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l'assemblée nationa l e. Il me semhle qu'il
y
•m–
r oit ;:rlor s plus d'unité, plus d'ensemble; que
la
~fü1c h i ne
seroit moins com pliquée; que se¡
monvemens
seroi~nt
tout-a-la-fois plus régu–
liei-s et plus rapid€s. Mais il se peut que je me
trompe, et
j'entre
dans quclqucs détails "·
,; On vous propose d'abord d'établir quatre–
~itJgt
départemens, de prendre Paris pour
centre, de s'étendre de-la jusqu'aux frontieres
du ro y aumc' et de donner
a-peu-pres
a
cha...
que
~' ~p a rtemenr ~
t rois
cents vingt-quatre
licues
~ ~
sup erficie
'»
. " Je ne saurois apptouver cette
division
sous
¡¡n~ cun
de '
ses
rapports
,~.
»
Quatre-vingt départemens pourr.oient suf–
füe si on établissoit sept cents v ing.t com–
munes ; mais,- si Fon rejette cette seconde et
cette
immense
sous-division .
comme embair–
rassa_nte
et. comme
im~tile
,.
te
nombre des dé-
·
}J.:~ ·ititemens
dcút- étre, ,par cela seul,
a~1gmenté;
sdit
poll:r .rapprncher de
plus
en
phis
-les
repré–
serrtans
des
repté~e1Hés· ,
.ce qui doit etre le but
pr~ncipal d~
toute éldministration ,
?Oit
pour
qlii~
les
gou;ve.r,11emens,
tels
qu'ils
so1;t
main–
tenant
div.is,és ; .ne .soient pas seulement cou–
pés en
deux - ~
..ce qui
1
laisseroit .suhsister des·
tlfa~ses
en.core
tr~J?; '0nsidérabl~.s
,_ et
ne
~e.m-