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trrnfü:res
des corps non-po!itiques,
ne dépen–
dent pas de
la
primitive organisation donnée
-i:
Pétat
social,
qu'e11es
ne
dépendent
pas
de
.Yétablissement
des
autres
propriétés; qu'elles
mr"en
sont
pas la
suite
nécessaire, et qu'elle:s
me- peuvent etre l'ouvrage
que '1.'une
loi parti·
culiere
>~.
~
Mais
a
cela pres ,
d.e
pareils
corps pos–
sedent a.vec
la
me1ne
puissance' ave e
le meme
do-maine
que de simples individus. 11.s
peuvent
-ailiéner ;. ils · disposent
des fruits ;
ils
trans–
mettent
les fomls ; ils
agisse.nten tIJaitres:
or,
Je
clergé
n.'a ni
les
fonds ni
les
fruits de
ses
·
~domai:nes.
I1 ne p-eut
prendre que sa dépense
-11ers.onnelle
sur
les
biens
de l"églist : il
arrive
.
me.metres
7
rarement que le titulaire qui pos–
se.cfe
ait le droit
de choisir le dispensrtteur qui
-d.evra
le remplacer· ''·
'~
Si des.
·propriétés.
particulJe·res,
dont
j"t
viens-
de
parler'
je
passe
a
celles de la noblesse,
·tqui sont connues-" sous.
l~
nom.
de :fiefs, il
~st
facile de
molíltrer
qu'el_les
ont tous les carac–
teres
des: propriétés de\s simples individus.
Si
r
cm
considere
le.5
·fiefs comme ayant
été
acquis
par cerne qui
les
posseclent' ce sont
la
de
vé._
ri~ables.
propr.iétés.
individuelles qui méritent
toute&
Ia: p_rot_e.ction de
la
Ioi~
Si on
regarde