e
34; )
savoir si c'est au ·r-.iom de la nation que Péglise
.jouit de ses biens., comme c'est
pour.lanation
que le roi posseqe ses. domaines
».
»
Or, pour dé.cider
c~tte - question,
il süffit
<le comparer
les
propriétés
de l'église
avec
toutes les autres pr<?priétés qm nous sónt
connues
».
»
Je
distingue ·cinq- sortes
de
propriétés :
_les propriétés paiticulieres, qui sont de deux
·especes , . selon qu'elles
appart~ennent
a
de
simples
individus
ou
a
des corps
aut~es
·que
l'
église
>l. ·
_
->>
Les fiefs de la . noblesse , qui so'nt é.gafo–
.:menf
des propriétés particulieres , mais qú'il
-est
a
propos
de
considérer séparément '
p.our
-répondre
a
quelques
object~ns
de M. l'abhé
Maury
~
les domaines de I'Etat et les ·biens
de
1,
I
i•
eg 1se ,\).
· >»Si je
considere
les
pt opriétés
des
indi–
v idus
Q.ans
leur natúre , dans leurs €ffets,
et ,
r elativem_ent
a
la sanction de la
loi'
fe .
dé–
_c.ouvre ,
1°.
·que cha
que
in_div idu
ppssede en
-vert u
du <lroit de p osséder
qu'il
a
donné aux
.autres ,. et qi1e
t Q,us
ont doriné
a
un seul; or,
-ce premier
ca racter.e
ne
convient poi nt aux
prop riétés
de l'église , ni aux p r opriétés
d'au-
.cun
corp~
>,.