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( 346 )

l.

& •

"

Que le droit sur lequel 1es propriétés

particulieres

sont fondées,

est,

pour

ainsi

di

re,

co-existant

avec

l'~~ablissernent

des

sociétés ,

puis.qu~

il

prend sa source dans la faculté qu'a

tout individu de participer aux avantag.es.qu'au–

tont tous les

autres

membres

av~c

lesquels il

va

former

une

agrégation politique :

or,

ce

·s.econd caractere

ne

convient pas non plus

aux

biens

du

clergé

ni

d'aucun corps;

n~ayant

·été

établis ·

qu'apres

que la

so.ciété

~

été

for–

·mée ,. ils. ne peuvent avoir aucun droit

co- .

existant

ave~

elle,

et qui ,

en

quelque sorte,,

-fait partie .du pacte

social>~

.•

31°..

Qu'iI

ne faut point de Io'ix distinctes

pour

assurer

le domaine des. propriétés parti–

culieres ; car,

a

ill'Oins d'.ordonner

des.

le prín–

cipe"

une

communauté de possessions,

l'éta–

hlissement et la

g.arantie

d~s

biens

propres

· -il'.11'.]¡X

'individus, est une suite nécessaire

de

la

fondation

meme de la société: or,, ce troisieme

-ca:1=actere

est

encore étranger aux biens

da

dergé

et d'un corps quelc<;mque. Il est éviclent

q{{a

Ieur

égard,

la capacité

d'a~quérir

ne pour;..

roit etre

qne

l'ouvrage de

la

législature et ele

1a

Ioi

H.

" Enfin, je découvre que chaque

indiviclu

jouit de son

bien'

non

a

titre d'.engagement

l