1000001188

273

bant promovcntcm solcm. Supcrioris-favor do–

naque

comparari-possunl austri montium excel–

sisapicibus:cxund:mtiaquebencliciacum oricn–

tis maris cxacqu:1bantur profunditatc. ncgula

non nisi ronscntanea; id-quod consentancum–

est

potes!nomiu.:ll"i. Sancti l1aud nonagunt ; id–

<luod actum-cst potest promulgari.

Sií-th sún g, ci\"ilis intelligcnsquc "impe–

rator, in

ng-wo

el aliis-cjusdcm-gcncris

quin<¡ucprincipatibus itcnun erexitclarissimae

( Legis)

ccclcsia,;. Prima honitas adjll\"il, el for–

tuna fclicitaS'JIICapcrtac-fuenmt ; magna laeti–

tia desccndit,

impcl'ialc ollicium stahilitmn–

fuit.

T:ii-t s ún g, civilis milital'isque "im¡>era–

tor, ad-auxit am¡llificaritque sanctOI"Uill opcr:l–

tioncm; acccdcns f:ICCn}nou :1gcre. Quocumque

in desccnsionis magni-lo<¡ucntiac

diei

(n(llalis

dics)

ICIIIJIOrc~

dahal coclcste bal:;amum-odori–

fenun ad monendum ¡lcrficcrc merita. Disll·i–

buelml imperiales oseas atl illustrandum claris–

simac

( l.cyis)

populos. illodococli-\•irtus

~1r.

bona

henefacit, idcopotesl:lm¡>lificarc virentes. San–

cli

~1r.

corpora magnific:mt; ideo possunt ·

:~li

mcnta-dispertiro.

l'\oster· constitutus medio sanctus, divus, ci–

rilis militarisquc •

imper~IOI',

extensus·esl OCIO

rcgitnina ad lleprimendum promo,·cndumque,

remota in-lucem-prodcro. t\pcn1it noremor(ti–

nes ut solum reno,·arelclarissimum mandatum.

1/ac

emendatione penetratus-est profundissi–

mum rationis·humanac-principium. Orando,

non erubescit(illius) cor. Pcn·entus-cst ad re·

;lUlac cacumencthumilis-est. Promulgarit

tr:~n

quillitatem, et fccit-aliis-sicut-sibi. ,\mplissima

misericordia-donatus, sub\·enit omnibus áflli–

ctis. Uona bencficiaque cxtcnsum-cst tot \'ircn-

prCsentaient l"t'lcriture impCrialo, ornCe dodra–

gons (13). Les picrrcs prCcicuses, ench<issées

d:lns ces tablenes, jetaient nn Cclat

chatoy~nl

commc cClui du rol de l'hirondclle des caux, el

se ré0Ccl1iss.1ient sur les nut-es ,·ermeilles

cicl. Ces inscriptions impériatcs, suspendues

dans renceinte ct sur le frontispice

ílu

temple,

étaient comme tes

~-~yons

de l"inteJiigence

([lli

dissipenl les tCnChres

l"immense el sombre

\"ido, et,

s'Cierant dans

l"csp~ce,

semblaienl

fairc rougir le solcil dans sa coursc. Les dons

génCreux de l'cmpcrcur

sont

comp:~rablcs

hauteur aux sommcts les plus ClC,·Cs des mon–

tagnes

móridion~les;

leur action bienraisante

Cgalc en profondeur ccllc de la rncr·

oricnt~rlc.

La foi religieuse n"csl pas m1e chose qu'il soit

défendu de prati<¡uer; ce qui

est ¡ll'~tical¡lc

peut

Ct1·eproclamó publiquemcnl. t.cssaintsqui gou–

\·ernentles peuplcs ne sont¡Jas

S.1llS

faire des

actions; ce <¡u'ils fonl peut Ctre :mssi rendu

public.

2:0.

trl:s-écl~ir·ó

empereur Sou-Lsoung

(756-?6:!)

li.t ét;•blir de

nourc~u

des Cgliscs de

la rehgion 1\lustre

i•

g-w

o l1 et

~utres

licux, dans cinq

princip~utés

(1lc l'oucst). La

bvnte primitivo, qui nous ;11'ait

f~\·orisés,

nous

fut continuCe arec 1:1méme confiancc, et nous

fUmes combiCs de fillicités. Une source de gran–

des prospóritós descendit d'en haut sur le peu–

tlle, et l'autoritl: impériale fut solidement éta–

blic.

21. l."cmpcrcu1·

lellré et guerricr Ta"i-

1soun g

(í63-ii9),

agrandit encare la sphi:l·

re d'action des hommes religieux en consen·

tanl il ne pas lem·op¡>Oserune;lctioncontraire.

Cha¡¡ue fois, au jour annirersaire de sa nais–

sance, il offrail en don de l'encens cóleste pour

¡)rúcher l'accomplisscrnent <l'actes méritoires.

11 cnvoyaitanssides mets desa table irn¡lérialo

pour rCpandre de l'éclat sur la roule qui prati·

quail la (religion) illustre. ;\insi, l:1 I'CI'Itr bien·

faisante du cicl recompense les bonncs

:~ctions:

c'csl pourquoi elle peut grandi1· ks \"ÍI'ants; les

saints (empereiii"S) grandissent les pcrsonncs

(auxquelles ils donnent des marques de cousi–

dération):c'cstpourquoi ils peurent contribue1'

:'1lcurcntretien.

'2~.

i'iotre saint, di\·in, letti"Ó ct guerricr

empercur, qui a donnC

:"l

ses années de rCgnc

le nom de fondali on dan s le mili e u

(ki e n-t cho ún g):

l"em¡lcreu¡· l' é-tso ll·

(780-783),

a ótcndules IIUil grands

prín–

cipes, les huit ró¡::les fondamentales du gou\·er–

nement, pour dégrader les fonctionn:1ires indi·

gnes, el éle\'er

des cmplois su¡lél'ieurs ceux

qui mCritaienl de I"Ctre, enmettanl ené\'idence

cenx qui se tenaient Cloigués. 11 a I"Cmis aussi

en huniére les neufgrandes classes de lois 'lui

doi\'ent goU\"erner l'empire, dans le but déter-

3ii