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HAR

H"RBE T ,

S.I.""bo,i<J ,

(G/~ .

" il1ed' ....

fi~d1ns

le D i

, p,ache d'Anúd, Caos l.

donún~lion

du lUrc,

avec un

~rche.~qne arm~",cn

&

nn

~rche'·~que

fyrien.

L ."J.

r'l·

l.l .

La/.

40. H· (

D.

J.)

HARBOROUG ,

(Glogr.ph.

)

ville

d'

Angler.rrc

dans la prvvioce d. Leicefl er.

H ."RBO U C HIE

,

(cri

4,Ch./T<.)

Le piqncur

doil fe fer vir de ce lerme pour f.ire

ChalJ"er

les chicos

couralÍs pour le loup.

HARUOURG H , Hq,b""~/lm

(G/og. )viled' lle·

magne d:lDS le cerele de la rorre ",e, su

dueh~

de Lu–

nehoprg, d. ns 1'¿leaora< d'H.none avec

UD

to n

eh~leau pour fa dc!feoCe . Elle en Cur l' Elbe, a

6

licues .

O . de H.mbeurg,

1

f

N .

O. de L nllebourg.

L ong.

27.

16. IdI.

n .

34.

(D .

1 . )

H AR COpR"P,

(Glq•. )

b<>urg de

Fnnee~nNor'

m.odie, au diocHe de B.yeax, "ppellé .up.ravam

'l'hll–

ry ,

~

érigé en duché par Lou's

X

IV. eo

1700.

Son

nom latin en

H areMlh ,

Celon

i\4

de Valois.

11 Y

a

\10

aJItre bourg de ce nom en N orm,ndie, au diodf.

d'J¡;vreux , avea titre de

comt~ ;

ce d. rokr en

3

10

licues'

d. Rouen .

(D.

J. )

H RO , Cubn . m.

( G,ml;'r . )

n

qu~

les Ganoees

&

fes Péauffiers

donn~nt

:1

une gro!l'e cheville de

f..

lournée eo cerele , Cur laquellelils parrent leurs pelUS pour

l~s

nmolir.

Ha'''. r

HI"

p""',

e'en la parrer

Cur

le

hara.

• H .'\ RQE, fub. fém .

( {/."cri• . )

11

Ce dit des

b~res fau ves ou noires., lorfqu'et1es font en troupe; une

har".

de eerf. L e eerf Ce met en

hara.

an mnis de No·

vembre . L e froid r. rremble des .nimaux que la difene

de la nourrllure fembleroit devnir diCperCer . Au lie" de

hard. ,

on dit auiji

hude.

L e m eme mol a líeu eo Fau–

connerie , ou on l' applique . U1 oiCeaux qui vom par

bAnde o

, H !\RDER LES CHIEN'i D .'\ NS L 'ORORE ,

( V'''rrie

. )

e'en ' meme chacuo daos fa Coree, pour

.1-

ler de meute am

r~13is .

liara."

c'eil eneore tenlr cinq ou til ehiens eourans

eoupl~s ~vee

une longue lairre de crin, pom d nner

3

on relais. On

hm·a.

les oouveaux chiens avee les vieuI

pour

1<$

drerrcr.

Ii ARDERIE, Cubil. m .

(P.iHtllrt fur 1_

7)<", )

ef–

pece de préparatioo métallique qu'on fait 'avec de la li

m aille

&

du Coufre Ilratifié dans un creuCel eouoerr, qu'iI

faut ' renverCer apres I'avoir tenu au feu pendant cinq

.i

/i r

heures. A inti

I'harderi.

n' ell lutre chofe qu' une

chaux de m lrs ootenue par le Caufre: on l'appelle auffi

ferr.t d'

Efp.gl"

.

On s'en fen dans la

V

errerie, dans

la Peirtllre en émail,

&<.

H AROERWIK,

H Jrdu-wimm, (Gtog. )

ville des

Prov¡neeS-U llies daos 13 Gueldrc , au quartier d'Ar–

nhe!m ; a vee une univerlit¿. E lle en Cm le Zuidenée ,

~

8

'Iieues

N .

O . d' Arnheim ,

7

N. E. d' .'\mersfo",

12

N. O.

de

N ime~ue,

1 3

E. d'Amllerdam. Les an–

nales de Gueld,es en menent

1>

fondadon

it

l'an

1230,

&

c'en t lut au plus tard . L'univerlité a

~tc

érigée le

12

A v'ril. 6.18.

L ung.

23. 12

I"t.

p .

24.

( D

J.)

HA R D ES S E

N, (

Glog . )

ville d'

Allema~lle

d.ns

la prineipamé de Ca'emQer¡\ , dépendante d" duché de

H ano vre.

~

IiA ROl, adj.

(Gram.)

épilhetc qui marque une

conti,'oce dé I'ame , qui nous préCeme eomme faciles

des enrrcprifes qui

élonne.lt

les hommos ordinaires

& '

les arrérent : La

ditfércn~e

de la rém¿ ,ité

&

de la har–

dierre confille dans le rapport qu'iI y a entre la difficul ·

¡é de IJ ch'" f¿

&

les reffilurce. de eelm qui la tcnte . O 'ou

iI

s'cnCuit que tel homme ue fe mOntre que

har"i

dan

une conjonéture oti un autre mérite",it le nom de

tl–

mlrai,. .

Mais on ne Juge malhemenCemcllt

&

de la ten–

tative

&

de 'l'homll1e qU" par I'évenement ;

&

fOllvent

I'on blame ou

iI

t1udroit loüer,

&

on loüe ool il f.u–

droi!

bl~mer .

C ombien d'entrepriCes don! le bon ou le

m anvais

lucc~s

n'a

dépendu

J.ue

d'une

eirconil~ncc

qn'il

étoit

imp"Ifi~le

de prévoir!

¡,

oy<z

I'article

H ARJ)¡E~~l! .

L e mot

'hara;

a un grand nom'>re d' .•"ceptions dilfé–

rentes t3nt au limpie qu'an tiguré: on dit Un diCcaurs

har"'-,

qne iétion

har",e ,

uo' batiment

hardi.

Un bS–

t'roem

ell

har"i',

lorCque la oélicdtelfe

<\f

la folidilé de

fa

el)nftru~ion

ne nollS pa'rOIt pas proportionoée

it

Ca

hallteur

&

a'

Con

étendue : un deffi

'1"

eur ,

un

peintre, un

artille en

hardi',

lI>rCqu'il n'a pas redomé

I~

difficultés

de Con srt,

&;

qu' il parolt les avoir Curmomées Cans

elfort. .. . .

..

• H

~

R D ',

C.

rD.

(Mo""oi• . )

On donna d'abord ce

a om en G uienne

a

une mOllooie des princes anglois der–

a iers ducs d'AquitAine ,

&

prédéc¿rreurs de C harles de

Fraoce·, qui

y

étoiem repréfeotés teoaot

un,:

épée oue .

HAR

Ce

nom qui Ce eommuniqus dCllu; sux

~

'!es

di '

de cu·'·,e

&

de

btllon ,

a

pellt-rrrc

f,

rme! eelui e

It",i.

doot noUS oous Cervons,

comme

qu' J ir

t

1.-h"rJ¡¡.

Quai qu'¡¡ en foir , le

lio.rd

de

L.

>U

S

X l.

D'!!

h

qU'uDC

perite monnoie de b'llon: ene

v

lo t

Ir

S

'crs,

p:tr

conCé umt ifoit

la

qUltrieme

(OS"

e d'un

loo;

m, •

i

I'e:rception de la GU:CIloe qui lu d oo. le nom

d

b., "i

tOUtes les autros provio=

eo-d<

1

de la

Lo're

lni conCerver.m CC;lui d

litui.,

qui lui

d~.!Un\.

V.ya

.

L I ARD

(D .

1 )

HA

R

DIE

S c¡

E.

r.

f. (

.110r61• . )

Locke l.

d~6n't

uoe puiffioee .de f:úre ce qu'on VCUt dennt 1 Slltr<:S •

Cans cnindre OU' fe déenntenoocer.

La

eonti.nC

'C qui

conlille

d~ns

la pa.rtie do diie urs, avoit un nom pu–

ticulier che'Z les Grecs; i1s

l'lPpelloient ".....

;ui•.

Le

mOl de

bar:Ji.~,

dtlm notre loo<tUe ,

d~1i

'ne eom–

mUllémcot une réfolution eounrgeuCe, par Isqu lIe I'hllm–

me mépriCe le dangers

&

eotreprend de> e Ces e

tn –

ordin.ires. i nous

envir.~

eons limplement la

h.,JielJ<

eomme un" ptffion i",Ccible, elk n'e eo ceue qua¡'té

ni vie.:: ni verm,

&

ne mérite ni

bUm~

ni 10Ü1lnge

i

nous n'avons égard qu'a l'éelat qui paro!t bril1 r daos

eeruines .aion , faos confidérer que toute .tleéli n

vio–

lente pem égalemeor les produire, nous regsrderons fou–

vent pour Vertu ce qui n'en en qu'une fuurre im:lge,

&

le fruilS de la bile parreroOt daos OOlre tfprit pour les

fruitS d' une

b.zrai.ffi

~dmlrablt

.

E

n

eff~r,

je trouve cinq fortes de

b.rdi</T<,

qui Ont

une faurre rerremblonee ave.: la vraie

&

la léll.itime.

L'harai.t[.

militsire n'a fouvem d'autre appui que I'elem–

pie

&

la eoomrne ; celle des iv,ognes ell fondée Cur

les fumées

~u

vin: eelle des enfaus fur

I'i~nor.nce:

eello des amans

&

de toUS eeUI qui fe lairrtnt .llor

1

des paffions mmulmeuCes, fm le dcCordre qu'elles cau–

Cenr dans leur ame' en6n l.

h ",¡te/!<

que les Pl¡iloCo–

phes

morau~

nommem

.;..,il"

reconnnlt p >ur mobile la

eraime de la home. Telle étoit celle d'Heélor q\pnd

iI

n'ofa remrce avee les autres Tro'iens dans IHum, de

peur que Poly.iamas nc lui reprochat le méprls du con-

Ceil qu'il lui ava il dQnné .·

11

eil rare de voi,

~ans

le monde une

harai_{f.

arre},

pure, pour De POUVOI!: pas ene r.pportée

iI

l'uoe des

einq COrtes dont nous venons de pul«, qui n'ont tou–

tefois que I'apparence ,rompeure

de ..

qualités qu'elles re–

préCentent. D e plus elles ne produiCem riel\ qu'ull pou

d'opium oe fa(fe exé.;uter

a

un

lure,

un verre

t1'~u­

de-vie

:1

un m" Ceovite , une

raz.de

d'arrak

i

un anglois ,

une bomdlle de Champ.gne

ir

UD fran<;ois.

M ais quaod la

h.rdi•

.fJ.

eil le fruit 1Iu

JUn~mem,

qu'.l–

le

ém.ne

d' un

~ralld

m-.tif, qu'elle mdure

Ces

forces .

ne tem. point l'impoffible,

&

pourCuit en(i.lite avee une

fermeté héro"'que I'entreprile des

¡'elle~

aa ions '1u'elle

:l

eon<;ues, quclque péril qui s'y renCOOlre; e'en alors que

devenant ¡'effet d'un comage raiConné, nous lui devon$

t.)US les él

¡(es

que mérite une vertu qui nc voit rieo

au·derrus a'elle.

.

Celte Corte de

hardi./!<,

dlt Monttlgne , fe préfente

auffi ma¡¡nifi quero"nt en pourpoint qu'en a.mes , ell un

eabinet qu'en un

eamp~

le bras pendan! que le

bras

levé.

Scipiun nous en fourDlr un exc nple remarquable, 10rC–

qu'il f" tma le prOlet d'anirer Syphax dans les intéret.s

des Romains Pénétré d. I'avamage qu'en rccevroit la

républ'que,

i1

quine tou armée, parr. en Af, ique Cur

UII peft vairreau, vicnI fe commelt<c

a

la puilfanee d'un

roi barbare,

¡l

une foi ioconoue, filus la Ceule CUreté de

la gratdeur de Ion coura.:e , de Ion bonheur, de fa hau–

te efpéranee, furtou! dn fervice qu'iI ren "it :l Ca patrie .

Cetre nobl&

&

~énéreufe

hllrai.Je

ne peu! fe trOuver

n....ve

&

b'eo entiere, que dans ceux qu fOnt animés

par des voe

Cem~lables,

&

:1

qui la eramte de la morr,

&

du pis qui peut en arriver, ne Cauroi, donoer aucun

elfroi.

(D.

Jo )

H ARDILLIERS , Cubn. m. pI.

('l'apif1i~'.)

'.rm.

ti.

H""...

-LijJi".

Ce font d,s /iches ou moreeaux de

fer qui

001

un crochet

~

un des bout5 : lis fervent a Co(1-

tenir cene panie du métier des H aute·L iffiers, qu'on

appelle

la p"ch.

a.

liJT.,

c'ell -a~dire

cene loogue piece

de bois avee laquelle les ouvriels bandem ou l3chcnt

les litreS qui fum la eroiCm

e de leu

r ta.l'irrerie .

Voya;

H AuTErAs E .

D iOi.,.". d.

e.mm

,,«

&1

4.

'l'rlv.

H ARD0 1S , Cubn.

ID.

pI.

ler""

a.

V"t<ri•.

C'cCl

ain(i qu'on appelle de pe.its liens de b is ou le eerf rou–

che de fa tete , 10rCqu'¡¡ vem féparer cette peau velue

qui la eonvre : on les trouve écorchés.

HARENG , r. m.

(H.fI

.

nal.

L,,6010~. )

ham,gNI

ro.d. g.m.

ala.

poilfon de mer connu daos route l'Eu–

rope.

11

a neuf ponees ou on pié de longueur,

&

den s:

0\1 u ois pouces de larg'eur; la lete

&

tOU! le eorps

~oot

applatls