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de
s1x cents citoyens
pár
cantons, de
neuf
c antons par
communes ,
et
de
neuf
communes
p ar
départemens?
N'est-·on ·pas
cléja
assez em•
barrassé pour former qm:tr e-vingt divjsions
'
'
'
1
h
.h
'
d
a-peu-pres
egal~s
, sans
e
ere
er
a .
ren re ce
travail insurmontable , comme
il
le seroit
certainement,
s'il falloit trouver encore
sept
cents vingt
autre's ·
divisions'
pour les
.:om–
munes, et
six
mille quatre cents quatre-vingt
pour les assemblées
primai1
es
»
?
L '
'
t
,
d~
.
d
.
''
on
n,a
rouve
antre
ll!-oyen
e
vamcre
ces
difficultés
-que de renvoyer la division
a
des assemb ées
locales ;
mais
la prudence
per..
met-elle . d'adop ter ce moyen
?
Toute votre
' ' 1
.
, ,
.
'
. bl
·sagesse
11ec10uero1t- e 412
pas rnev1ta
em,ent
fOntre les ·
·contradi ~ tions
, cont r e les '.oppo-·
s~tions
sans
nombre.
que vous ,verriez
naí: tre
?
le bouleversement
q:i~
produiroient
ces
~ept
cents vin g t
assemb1ées
préa lables ,
fo rmeroit
bientót, de tout le royaume , un véritable ·
c:haos
>>.
•
,>
D'ailleurs, Messieurs , ,quelle
peut -
etre
l'utilité
de ·ceitte immense complication d'as"–
~em'.Jlées
que l'on
exige
porns
la
représ·entation
· proportionnelle
?
Les
véritables mandans ne
sont-ils pas dans
les
villes et les
villa~s·r
Les
prcmieres
aggrégations
politiqi1es ne
peuvent~
· Tome ll.
'
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