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semhle que ces deux points de vue doivent
~tre
regard :s comme .i nsépa rables
».
, »
La
th~oric
du plan que je propose con–
siste
a
f'aire une division qui remplisse les
t·rois
conditions suivantes "·
>».
1°.
Que les provinces
dist~ibuées
en départemens ,
1a totalité. du
royaume
en
vingt
».
actuelles soient
d
.,
e
mamere qi1e
renferme cent-
>~
2
°.
Que chaque département soit placé·
d.ans une ville principale, et que son arron·–
dissement
soit ,
te1
qu'il puisse
facilement se
/\
'
/\
'.C
d' d • •
+.
preter a un systeme um1orme · a mm1slra- .
tion pour tout le r"oyatune "·
>~
3
Q.
Qu<2
l'étendue du département et sa
positi?n
gé?graphique
permettent áux
dép:i.~tés des villes et .des v:illages qui en foront
partie, de se rendre fücilement
~u
chef-lieu,
et qu'ainsi l'on· n'ait besoin . que de d.eux as-
(
semblées , soit poúr l'administration , soit
·pour la
r.ep:résentatio.n
proportio~nelie,
savoir:
des
assemblées de .cJ'iaque
ville
~t
de chaque
village, et
des assemblées de dér,artem.ent
>'··
>~
1
L'exécution de ce plan 11'est pas
moins:
simple que .sa théorie
».
.
>'
Ce
n'e~t
pas le
royatfme
que je vcux
f.aire
d.iv)se1~
, ma1s
les prov1nces ; et
cela
Aa 3
(