes
abstraits
a
mettre en ceuvre, .lorsque l'obj et
d'une dis–
cussion est
métaphysique,
il faut bien
l'etre
soi-meme, ou se trouver hors de
son sujet;
mais j'ai
tort
de faire ces obscrvations
a
M.
l'abbé
Maury:
Ü
,nous a déjá montré deux fois
da11s
cEtte
cause,
comrnent
l'on peut répondre