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<léputé de chaque province. Elle aura pour
base
des données assez connues ; l'étendue
géographique ,
la
quantité
de
population,
la
quotité d'imposition , la fertilité
ci.1
sol ,
la
qualité des productions , les ressources
d~
l'industrie. Ainsi , le travail du comitá se
hornera
a
établir la
regle .
de proportion sui–
vante :
si
tell~
province doit. etre divisée
en
tant de sections, en .combien de sections
faudra -
t -
il
diviser telle autre province ,
d'apres cette donnée
gén~rale,
qu'il s'agit '
d"avoir environ cent vingt départetnens
>>?
»
La
seconde opération ne peut pas etre
faite
par
le ~
meme
comité ;
ell~ e~ige
au
contraire , que l'assemblée se divise
ei1
ai1..
tant .
de
comités qu'il
y
a
de prov'inces'
et
qu'elle
ne
place dans chaque comité
que
les
députés
de
la
m~me
province.
On-
sent. qu'il
sera
facile
a
des
personi~es
qui con;ois,sent
la
population ,
les
impositio!1s, les ressour–
ces et la position géograyhique de leur
pays
l
de le diviser en aut:tnt de séctions que le
premier comité
aiita ·
déterminées;
de se
pre–
ter
a
toutesº les convenances '
a
toutes
les
localités ,
·et
d'offrir des divisions par ..
tout
,utiles et
par
-tout desirées
->~.
" Le travail de ·
cha~un
de
c~s
comités
con¡