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173

Trois.

txare

=

t

+

xaye

=

2

+

1

1

1

roi ,

t'w¿é

=

t

+

'a!.Jé

=

2

+

1

5

o 1

La vaJ cur un . donnée au

e ond membre, vient de run de Ja

Jang ne:

Cn

ilxrire

=

il

+

xarc

=

ruain-un

Cn,

i11l'aQé

=

inl

+

'a!.Jé

=

main-un 602

C'omm

j e vi n - d

le

manife ter. n 'étant pa di outable que

lci

e t cleux, il pourrait -embler nalurel de lui doun r Ja Yaleur de tlll

a

7.-h

clan

1

el

ux qui alors

erait fo rmé d

((Uil

+

un

n .

Cela n e

t

pa non plu possibl e puisqu i] existe en atnah , tlat kauai

t autre

Jangue

de

appellatif pour J

deux clan

lesquels

ntr nt d'autre,.:

termes qui ne p ermettent pas cette combin ai-on.

Atnah

deux

nalekka

T latskanai deux

naloke

Que] r ole jouent

le

et

to,

i

11a

et

ka

adclitionn nt un et un ? La

pré ene

du posses if prouv

que

nn

vaut. cl ans

e

ca~ ,

pour rn a in,

en ·túvant au , i la con -truction de l"un .

J e met

la con, tru ti on de

ce num ' ral clans d'aut re

langue :

P eaux de li evre

un

ililxagli

=

i1i/

+

r,,c1ge

=

main-un

Loucheux

un

ilxeg

=

¡/

+

xrg

=

main-un 603

Le

umérien

donn e,

j e

croi

la

solution

de

la cliffi ulté.

U-is,

un , et

.ifas,

detn:.

out des ter mes trop pareils clan

leur pronon–

oiation pou r que lem s

a riant

phon tique- n'ai nt pas pu

e con–

fondrn ave

le temp

cl an

de~

icli orn e

qui n'élai eu t pas fix é

par

l'éoritlll'e, Ul'tout quand la stru ctur

d

cletD• numéraux p rm ttait

Ja distinction.

11

a encare trn

autre ob ervation: ptúsqu e !'origine lu mol

mam

t

gacl

et que celtü-ci a pu

lonner comm

tlérivé

11at ,

potll'–

quoi

clan

le numéral detLX,

nato, nate,

n·e t pa, main

impl ement

mai~

t• main mienn

1>'?

cl 'autant plu que clan,

e.

icliomes, il

erait

nattll'el que J po se

if

fltt

pr ' fixé.

Le derni r motil' yaut fort p eu par e qtH.'

idiom s pr ' fixont

et

uffix nt, ain

i

qu

le manif

t

lo doul 1 cluel du ch epow, au et

le nombr

cinq lo corrobore, comme note J' vorron · un p eu plu ·

tar d.

Quant

a.

Ja promi er '

uppo ition, j e crois plus appropri é de

donn er un e memc oup

a ux mol

id enliqu es ele- différ entes lau o·ue

cl'une fam ill , natureilemont ju

qu'a

la limito du po

ible, que de

lo ditfércn cier

ti

haqu

pas.

Na

comm

contra ction

el

gail

e

t

le

plus générali

é

ommr radical du

el

ux

et, irnur cela j e vois en

te

et

to

un po

o~

if.

L"'tucl e de

variantes du k cna i Je confirme :

• 0 •

Miil In , IT, p. 190.