HAV
. '>« de gran.des manches, une ce'nrule de h 'ae,
eX
POl–
leat on cTuelfix rOl le
e
lé g>oche .
H A V E E ,
f.
f.
(Co",mtnt.)
droil qoe
~'exe!eolcor
de la haure-J onite prenoít aUlreroí, rUl les
g~,
&
den·
.les
qai f. vendoient dan, les muche! de
Pom..
Les Ib–
bt5 de :liDIe Gtotvieve avoic/Jt r2ehete! ce dro!1 mo
en–
mm
cinq 101, de lente .nnoelle q o'i1s Iui p. oient le Jour
de Icor rete. C e droil fubline cocare en plu!ieJes eo–
droits, m>is fous
00
aUlre 110m.
V.,·a.
HAY
CE.
Di–
eitl:
7"air~ J~
CDmm,,,ce .
(G)
H V
EL,
(GI.K.)
rivitre
ti'
Allemlgoe, qoi a f.
(our::e
lU
doehe! de Meekelbourg , arenfe d'abord Fur-
1'eaberg, entre dans
la
marche de Brandebourg, re por–
lage de lem,-en lem" forme qaelq
t
He"
&
apres
s'~tre groffie dc plu!icors perites rivieres,
&
3voir
6n.le–meot b:ligné les murs de Hawell>e'1l.., elle re perd dsns
l'Elbe, vis-a-vis de Werbell.
( D .
:J.)
H
A
V E L
13
E R
G,
H,w,lb<rgIJ ,
(Glog. )
perile ..il–
le d'Allemagne
lU
cercle de Bat1re Sue , dIOS l'e!leao..t
de Bralldebourg, avec un e!véehé
ruffra~.nt
de Msgde–
bourg, féeularire! en faveur de l. malfan de Brande–
baurg , • qui cene ville eO dl!meuréc aprcs ""oir c!1c!
prife
&
reprife plu!ieurs fois dans le. guerres d'
lIe–
magne . Elle eO Cur le Havel ,
3 9
Iieoes
N . E
de Sren–
dal , l)
.0.
de Br:mdebourg.
Lo"g.
;0.18.
l.t.
n .
4· (D.
J .)
• H
A
V E
E
A
U ,
C.
m.
( P itbt. )
lelme ufilé don,
le rerror! de l'.mi"ul/! de la Roehelle. Ceux qui fonl
b
p~ehe
avrc ce ret 1'c!tabJirrem autremenl
!
la melQue
dans la gironde; le ch.loupe en fsns voile; fon cOté
• n-Ilavers; affourchée fur deux aneres; le r<l
it
n ribord
for
Jo
m~l;
le rene de la m:n(eUVN! comme
aOI
t utres
baleaol
péchelU~.
Si les t"ver!iers fonr pris de calme ,
b. qu'i1s veulent p!eher au
h"vt. t6",
ih mencnt ho"
leuls acons
&
placent for I'aniere >Icor 61el, comme
aux félardieres de la Garonnc: trois Com dans I'aeon ,
deul ramenl
&
refoulem la morée. Le poiffi
n
en en
d '::lerminé
3
fe
pOrt~l
,'ees le
b""""",, ;
ce ret a Ces mail–
)~s
de quinze hgnc en quarré; cetle péche peut donner
beaucoup fans nuire ; la marée tenanl toOjours les mail–
les du rer ouvertes
&
lendues , le perit poirron peut s'en
c!ehnpper Cans peine. D'ailleues eomme on le releve dans
l'cau, le peeheur en ma7tre de reJener
u
la mer ce qu'il
ne veut p's garder.
Voy''''
ce ret dans nos
PI"",blJ
J.
P hb•.
La fc!lard icre, forle de hatC3o , en ufage fur
13
Ga–
ronoe,
&
qui peuI tenir l. mer, ferl
~
la p2ehc .u
ba–
'lJt"e,,"
pour les cheyretles, les fanles
&
les pucelles.
L es grandes fc!lardieres 1'001 de beau teme jufqu'. la
R ochelle ; elles 001 vingl piés de J'élrave
a
I'élambor
c¡uinzc
a
feize piés de quillc , deu>: pié.
&
demi fur
qltill~
JuCqn'iI la Jirre; 3U milieo frx pié.
&
demi de large; I'é–
Ir.vehaO!; trois vorangues; les bords titits communé–
m ent de frx planches :1 clin; le m!1 au tiers; une voi–
le
~n
laogue;.
quelq~efois
un fecond
~!I
• levam; ja–
m a.s deux vOlles,
ni
hanoenes, oi éta,"es.
Dans la péche, on Ote le gouvernail qui feroil plom–
oer l' étamhor par fon poids. Le pécheur doit veilJer
(3ns cerTe
3U
danger de coulcr has,
&
avorr un hacholr
tout prét pOUl couper le cable au moindrc mOuvemenl
de la félardiere .
Le
baVtntau
de Garonne ell le
m~me
ioOmment que
celui dont fe fervent
a
pié les pécheurs b35-normans,
~
la grandeur pres.
La
p~che
des chevrettes qui fe foit
i
ce Jilel , pe dure
qoe pendant les chaleurs de Juillel, Aotlt ,
&
Septem–
bre ; parTé ce tems, les Pécheurs eonlinuent au
b..
"e–
""'" a
plus grandes maille. la péche des muges, mu–
lets, guOes
&
galS.
11
Y
a
ii
la
fél ardiere une Retile poOlle .ppelléc
hIJ–
..iojlt,
d'cnviron dix piés da haul, fur laquelle filOt pls–
eées les
de.nxbarres de
I'ba"o" a,,;
ces
barre~
faite
s
de
peciu fapios ronds , d'cnviroll vingr piés de loog, pios
menus par le has que par le haut, fe croiCent
&
fom
3(.
rc!tées par une eheville de Cer; une uaverfe de boi, les
tient écartc!es . Au' bout des barres, il ya une aUlre
Ua–
velfe de corde
a
laquelle la pl'che ou le fac du
h"tlt·
na,.
eO amarré.
IJ
ert- aum frappé fur les deul c61és
des perches juCqu'
aupl~s
de l' élambor , lieu ou cor–
refpood le fond de
la
p~che
doO! les mailles les plus
InrAes fOD!
:1
J'
3Vam, d' ou
elle~
vont en diminuam
juCqu'au food qui eO eontenu par uoe corde Ikhe
3
<Eillet que le pl'cheur parre dans les chevill.s qui alla–
chem la barre
3
la félardiere; ce, cheviJles oot
ch.eu–[le environ dix:huil :1 vingl pouces de haUleur .
U
11
feul homme daos une félud iere peut faire
la
pe–
che pour cel effel ,
iI
Jetle fon anc.-re ou peritOgrappin :
le ,ablo! amarré
a
nribord
a
Tiugl
a ..
ingt-cinq
"ra1f~
HAV
de long;
&
idos
b",.r
pr'
de
la
fél.udiere, e
r.
pie u, le cablut une lu,'.,,-liere e il brúr , •
rée
~
b2s-borJ ; I'élllrrb
r
el1.s
rl
i
1
our ,
coaune les b2rres do ñlel 10111 d...:> tOl
I
t..ore
le
de mlnierc q e le
1"..
,.,,..
etl lDfpendu
en
équ
Ji.
tc
le pécheur le
ph'o~e
l;,n pein<; il o'enlre d
n<
I',,~~
que de qtUlre p i
é5
so plo
o
le dot porte npide'Deol •
c..
le fae lo chevrenes
le r ....i, .
11
oe rel., e Iluetc ""ndaD! une mlrée que
dC1U
lIois fois, for-lou l '1ulad on
p~ehe
de
ti
r.
i l. pc!che le eonunue de ¡Ulran, on revire d· bord ;
on releve eo peCam fur 1 bures; le< bir
le.'te, o..
les 2rléte
a"cc
uo petll
c"rd.>~e
pbcé
i
cel
;
aJu"
le pécheur nJlutre don, un coin de
It
poche ce qu'il a
pri ,
&
le lraufpo'!e dl0S on
J>Ulier
ou b.n.Ore.
Le
pe
heurs fe plaeem (oOJ uc< plolicors les uos
a
cOlé des .urres. fUl uoe méme h¡;oe, .ño de s'eUlre–
fecourir au beCoin ,
&
fur-loUl
ur fe lenir éveillc! ,
Le
moindre choc implévil fail 10urner 1 tél rd:ere ;
chaque félardiere de pocheur n'el1 guere C!lo'gn6, de la
voiline Que de deux b",rre .
Les fé rardieres qui péeheD! la ehe,'rctte ne fe foOricn–
nenl pu
ti
lilcilement
:l
la marée, que celles qoi
~chem les multlS, parce que 1
l1es
de
/'.<Jt.t~"X
¡
chevrell e!tant plus Cerre!s faot ruler
dav
ntalle
&
plom–
bu
a
I'arncre.
Les mailles des
b""m•••x
de quelques endroits fOI1l
de fept ligoe. en quarré
OUI
cOté
&
~
l.
1~le,
&
di–
minuent fuccefli vemcnt JuCqu' rrois H,.;,nes
qu'clto
out
a
peine ven le fond do rse .
Vo)'t"-
.0'
PI."ch<, d.
P¡ebt .
Voi)'. pour les
b"...
"ta.x
i'
ehevlelles ;
CCUI
:l
mu–
lelS COOl plus gnnds; i1s ler veO! :\ la p che des mo–
lets, furmolels
&
autres poirron qui entront dans les ri–
vieres . lis Ont la maille de ncuf rgne, en quarre! ; l.
p~che
.VtC
ces lelS fe
r.il100le I'anné. tom de Jour
que de ouil; les
P~eheul
s'srrembJcnt en
.,101 gnll1d
110mbre pour b2rrer la tiviere; le fac de
1'/,,,,,,",.,,
a
quarre bralfes de largeur,
&.
111IaO,
de
pro~
ndeur. L es
P~eheoes s'e!I~bJirreOl,
comme nous I'. von décrit ci–
dcffilS : mais i1s rilquent m ios , plr la facilil/! qu'"s ont
. :1
manceuyrer leur Tel, quoique plus grand él:lltl moins
peCanl,
&
la lar¡¡eur des mailles oppolilOt
a
I'coau moin
de furface
&
de ré/illanee.
LorCque la
p~che
des chevrelles 6nil , celle des mo–
lels
eX
Curmulets commeocc; elle ne fe titil que de
011-
rée mOntame ou defeendanr.; les tems de gros vem'
y
Com
favorobles; le rel ne plonge
d31~ I'~-:l\l
que de deol[
pIé ; le
p~cheur
a toOjouls la mlin fur les bJrre. du
b4fuluall;
s'iI manquolt de reltver
3.U IDoindrc
mou·
vemeot, le poirron rebrou(feroll ehemin.
11
n'en ell p.
ainfr de, efquires ou chevrellcs; qoand elles lonl dll"
le fac, dles
y
rencor .
• HAVENET , f. m.
(Phbt.)
ce ret eO 06té dans
J'amiraulé de Sainr-Malo; on prend
le
poi.)"", pIal au
hav o", ;
iI
en formé de deu! perches ero rc!. s de boi.
le.;«, chacone d'environ d uze pié
s
de 1
'"'1'
Ces per–
ches pOllenl
¡¡
leur
ejlrémi,~
le 61el qu'dles to m ou–
vrir; il n
trei~e
a
quuna e pié. d'ouve"urc ; I1 r. udne;
il n'eO chargé oi de plomb ni d'aolre corp pe/3m ; le
peeheur le ..leve d'aotanl plus lilcilemem;
le
perch<.
fonr tenues ouvertes: par une petitc
uaverfe
qui s·cm..
bolte
i
monaife d'uo bout,
&
qui eO roorchu< de •',u–
Ire. Elle eO placée en viron • Irnis p.d , fo r la lon–
gueor des perches du cOlé du
p~cheur
qni pau(fe cel
ioOrumem dennt lui. L e reOe do l'c ell amorré fur le.
cOlés de
I~
perche,
&
fermé d'un peril ti lel qui relient
le polrron .
HAVERFORD -WEST ,
(Glog. )
ville :1 morché
d'Anglelerre, en Pembrokeshire: elle envoye deux dé–
pUlé. au Parlemem,
&
eO
:1
6)
Iieue. O . de Londres .
L O"l·
.1. 40.
lat.
rr.
[6.
( D .
J.)
H I\VERIENNES GLANDES ) ,
A""' omit.
H o-
vers medecin anglois,
&.
membre de la Coc'c!rt rOylle
de Londres , • puhlié des nouvelles obfcl Valions Cur les
o.
&
fur leurs parlies . Enlle autres chofes , il tr.ire en
particulier des glandes mucifagincufes;
iI
a
d~couvert
qu'elJes fo ot de deul[ efpeees; les unes pelil'"
&
difpcr–
fc!es par pelotoos fur les mcmbrancs des
ar
'culalions,
&
les amres plus grandes
&
fe rc!unirr'nI par paqueu;
00 les nomme
gla.J"
ha'lltrit""" .
Voy.:c.
M
UCI
L -
I:. NEUX.
~oo
ouvrage eO inlllulé,
7'b..
/ogia
" ova ,
L on–
dres IÓ9 I ,
i"-8
Q
•
le
m~me
traduil
fou~
le lilre de
N.–
,,<:
'l"..
Ja",
oh!"va,io"n
á~
.¡¡i.",
,
""rjio
. 0"",
&e.
AmOelodami, ' 731.
(L )
• H A
V
ET,
f. m.
(MII"lIurgi• . )
efpe;:e d. ero–
~hel
employé • différeos ofoges
a.nsle travail de
b
calunine
&.
dJl
cuivIe mis
«D
lailOD. JI
Y
a aom
0 11
ioUro-