HAR
Le
h.uJfg
(amo! , -appcllé
<r4!{IUli"
pU
le people en
F
r~oe"
elt do
b.:vtJfg
qUl
ro
élo! famé
O<
f.lélégere–
menl;
le.
Hollandoi, l'Jppellem
boekHm,
&.
en fOil! eas
10rClU'tl a été fumé réeemmeOl; alors lis le mangeDt
avee de
n,ncs
de beurre.
H!I. R E N G A D E S,
r.
f.
( 1-111.
"tU.
¡tlhiolog.)
pen. poilf!ll! fcmblables
~
de pelites alofes ;
00
leur don–
De
guai les ooms de
eai//i
¡U"
&.
de
lafeha.
00
les
preod en J!rand nombre prcs d' Agdc. Roudelet ,
h11ol–
rt áts p.iDóIIs .
(
1)
• H A
R
E N G A I S O N ,
r.
f.
( e .mm.
&
P icht
.)
úifon de la peche des hareng., ou le tems do leur éclair .
• H A R E N G U I E
R E,
C
f. (
P /&ht .)
ms
a
pe–
tites maillc; , ufité daos le rdrou do l'amir.uté de Ca–
reotan
&
d' lfigni; on peor raPr.orrer cene forre de pe–
c he
~
eelle d., pares. L es mallles des hauts pucs. des
étalier
&.
des
harA" { ;,i",,,
0111 depuis on'te Jufqo'¡j qUJ–
tone Iignes e n quar,
é.
C e 61els fe lendeot cooformé–
ment
¡¡
l'ordonnanee
&
:¡u!
d~c1aralÍQos
du 18 M ars
1717 , c'eCl·i\-dire bout
Ji
lerre
&
bOUl
a
mer . L es
p~
ehcars des cOtes de eaUl:
&
de Picardie y adaplen! des
perches de donze
a
quio'te piés de hnuteu r; ce qui leur
2
fll .t donner le nom de
hnues,pa"s.
Les pecheurs des
autres eules ne les teOderol pas plus haut que lell" ten–
tés ordinaires:
Ii
leurs perches étoient plus élev.!es ,
b
upidilé du flOl
0 0
de l'ebbe les enleveeoit .
JI ell
a([oz
ordlnairc de placer les
hanmgllicru
au bas
del tCllles, le plus avant :\ la
mee
qu',l
ell
poai ble;
quelques-ul1S peatiquent au bnul uoe efpece de circuir
qui retient le poiU'on plus IOllg-rems ; iis garniU'em ce
mcme c6u! d'un rets tramaillé : la haureur du eets cmier
n 'excede pos quatre
ii
cinq piés de haiacue .
La
p~che
du harcqg avec les
h~ut~-paecs
ne fe prali–
que quo depui, la
S.
Michel jl1fqu':\ la Sto Calheeine ,
c'ell·:J-dire l'erpace de deux mOls
j
colle du petit
m~qucrcau ou fanfonnct au
rncme
n!ts ) c ommcnce
com~
llIunémen¡ au l f A vril
&
fi nil
1111 I f
Juilkt.
H
1\
n.
Ir
L E U R ,
H artflQtum, Har/ltv;um ,
&c.
(G /og. )
nlleienne villa de France en N onnlllldie , al1
pays de Caux; res forrifi calions 0111 ¿té
ra[ée~
&.
fon
pore s'eCl comblé.
1.osAn<:lois la prirclII d'a([am en
141
f .
l/o,,? la
defeript. hiflori'l"t
&
g./oJ!, rapbÍflrte át
Itf haute "'N ofmaffáic
on vous trouvcrC'L
des détails
fu r
e tic
ville. Elle
eCl
'prcs dé 13 mer, fu , la Lezarae,
a
unl'
li.uede
Montivil"er~
\ deux dl1 fiF ec lix
S. O .
de
Fl'
al~p,
qu¡tr3ll1e-q"arre
N .
U.deRou~n ,
[ej'¿e
N .
O
de I"arts.
L ong .
2 1.
f l .
2 7.
lat" . 49.
30.
2~,
(p.
'J. )
H AR I , H ARRI ,
r.
"1.
( I/bl<l'it. )
c'el! le cri
dÓIII ufe le piqueur pou, donnec de la eraime 31lX
~hiens ,
lorfquc
b
bé le qu'iis chaffi:1lI s' eCl accompagnée , a6n
dele obliger d'en garder le change .
'
H .'\ R 1C O T,
1.
rr. ,
phafeQlrtJ, ( HiJl . nnt. BOlani,!,)
gence de plame
3
fleu, papilionacée; il fon dl1 cahce
Ull pi(lil qu i deviem d3ns
b
[uile une
liIi~l1e
longue;
e elre lilíqlle renf<rme des remences qui ont
l~
forme d' un
reill oU
<I'UI1
reuf. L es plames de
oc
geme
0 111
trois
fcuilles fur un pédieulc . T ournefort,
i"jl. r<Í ht rb.
1/0-
y.?
P
L A N
T E .
( 1 )
Boelhaave comple 15' erp.eees de pharcoles m. ugea–
bies ,
&
Bradlcy plus de r o.
mai~
leurs \'ariélés aug–
rnentoOl m us les
jour~;
cependam
IlQU~
nc décrirons iCI
que la dommllne, le
Pbafo&lm 'lJlIlg"ris
des BotaniCles ,
que Rai 1l0mll1e
fln ilax horttnfis.
83 racine el! grele : tibreu[e; elle
pou([~
Ulle tige lon–
gue. ronde , ram el1rc , gui grimpe rm des échuluts eo¡n–
me le Jircron,
&
s'art3cHe nux corps voifins qu'elle
rell–
c ontrc, juCqu'. former
¡le,
b eceaux dans les,jardins. Ses
feuill~
fortenr par intcrvalles reois
3
trois ,
:i
la mal1ie–
re des rreilles, arrez larges , pointues
p~r
le bOUl, char–
nue~
\ prerque femblables
a
eelles du lierre , Ii([es ,
&
foutenues par de longiles
queu~
venes .
D es aillelles des feumos nnilfcnr des Rellrs légumineu–
fes bl.nches , ou pompurines; quand ces Reurs
Cc>nt
paf–
fée~ ,
il
1c11[
fuccede des goulres longues d'un demi-pié ,
q uj tioilfeot en poimes érrqitcs ,
~pplalie
,
¡¡
del1x
coC–
fe s
d'at¡ord ehamues , vertes , enruite jaunltres
&
me
m–
braneufes en fe féchanr . L eur
ti.~ure
eCl celle d'une na–
eello d'ou ceite plaote liee fon nom latin. L es fe men–
ces qu'elle condeOl fOI1l a([ez giortes , femblables :l un
t cin , tres-polies, blanches , ql1élql1efois pale-jal1nl 1rCS ,
rougdl cres , grires , violenes , noirhres , ql1e1q ucfois vei–
n ées
ti
femées de difféeenres IiBnes ou taohol de m utes
COrtes de couIeurs
a~réables
ii la vÍle .
Ol¡ reme celre pi:lI11e au primems dans los ch. mps
&
d.nsles jardins
¡
elle eO annuelle.
f1~uril
I'été,
&.
mueit 1'3uto m!'e; Ol! la mllnr;e en goo([o quand ene
el!
eocore verte
&.
tendu: ; on mango auai fa femence dé–
pouilllfe
F
cP/I:es :
I!O~
¡es
. ppelloos alors
ft'ilrro/lt~
HAR
39
O n peol conferver les
haricots
avec
l""cs
goullcs pcn–
daol toutc: l'aDuée, tO 16 confi(ant 3u vinai"rc 2\'C'C
une faümure de fel.
o
L 'h"l'l&ot
d'Egl pIe
pbafoolus c.5J·ptiacus
,,;(ro
fomi"t
eCl un :trbre funncmeox qoi pou([e
tes
bran'ch
6:
f';
feuilles comme la "igne , 6: pOlle d
Heurs deo. toís
par
an. Profper 1\ lpio vou
en
doonera l. ligure 6: la
defcript;oO; vous lrouvesn daos K rempfer celle du
pha–
foO/ld
des Japonois, dom i1s fom dC5 mm liquides
&
folides.
(D.
J.)
H AR ICOT,
( b rett
&
Mat. ",. d. )
Perfonoe n'ilinoee
I'ufage de ce légume dans la
cuir.ne,
&.
que fa remence
fournit Dn 31imcnt utile
&
com:node;
die
nourrit
beau–
coup , elle
conviene
en
(OUt
(elflS ;\
ceux qui on[ l'e–
Clomac bon ,
&.
qui fom leune,
&
robulles, ou qui fODl
beaucoup d'exeecicc; mais les perfoo",,,, délleates, les
gens d'érode
&
ceuy qui menent une vie fédenraire doi–
veOl s'en abClenir, paree qu'elle en vemeule, qu'clle
eharge l'eClomac ,
&
re dige,e difficilemem. G eoffroy ,
Mal.
mld.
&
Lemery ,
Trai,l
dn
4Iim~nI.
Ceci n'ell veai que des femences d'
harÍ&ot
mares
&
feches;
C3r
les
barÍtots
verds tnangés avec
lel.lrgno(fc ,
lorfqu'ib foOl tendres
&
dans leur primeue, tourn!([ent
UD aliJllenr .queur ,
lr~s-pel1
abondant,
6:
qui fe diger.
prefque aum facilement que la "IÍlpan des herbes que
oous préparons poue l' ufage de nos tables.
L es
harreots
p.lIenr poue .péritifs , réfolmifs
Q<
diu–
r~tiques
'.
&.
pour exciler les mois
&
les vuidanges.
On f:ur el1lrer leur tnrine d. l1s les caraolaCmes émol. ,
Iiens
&
réColt¡;'fs ,
&
elie vaut tOUt aUl.m·pour cet urage
que les qU' !rC fa rines appellées
l'.fol/lti1Jt~.
I/oyu.
F A–
R I NES RÉ SOL UTlVE S .
PI1
a an ribué ii la lereíve de la cendre des riges·&
des
goufies
d'haricot
une vertu particuliere pour faire
fortir les eau r de hydeopiques: mais co mme nous l'ob–
fer vons dans plll lieurs anicles , ii·propos de pareilles pré–
tenrions , 13 plup.n d<s
f~ls li~iviels
n'onl
pr~rque
que
des propriélés communes .
I/oyt :::.
SEL LIXl I' IEL .
(b)
H RLE ,
C.
m.
mtrga»ftr ,
Aldr.
CHifl . nato Orni–
thol.g.)
oifeao
:¡quatiqu~
qui
p~re
quar,e livres; il
a
deu ~
piés qoa" e pouces de!' longor ur dcpui. la poinec dI! pec
JuCqu'¡j l'ex rrémÍlé de la queue Ou des piés ,
&
lrois
pié quarre pouces d'eovcrgUTI" Le dos en large
IX
plat
¡
la partie filpérieure du cou
&
d~
la
l~rc
a Ulle euuleue
verte nolrarre
&
brillante ; la fa,e rupé,ieure du corps
eCl 'Pelée 'de blanc
&
de 1I0ir .
La
queuc a uoe coulcur
eeod,(!e; la face inférieure du eorps en grife, :\ l'éxce–
ption des arles qlli fOIl\
blonehlrre~
r n-de([ous . y e
b~c
eCl étroir , deneeJé, crocl¡u, en pacuo no ir 6: eo partie
't'oux,
&
loóg
d~environ
frois pouces . L es piés ont une:
belle couleur de rouge,
&
il
Y
a une membrane entre
les doigts. L es
pl um~s
dll fommet de
b
tete font hé–
ri([ées
&
fo,Í!
paro,,~e
13
tete plus gro([e qu'clle ne l'eft
en effe! . Cet oircau fe oourrit de poilfou. R aí,
ljno/!.
av i" m , parto
e XXXTV.
H ARLEBECK .
(G./og. )
pet;te place ¡le la Flandeo
aurrid1ienne, fur 1:1 L ys ,
ii
une licue de Couerrai , fept
S. O . de Gand.
Lo".~.
2 1.
t.
latit.
f O.
p.
( D .
J .)
HARLECH,
( G¿og. )
perite ville d'Angleterre , ea–
~itale
du M érioncClhire , dans l.
provinc~
de G alks ,
a 168. niilléS de L qndrcs.
L ong.
13.
l.O.
lat.
p .
H .
( D .'].)
'.
HA
R
L E
JI4,
ou
H A A R
L E
M ,
(Glo~,)
vllle des
Provinees-
U
oies dans la H oq.nde; !'ancien nom eCl
H aralhem.
On ne fait ni quand , ni par qui eeue ville
fut comllleocéo ; mais du tems de Thicrry
V
I.
en 11
f f,
elle
~toic
déj:l peoplée
&
. ([el.
foriifi ~e ;
en ' I2 17 , les
bourgeois de
H arltm
aecompagncrent Guillaume J. qui
p~rtoit
pOllr la Terre-f:¡inre .
H arltm
eft dans le lerritoiee des M arfatiens , allcien
peuple dOn! le P' ys de
K ennttntrl",,¿
a p-¡is fon 110m;
elle a élé la capitale de ce pays, qui eCl
parl.~é
entr e
plúlieurs villes ;
6:
fa partie occidenl,!le ell
toalO~rs
de
la jurifdiéliol/ de
llarlem.
AUlrefois
la
ville élO't fell–
le,nene . u bord mér'qional de
13
Sp"e, riviere qui [e
jelte daos " Ye
ii
Sparcmdam :
mai~
l';Il
140:) , 011. a.g–
grandil l. ville ,
&
on l'étel/d,!
~u-del a
de ceue. nv ,,–
re , qui la lraverfe :\·préfent. En 1310 , les chevahees de
I'H6 pital de S. Jean de J érufa lem furent reyas
:1
H ar–
lem :
al,m po([ede-r-elle dans fes archives bjen des cho–
fes cu rienfe, rur I'ordre dos ch<valiers de M alte , donr
iI
3urOlt été
¡;
fouhaiter que M. l'abbé de Ven ot eat
eu connoi(fancc.
C ette viIIe a été incendiée plu fieurs fois dans la fuire
des' lems; favoir en 1347 . en 13ft,
&
en
1
f8 7. En
1f7t , les Haelomois fe foamieeor au 'prince
d'Or~o&e,
011
phit6t $'.y donoe,enr. En 1>73 , elle
fur
obhgee,
apres I\ne
9,~fenrc ~dmirable ,
de
fe
rendre auf E filPa-
goo s