4-
HAR
twir . 00 pnoque un \1100
~u
boUl du cblé perct de
aom ;
iI
cO
eDl~lIt
daos
le
bois, ce qui donne de la
force
'0
ba.rp.",
V
oil" le
harp..
en
bois . Celoi en plitre eo diñere,
en ce qu'il eO coyiroo de deux 00 Iro'S pouees de long,
&.
que ehoque partíe fendue
dl
eood!!"e
en
I;,ns contrat–
re, ee qui
form~
le fcdlt:m nI.
L'oía¡¡e do
blZrpo"
.Iors ell de relcuir les c1oifoos
&.
pws de 1>oi. daos les encolgnores; on emploie les
har–
' .'11
i
plalre ou I'on oc pem fe fervir de. .urres.
Les
anciens les faifoiem de cuivre
1
&
ils :1\'0' m r3i–
(00 de
pr~fl!rer
cc méel . u fer qui le dteompofe
f.ci–
lemeot,
&.
doO! la rouille 00 chaux
ptn~lraO!e
peree
"·travers les pierres, les marbres mcmes,
a
I'.ide de
I'homidilé,
&.
les IBehe . lis arréloieOl leurs
harp."J
'YCe
le plomb foodo .
HAIlPON ,
(Mari•• .)
e'eO on
j.vc\ol forgé de rer bat–
tu
auquel on enle un manche de bois de
Ií~
i
lepl pits
de longocur, ou I'on alroehe ooe eorde . Ce
hare'" •
la poinle aeérte,
Ir.neh.me&
Iri:mgulaire, en torme
de deehe . On s'en fen pour l. peebe de l. baldne,
&.
de quelques autrCS gros poilfons. Au boUI du
barp."
JI
1
a un anneau auquel la corde eO all.chte;
&.
lorf–
qu 011 •
I.oe.!
le
barp.",
&.
qu'il ell entré dans la ba–
leine, elle fe plonge al'ce vhelfe; on file l. eorde,
&
1'00 la fuil p.r ce moyeo .
(Z)
HA
R
P o
N ,
(irTari"• . )
ce fom des fers
lraneh.osfails en forme de S \ que I'on met au bom des yergues
pour couper, lors dI> I'aborda,;e , les haulbaos,
&
aUlres
manceuvrc, de I'ennemi.
(Z)
H A
R
f'
O N N E R , c'ell darder le
barpoli,
Voyez
¡'artid,
J3A LE'
N
E.
H A
R
P O
N N E U
R, f.
m.
(Mari".,)
c'cn uo
m alelot ou .utre homme de I'':qllipage
en~al\é
par le ca–
pil.ioc pour jencr le harpon lors de
13
peche de la b.–
leine . Toul matelot n'eO pas proprc
¡¡
darder le harpan ;
iI
fom élrc drelf¿ :; celle mauceuvre .
(Z)
H A
R R
E N L A N D,
(Glo~,)
Feme province de
L ivonie, au N. O . fur le gol te de Fiolande ,
&
en
parlie fur la mer J3altique; Reve! eo en l. feule viII•.
(D. '] . )
HA
¡{
T, f.
rp.
(J
"riIPr. )
fe prend en celte malie–
re pour la peioe de la potence .
VO)'tZ
P E
N:P
R
E
&
POTENCE.
(A)
.H
A
R T BE R
G,
(Glog , )
vill~
d' Allemagne, fur la
riviere de Lau lilin..l. dan< la
balf~
Stirie.
HARTENBuURG,
(Glugr.)
pelile ville de
Bohemc,
,
HA
R
T E N , F E.L DT,
(Glo!.. )
petit diOria d'AI–
lemagne dans la Souabe.
H
A
R TE
F O
R D,
(Glogr,)
ville de l'Amtrique
feplenlriooale, capi!.1le d'ufle 'colpnie de memc oum,
dans IJ nouvelle Aoglelerre.
Lo,,!.,
304,
latit .
41. 40.
(D ,
'] )
-
H ARTZ ou FORET HERCINIENNE,
(Glogr,)
cha,ne de
mOOla~ ncs
&
fOI et Ires-confidérable lilOée
daos le duché de Bruniwick, enlre le Wefer
&
la Saal,
&
qui s'élend depu's la riviere de L eille jufqu', eelle
de Selcke, dans la principallté de GrubellhageD
&
d'An–
hall,
&
dans les comlés de R cinnein
&
de Hohennein .
Le
Harez.
,n ¡res-tameux
par
fes mines d'argent
&
d'au–
Ires m¿l:iux, T omes
le~
mines d'argel1l appartieouem
a
I'élcéleur de Hanovre, a I'cxceplion d'un
7<
qui ap–
parlicllI au duc
di:
¡3runfwick-W,i lfenbOllel, Le Block–
sberg ou mODl Broa. re eO la plus haule mODtagne du
HRrtz. ,
&
n,,':me de lOme l'AI)emagne, Cuivalll quel<Jues
aureur .
JI
n'cll poim d'endroit en Europe ou la felCII–
ce des m illes
&
la Métallurgic toient ;>l lIs ell vigucur
qu'au
Harn,
11 Y
a prefque par-10m d.. Il¡ines
a
I'ex–
ploilation defquelles 00 Iravaille,
&
des fonderies pour
toules ilirles de méeaux. Le
H a,'tz.
fait panie de la
¡orie
Herci"imn,
connue des Romains ,
&.
fameufe par foo
tfleDdue immellfe . (-)
HA R TZBO
U
R G,
(groeu
J,)
Hifl. "at.
grot–
te fameuCe
p~r
foo élend!le
&
par les Oalaailes fingu–
liers qui re torJTlenl
d1t]~
Ces foülerreins, 00 précend
que jllfqll'a-eréfelll I'oh n'en a pOlO! eneore pu trou–
ver la fio , C.lle
grou~
en filuée pre de G oDar, dans
le
H arn, '
peu de dill.ncc du vieux cMleau de
Hartz.–
¡OIlT~
•
¡.j
A R TZG E ROD E,
(Glogr. )
pelile viIIe d'AI–
lemaglle de la h 1IIe·Snxe, dan,
la
priocil'aUlé d'Anhall,
fur la Selke, emre Schwa"bllrg
&
Falkeonein, .dans
les él3ls de la braoehe de Bernboorg.
Long,
30, 6.
la–
tito S/.
4,
(O..
J .)
HA
R U D ES,
(L E S)
f.
m ,
pI.
(G/og.
ane.)
ao–
cien peuple de l. Germanie qui vim Irouver Arioyifte
e~os
les G aales,
&
fortifier
d~
vingt-qoatre milI<: hom-
HAR
m
foo umh, qoi
ñn
nt'lnmoin<
buroe
Su "
n de
élu,
I~
6<11.
~.;II.
¡, .
J.
e ,
...
.r.r .
Dqo
1 .... ,
il
n'dl
plus p:u lt
de.
Har~/,
Di
d
n
t;~fu.
ni
d.o
U¿IO–
ne, ni dao TAcilC, oi daos aucon hillorien
<le Rome.
'ell rolie de chereber
svec
Ch"i queJle élo'l lcur
demeurc en GeTman e , . ce qu'il de" urenl .
'C!Ul
'lui
écb:1 pcrenr
de
Is dtlitile
d'
Aro ille ,
¡;,
perdireD!
.pp~remme", dlUls quelqu'llu,e o
000
dOD! ils
'=1
eJ)–
fu te le oom,
(O.
J.)
HAR U PICE,
r.
m.
(Oni• • ,.)
cha les Ro–
~aJns
c'éto;em des miniO,es de
la
reli,'on ehtrgés
rpé–
elalemeO! d'examiner les elll 'l
des vi imes, poor
en lir r des pré12ges,
par-12 eooooitre ou CODJCaU–
ter
I'Jv~nir .
ous croyons qu'on do'l
~erire
:linr. ce mot
b"'.IPi–
en,
porce qu'il eO dérivé
d'h"r..
~",
qUI cha les pre–
mier~
R oauins figni60il
In
'.trainn I n
ri8imn ,
&.
du
verbe
..¡piu",
voir . conridtrer ; u comme d' Ulfes le
penfenl,
d'bara. boJ1i"
,
uoe " Ialme. Q uoique quelques–
ons fotltiennem que
1'0 0
doil orthogrnplier
. rIlIPíeu,
dé–
rlvan[ ce
m Ol
d'ar~u
&
;.[pie~r~
avoir
l'lnfpe
ion
dls
aOlels; 'ma;s on Cait que celte
in~pcBion
o'c!toil pu la
fona ion principale de ces prelres plyens
&.
qu'.u con–
lraire leur marque, diOinai,'e éroil d'euminer les eDlrail–
les des unimaux olfe" en faeri6ee .
L e
p ,
Penon dit que ce mOl <!Ioit origimliremem for–
mé du cehique
a.,
foie,
&.
d
Jphio,
je rcgllrde ou
confidere; m3is que ce lerme paroilfant aUI R om"¡os
dur :.
la
prononciation, i1s I',doueirem en faifanl e.lui
d'
arMJp. x,
qui en moins rude qu
l
".[p.x .
00 Iroove
dans Fen us ce mot
bar" i!.a
OU
bard'g.. ,
par Icqu. 1 11
emeod une via ime dOn! on conlidere les elllr:tilles, lan–
di qu'dlc; foOl eocore en ender ou daos leur élal oa–
lurel , Sur quoi M . D.cier obferve que
barfliga
el1 dt–
rive! dn gree
Afie,
bllitT,
parce que c'<'loil proprement
un b6licr qu'i1s immoloiem d'Jbord; mai, dOlls la ruite
ce 110m devim commun
ii
100les fOrles de vialmes.
Les Elruriem éloient de IOI1S .les peuples d' lrolie ceu!:
qui polf6doiem le mieux la fcien,ce des
har"lPiuJ,
C 'é–
toÍ! de leur pays qde les RomaDs appelloieOl eeux dont
ils fe fervoicllI . lis envoyoienl\ meme 10US les an, en
Etrurie lIne cerluin nombre de jeunes g<ns ponr
~lre
iD–
Oroil< dans 1 .. eonnoilfaoees des
harRrpÍ<a;
&.
de peur
que cene feienee ne viOl
:l
s'avilir par la qu.lirt des
perfollnes qui
I'cxer~oieot,
011 cho,lilfoit ces Jeunes genl
parmi le, meilleures familles de Ro me,
I1
psroir en ef–
rel que fous les rois
&
dans lesyrcmiers lelOS de l. ré–
publique , cel art fUI fort refpeBt1 mal
il
n'. 11 fut pu
de méme, lorfque les Romaio' polis par le commerce
&.
les fciooees des Grees devlnrent plus t clairt• . Leu..
favans
&
leurs beauI efprits pl3lfanloienl fm le compte
des
bartt[pirtl .
C ieéron, dans
l. livrt
JJ,
ti. la
".,,,,,
titl tiimx,
nous a conf<rvé le mot de Catoo, qui di–
foit qu'il ne coneevoil pas commeot on
bnn'fpiu
pou–
voit eo rc¡¡arder un aUlre funs rire ;
&.
combien de le–
aeurs riroOl du mOl de CalOn , qui ne s'.ppercevroQt
pas de l'applic3lioo qu'on Ienr en feroh!
11 7
.voit
~
Rome un collége
d>har.IPiet/
jlarlieulieremeOl chargéa
du culle de
J
upiler lonnanl , On les nommoit eocore
,xliJpiul, Poy.z.
EXT'SP'CE S,
(G)
H ,'\RUSPICINE, r.f, (Oivi",) I'artoub fcicoee
des harufpices , ou d¡vination par I'inrpcaion des enlrail.
les des viaimes . Ce mot a
la
mémc tlymologic qu'h••
",¡pirc .
V.ytZ
ci-J,vlmt
HAR U- PICE.
L'har"IPtci" e
avo'l fans dOllte fes regles;
&
il en pro–
blable que «ux qui la prariquoient, Tuivoieol ccruios
principes ,. quel<¡u'abfurdes qu'ils fulfeOl : mais foil qu'ils
oc les commuo.quafielll que de vive voix
&.
fouo le fe–
erel
a
leurs difciples, de peur qoe leurs
im~onllres
ne
fulfem découvertes,
&.
pour rendre leur proletlion plus
refpeaable, en la couvraOl de ce vOlle mynériellx; foit
que \es
Iivr~s
qu'i1s en .voient écril ayenr piri par I'inju–
re de lems,
iI
en eenain qll'aucun
n'~ll
porvenu juCqu'.
oous;
&
d':.illeurs on ne voit po;m que les ancien, les
ayen! cilés, contidéralioo qui doit faJee inclioer poor le
premier feOl iment.
Mais
ti
les principes de ceHe fcieoee Conl ineoonus.
.Ies opér. lions oe le foO! pas, Les haruCpicet contidé–
roienl premieremeDl la viélime, lorfqu'oo I'aprrochoit
de I'autel,
&
la rejenoienl ,
ti
elle avoil quelque rache
00 fouillure légale. LorCqu'elle tloil immoléc ,
i1s
eu–
minoieO! I'trat
&
la difpofidon do foie , du
e~ur.
del
reins, de la rate, de
la
Iangue .
lis
obfervoienl foigoeu–
fe",e>1[ s'il n'y paroilfoil poiO! qoelquc fUlrilfure, 011
aUlrc fymplOme défavorable , Enfin ils
r~ardoieO!
de
quelle maniere la flamme environnoil la vraime
&.
1_
brploil, quelle éloir I'odenr
&
I:¡ fumée do I'cocens ,
&.
eom-