Table of Contents Table of Contents
Previous Page  175 / 276 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 175 / 276 Next Page
Page Background

- 1 7

, plu

n

n oi.

magnifiqn

av

la

i

llnm

in

n lui

rd

nnant

fi

rmc tont an it

)t

n m

1

ar

n-

n.

<]ll

n.cch

)

mm n

t

nn

:fill ...

»

le)

quien

l

ara ·te

fin

d

ár

b

1 h a

<l

n

hom

r .

De' orado durante

nn

caza por un ya ·uar (tigre),

r

·on, trnfdo

1 lo

re t o\;, por u muj r p ro la abandona por falta1-

nn

p

d zo de la ari lla..

1

d pedirla para ,

u

C<-=

a

le acon ja

qu

nnu a ,

d

vu l ta · la muj r in embargo h ace esto nna ' ez, pi rde

.1

e

.1

ino y lle a a la casa de lo yaguare .

«

L

m ',re <le ces animan .,

vorace

y

éta.it

eul ; elle regoit la j nne

femme avec beau coup

~le

care e .. , et ponr que e

fil

~

a.lor.

a

la cbasse,

1

lni fas ent pa de mal, elle la fait se cach r. A leur retour, le jaguar

entirent qn'il

y

avait quelque cbose d'étrange dan la cabane, et l'ayant

<l ' couvert,

il

'eulent <l évorer cette femme, mai leur mere la défend.

11 la forcent de venir et lui ordonnent de leur enlever de la tete les in-

.cte. qui s'y trouvent., et de les manger. Ils a.vaient, en effet, la tete

remplie d'une granrle espece de fourmis vénéneuses, appelée

torocoté)

et

lorsqu'il s'a.git de le rnanger, la jeune femme, ma.lgré sa frayeur, ne put

. 'y r ' sondre. Alors la mere des jaguars Jui donna en cacbette une poig–

n,

e de graines de calebasse; pour qn'en jetant les fourmis aterre, elle

machat les graines

a

la place. Cette ruse lui réussit parfaitement avec

les trois premiers jaguars; mais

le derni er étcint pourvit de qitatre yeux

1

)

C<füx

qu/il avait derriere lci t éte,

virait la supercherie de la jeune femm

et sa d /sobéissance. L'animal furieux se jeta sur elle, la tua, et tira de

"On sein nn

enfa.nt,

qui était sur le point de na.ltre. Il le donna asa mere,

a:fin . qu'elle le <lévorat. La femelle de jaguar a.yant eu pour l'enfant la

m "me pitié que pour sa mere, le mit rlans un pot, comme pour le füire

cuire; mai , de qu'elle le put, elle l'en rétira, fit cnire autre cho e

a

sa

place et le .soigna <le on mieux.

«

L'enfant, nommé

Tiri,

élevé par elle en secret, prit bientót la statu–

re d'un homme et conserva une grande· reconnai sanee pour sa libératri–

ce

1

ui apportant

a

la dérobée le produit <le sa cbasse. Un jour elle lui

.<lit qu'un animal nomm'

yxété (Oaelogenis

Frédéric Cuvier; le

paca

des

Br / iliens)

2

lui mangeant toute le citrouilJes de son cbamp, il fallait

le tner a coups de fleches. Tiri se mit aux aguets; mai , ayant mal

di.ri

-

·é son coup, il coupa seulement la queu du paca (c'es t depui s ce temps

q ue le paca n'a plus de queue).

l.ie

paca se ret urna et <lit

a

Tiri: «Tu

1

En el original , impre o n ipo corr í nt .. npo11go qu olamente do de lo ojos

e. aban itnado atrá, 1 la cab za.

9

Un roedor conocido má bien bajo el nombre le Agntí. -

1

rota de R. L.-L\.