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que d o une cable p¡ rtic1Jl;ere d'un e tt.! ~'f'C!"C 'f–
ícm~ns do t.:rreo d: lt:!utrc . ,r~,w:.. ... &I\' EL !:.•• ( K)
H A U E R, \'Crbe: a . ' ,,..ir, pi., ¡In ,; e'~n
el!l urm~ Ji' C flmnurct' , :!og-menter le Prix d'tJoe e ~ fe ,
e:n offrir plus qu'uo "utre:, r mallre de lJ h.offe. r· ....
)"~ HAUSSE.
HA\r ER '0' ",,,i/fo>3u , (111"r;1« . ) en terme de mer,
Jigni6e appmeher un .oiffeau que ('0 0 vo', de 10'0 ; ell-
1o¡ t~ qoc t'on puiOc mienx rc;:onnoi,.c f:l f3~riqUC', &
q ucl il en. (R)
H.... S E Ro, 01 UTm! á'Orfrt'rt' t'~ Toffrrit'; c'dl
«!l,lrgir une p;ece d'orfévcric:., en Ini dono nt de 1,.. pro–
fon:leor. H iJufj" un pl3t, une 3ffieuc, &~. e'd l éteo–
dre la matiere du centre: 3 f. eireonférctlec pour flire
les bou~cs ou les marlies d'ég:lle ép.ilfeur que le fond.
Vo n Bo CE & MARL'E .
A U S lE RE, ( lllar;",.) V.Y'~ H A N • E RE.
H A U T, a 1. (Gr., "",,,i,,.) ,erme rel:uif qoi fe
dit d'uo eorps eOIlr.déré fclon f., "oifieme dimeofioo 0 0
fOtl .!Iévarioo au-derr!ls de I'oorifon ou C<1.-de-ehaurrée.
Vo)'n HAUTEIIR .
Le pie de T élléritfe p.lfe pour h plus ha"t, moota–
gne du moode. La ¡(raode pyr>midc d'Eg,.~te .voir
fept eents foi ante & dix toiCes troi qua,,< de hauteur.
L a tour de S. Paul, .va'" que le feu I'e(lr eonfumée
e o 1086, . voit cioq ecns v iol¡r piés de ballt, y eom–
prcodrc un globe: de ellivre fur le uel éroir une erol" Qui
POrtO;t quio1.e Dit< & dcmi de baut. Les tOurs de N o–
tre-Dame de París o'ont que deux ecos dou?e pi~s de
I;a"t . VOJe::. HA UTEU It .
H A UT, fignitie 3Um élé"é en pouvoir & en digoi–
té. Voy'~ TITRE 1.:1 QUA LITÉ •
D leu eft fouvent qoali6é dans l'Eerirure, " Trh–
" aut.
00 dit fur la terre b" ut & puirranl Cei~neur .
00 doone aux Erals·Gtoéraux des Provinces- U nies,
le titre de Harlta Puilf.nees. Vaya. ETAT .
On dir eo Al1~leterre la chambre hall" dtr Parlcment.
V oya. P¡"RLEMENT.
I-i AUT , <11 Jl;1"/i~r,,, figni6e la méme chofe qu'q;~H;
& ce 'erme en oppoCé :l bas ou ~rav,. C'en .ior. qll'OO
dir3 qu'il falJt ch::mter plus htfut; qll'un tel infirUln em
en monté trop hatte. Voy"" AIGu, SO>l .
H aHt; Ce dit eocore des parties de l:t Mulique qui Ce
fubdi vifent , pour exprimer la plus élevée , l. plus aigue :
ha"t~-(olltr~, bnflt~-etlil/~. Voye? al m oeJ.
. H A UT, en "r"'<1 de 81a(." , fe dlr de I'ép.!e droite ,
H .~ U T, (ill",·fue . ) meUre les mÍ\ts de huno ha'ttl;
e'cl1 les relever & mettre en place .
. H A U T , (Cam:>1Cr« .) fe dit en rermes de b.nque,
du ehallge de I'argenr, ollaod ji eH pllls fon qu'oa o'a
e iitume de le pay«. Voya. CHANCE. (C~
H A UT eH eneore en ufage dans le Commeree, pou r
fignificr , foil la valeur enraordiolire des efpeees, foir
Ja chcnc! exceffi ve de~ vivres. Jar,l:lis le, monnnie en
F ranee n'om éré ri haN' " qu'cll 17l0. L e blé a é,é
(un ham en '741 . (G)
1:-1 A u T; un clit nl Fa!J&(Jnn~r;e .. volcr haut & gras.
HAUT A' HAUT, (VI",,;<.) cri qui .ppelle les
ehiells & les f"it venir ii foi ou fon elmlrade, & lui fait
revoir de fOil eerf peodanr un déia", .
H A U r 1.:1 H A UTE, (Cla... ) ce mor eo Géog~phie s'emploie par oopolirion :\ eeloi de
bal , poor ren–
dre le fupcr;or des Latills oppofé de m~me ~ ;,,(er;or,
sfin de diviler un pays plus commodémcnr; il fe di, le
pl us ordmairetneot du eours d s rivicres , d nt ba,,' en
toujollrs le plus prcs de fa fouree. e'ell .inli que l.
ha.•u -Sore, fe dinin~ue de la barre-".!e, Cclon le eones
de l'Elhe ; (lluvenr .um iI s'entcnd du voirina~e des
nlomag nus, commc I:t hauee·l-Iongrie , plTCC ql1'cllc en
elltre le mont C"paek & le Danube ; le ha,"-Lao.!{ue–
doe, pare qll'il di pIas du e6lé des Pyrénécs ; la hau–
t c-Egypre a qU8milé de moota~ne" & la bllfc·E~yptc
n'eo :\ poiat . Ce mot de hú:<t ou b,,"t, Cert dOlle :l la
divilioo de plulieur provinees, leur< artides por–
tieuliers; Outre cela il ell joim illfép.rablemcnr 3 plu–
licurs autres ooms . & devieor aillli le Dom pro!,re de
pl uficur< lieu". (D. J.)
H .'\ U T ,\ f N , ldj. (Cramnt . ) en le fuperlatif de
¡'::;¡; 6< d',tltí,,; ce mot l1e fe dil que de ('.Ipeee hu–
maine. OD peut dile en vers :
.U", , ·""jiu pl';1I d, f<l< '<1Inl1l fd tit, alriero .
J'aime min/x eo f(Jrlts 31tiercs
Q..¡,u cu jardinJ p¡"NI/¡ par rIIr e.
~~ on De PCUf p2 C:ire, for¿t balllai,,,, tete /'aulaioc
H AU
d'un ortier. On :> bljm .uns , b lh–
q e e'ell l rt, ces vc:rs 3 Jun. ec!1
Et dGIJ C~I ,. ~.JMX .. IntTs
F••, ~.(.".e ItJ t' J_U,
l is fl.1 ....,.gll el "s.
il ruo',
Ou" pr<!teDdo que I'.ut~r :1. foo Cé mll-l-pr I
3m<"S daos ces ftpulcres: 10." on D"oi, fe fO:I\'el1;r
qu'¡¡ y ",'oit deux rorres d'sm<"S che~ le< ;;t _11 i",1 •
.'une. tLOi[ Pe.mendemem" &. l'su~ P \ re l~:'t r~ , I~
fimulaere du corps. Ceu demi<re retloi, qoelqoclo;.
dans les tOmbelux, ou erroir aUfour d'col . L. Ih¿ I -
gie "ncielloe ell ,,!lJour des Poc, tce que
e'cn eelle de I'im"'liooti n. O ,. er(l cene ~ti,e obf.,–
V2tioD nt!ceffilire.
114;Jt,'¡" en: lO j\)or$ p"; en ml\1"!I¡f~ pUl; c~en •• r–
gue;1 qui s'aooonee par un ew!r:cur "rrolr.lot : e'en k
plus sur moyen de fe fuire hair, le dU,u, dont 00
doi, le plus Coi neufc,nent corriller les ent.n . n peu,
~tre b.lUt I'ocafion avee bieorélnee. Un prioee
peut & doit reJe" er ""ee uoe hllltu.r h<!roi"que dL'S propo–
fidons humili.lOle$, mais non p2S avec de sir ha.ltliws,
un tan haNlaill, des paroles ballltli." . Les h mInes –
doonem quelql1efois .ux femmc:s d'é,re b...,,,,.n, p r–
ce qu'ils leur p.rreot 'OUl; mais les autres femmes oe
leur pardonoem pa .
L'.me hUI en I'ame grande; 13 ballt..i,,, en fu;> r–
be . 00 ¡>CUI avo'r le ereur h~lIl, .ve<: besue up de 100-
dcO ic; On 0'1 poinl I'humcur hllllllJi,,~ fun un pcu d'il1-
foleoce. L 'infolent d i ¡¡ (,é~:1rd du h ,.ta;" ce qu'ell It
halltai" 3 I'imp<!rieux; ce font des ouooe qui Ce fui–
vent; 6: ce, nU3l1ees fom ce qui Mtruir les fl'non me• .
00 , eer anicle le plu eou" qu'oo" pO, par le>
mEmes mira os qu'on p:m ,'oir 1111 m"t H D I LE; le
Icaeut fem eombien il feroit aiCé & eonu eux de d el -
Oler fur ce~ marieres .
H A U T - AL '-' E M A N D, (Gra", ...ai".) e'en
le I.ogage allemmond le plus d<!1i~t & le plus poli, ,d
qU'vD le parle <11 M ilo1e. Poyn . L A){CU!: 1.:1 TEUTO–
l< IQ I!.
. HA UT - AP P AR E fL , •• TA ILL E HY–
P O G A S T R f Q U E , (Cbirltrg;'.) eft une opér3rioo
p.r 13quelle 0 0 tire la pierre hors de la veme , 3U mo–
yeo d'une iocilion flite ;, foo food, ;, la panie iofé–
rienre du bas-ventre, au·derrus de la fymphife des os
pubis.
0 0 en redevable de (,idée de ee(te." opénuioo i Pier–
re Fraoeo, oaur de T uriers en Proveuee I qui ñu fon
.!tablilfemenr a Oraoge, apres .voir erercé la Chirur–
gie üvee diftinélioo en SuiITe, ou il étoil pcnlionné des
villes de Bcrne & de L auranoe . L 'impnffibilir.! d~ tiret
uoe pierre du volume d'uo reuf de pouk i un enfaut
de deux aos, .pres de v.ios elfons; les grlnde< dou–
leurs du , les vives iDn~Oec:s des parens, & un
fencimen l d':1mour-propre, oe voulant p:lS, die l'autcnr,
qu'iI lui fli t reproeh.! de n'.voir f~a tirer la pierre; r"lIS
ces motifs le détermiocrem iI f. ire uoe iocilioo .,,·def–
fus de I'os pubis , fur l. pierr< meme qu'il folilevoir
avcc les doigrs d'une main, introduits d:UlS l':lOUS, pen ...
dant qu'un .ide I'alfujeuirroil par uoe eomprcmon • l.
plrtie inférieure do has-venere . L. pierre fur tirée, ~ le:
Dlalade guérit . Ceue 1riOo • tlé publi6e dans l.
Chin"gi< de I'.uteur, Lya" 1f6 1.
Tous eeur qui om éerit depuis fur I'opération de l.
raill. en hallt-appareil, ('om bla lOte refer.e du eon–
fdl qu'il donne de oe pas fo ivre foo etemple. Avee UII
peu de réflexioo, on auroir trouvé daos eet avis & dan.
fes motifs le fondemem du plus éloge, Ce trJ'~
ell le rriomphe de I'amour de l'humanir.! fur I'amour–
propre, & la prcove d'un cfprit mflr qui I~"it Joger d~-¡
ehofes .vee difecroemem; rien eo e:ffet n'auroir été plus
pardonnable a ('a"'em que de eooeevoir de foo opéra–
tioo & du foeees qu'elle 3 eu, I'opioion avantageufe
qu'eo om pris eeux q\li eo om parlé ~pres lui; mais il
n'y avoil aueuo exemple d'uoe f.mblable opér:uion; &
l'auteur , en publiant celui-ci, loin d'en tirer 2v~n·
talle perCoooel, C~ blSme de I'.voir entrepriCe par UD
prlllcipe de vaOilé; ce qui, fuivam fes pro}>ros etpref–
lions, .!toi, ¡¡ lui graode folie. Les .cc:iden, mirem Pen–
f.m en danger, paifaue FrollCO di, eo lermes formel.
que le pa,ieo. fut guéti , oonobllam qu'iI en mr bieo ma–
Ilde. D 'aprcs ces eooúd¿rltions , eomme", fur un feul
I'.oreur, judicieux eomme iI I'en , fe feroir·il er6
.utoriCé a établir une méthodc panieuliere de laille au–
delfus de I'os pubis? le eas allégué, uoiqoe dans Coo
efpece, ne pouvoi, ~tre rcg>rdé que eomme une choCe
c~traordinaire; & cela eft d'.o~nr plus veai, qn'.ueu"..~