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f",cm Ic pa":lIhle, fU/. IOI I'opioían
b
plos commODC;
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qUluc
Iutra
l
Im l la COIIrfc,
k
Caul. le difquc
&
la
IWlc. O.n, la fuí!c
des
~
,on
y
adm!1
le
pog;11I ,
en
rcttfW1l nilnmolO le 110m de
p""IIb1e con(2c, t
pu
on long of'lIe .
Vtlft~
PEI<TATH LE
( D .
J .)
J
A V R,
( GI_".)
villc d' lIe_gne , copllale d'one
prov'ncc conlidtr:tblc de
m~me
nom , dlDS la boJT'e i–
letie, OYec une cilOdelle
&
unc gr2.nde
pl.ceenviron –
nte de porllqocs ; elle
ell
i
r liales ,E.
de Schwcid–
nin ,
11
.
•
de Bresla,,, , 3[ ,
N .
E . de Pr2gue .
L."".
34· 4' .
lolt.
1'0.
66.
( D .
J .)
• j'" U F'F'NDEIGRA,
r.
m.
( HiJI. )
nom du Iroi–
ticme mo;, des IOmdois , il rt pond
1
nOlre Man; c'ctl
le moÍJ de I'<'quinol e du prinlem, .
J aN./fwd.,g".
mll–
IIIIJar
figni6e
m Oll
'1Mllftlll,.J .
J
A
lfG
E, f. f.
(Gram.
(:1
.lfrt. )
c'en eo gtnéral
un innromenl dnnl on (e fCrl poor connollre la quan–
IlIt de qotlquc 'Iu,llIt phytique, lelle qoe
lo
longoeur,
h
largcor, b profondcor, le nnmbre, lo contillenee,
&,.
d'ou
1'00
voil qu',l doil
y
avoir un grand nom–
bre
de l allgn .
11
Y a
La
jI'"ge
•
MICrminer la capacilo! dc svaiff'eaax , cclle
qui donne le nombre de pim"" de pouees cubcs,
&,.
qu'on muiJ eomiem de liquide .
Voyt~
fa connruaion
&
fon uraSe
IU
m., jAVGE. On dlt la
lig'" de jaNgt ;
c'en le trllt marqot fur le biton 00 la verge d.
jal<–
Z~ . f/Dy~Z.
le
minu
a,.,h/~.
jAVGE f.cile pour les vaitr""ux en vuidange,
tcl~
que
lonneaux , fcuillencs ,
& ,.
Pour commenccr I'opéralion,
ji
fam avoir, indt pendammenl du mo ele qu'on voit
PI"",ht dt M",hli"urit¡ut,
une
ver~e
de rer ou de bois
fur Isquelle les pouces roiem mar'lue!s . Ccue vcrge fen
i
meltr. dans la piece dom on veut ravoir combieo il
'1
a de • pOIS dcbite!s . Poor prendre la hauteur de pou–
ces, non-com!?ri, I'e!paitreur du bois • la bonde, que
la
picce a de diametrc, en Iaiff'onl lomber perpendiculai–
remem par le bondon celte verge dans la pieee Jufques
:lU
fond; celle verge fert en
m~me
temo
a
voir com–
bien il rene de pouees marquam mooillom dans la piece.
Cela pofe!
&
bien compris, il f:lul prtfentemem ta–
cher de s'Clpliquer plus dairom.m fur I'ofage que I'on
f.itdu Irianglc de
J""g"
V.yez.
les
figura .
Avam que d'oller plus
av.nt,il fau l (avoir que les
lignes tranfverfales du tri.ogle ne fonr d':lueon outre u–
fage que pour conduire I'<'chelle des pouces IOdJours
(ur une ligne droile
&
<!gale, n'y ayaor que les lignes
diamétrales de haul co bas du
l"an~ le
en le pla<;ant en
forme d'equerre, qui compten!; je dis, en le plolanl
en forme d'tquerrc pour faire comprcndre ce que J cn–
Icnds I?ar lignes diamtlrales; car, ""ur optrer, le triall–
tlle dOlI etre couché
i -
plat, le plus gtand e6lé eu–
l,aul.
je fuppo[e
1
prtrem une pieee m..qut e de la ooori–
nenee de ,86 POtS, telle mefure que I'on voudra,
'l.uia
'f'
pouees de diamerre
a
la
bonde non-eompris I'épa,f–
feur du bois
I~dite
bonde; renem
i
S pouees marquans
mouillans.
11
faur rrou nr combien ces S pouoes foro
mem de pOIS
ren.nsdons la pieee.
Pour y ¡ rvenir, on eherche fur I'e!chelle des pou·
ces (qui e( la
m~me
que eelte regl e de popior divifée
eo rrenle-deux porries tgales) le nombre
2f',
qui en lo
quanmé de pouces, que la pieee a de diametre a f.
bonde; je melS ce nombre
2f'
paralell.mem du
061t
vi -a-vis ra prcmierc Ji!!ne du triangle,
&
de I'autre eó–
u! qui en le oombre promier de une échelle des pou–
ee , vls-,-\'is la de""ere ti!:n" du trelOgle qui eO le
nombre 100 . Lorfquc le fuis parvenu
iI
rendre ces deu.
nombres de pouce Junes; favoir, le nomore
25
vis-a–
vis la premiere ligne,
&
le nombre premicr
vis-~-vis
la
derniere ligoe du IriGogle, Je vois combien de liglles fur
le trilngle me donne le nombre 8 de mon échclle des
pouces , Icquel nombre S en les S pouces relbnr moull-
11m dans lB piece . Je trOuve qu'il me doooe 26 ligues
fur le triangle , pour·lors
jo
mulliplio la cominenee de
ma
pie~
qu i dl de 186 pOlS, par CClte qO. otilé ele li–
gne qoe. donoe le rriungle, e .n·l-dire p.r
~6 .
La
multiplication f. ile, fen rclronche les deux deroieres fi ·
gures . Les <kmc premieres figures fon. lo qU.lleile! de
polS renome dons la pieee ,
&
les dcu r dernieres rétran–
chées
(' lit
am_ot de cemaÍlles parties d'u<\ pot en fus
des cOliers .
T.",e
PIlI.
• Le pOI ou le 101 eontient l·peu-pres deux bootcilloo
J
A U
E
_u.pl• .
lA
'cee c
>IR
enl
186
'0'"
elle reOe
i
boir
uce<
=
qalDt
m ooil1l1u
de I'qoean, lefquels poaccs me dUDn Dt
fm le trimgle
16
5
1116
IDll:pI!Oti,JD
?
- l.
Lpa .
=-----
les
dcux
dcm'cres 6gurn mnnchtes de \'ad-
dioo , re!le
potS
,e!,
de poLS .
~I
6
100
Prt."• .
lA
p;cce ayanl
~f
poo'",
de di,metre
3 13
bonde,
& .
nc rcnam qu'.
8
pouces mouillJOI, il
Y ..
17
pouces vOldes.
Je pofe l't chelle de pouces, comme ci-dcthu
ti..
le
1 'aDgle,
&
Je cherche comb'en de
Ii~n",
(ur
Jcdi~
ro an–
~Ie.
donoera le
nomb~e
' 7 de I't ehelle des pooce., qui
fom les 17 pouces vUlde•. J e " ouve que le lri.t1l -le me
donne 74 tignes . je f.r,s l.
m~me
opér.l.oon pour le
vuide que
J':Il
faile pour le renant mODillo"" en mnl–
liplianl la conliococe de la píece qui en 136 , par le ..
tignes du Irfangle ¡
&
jc INuve p:lr I'.ddilion dD réfulru
de mes dCUl "luluphc:uioo. enfcmble.
la
contiococ en–
eiere de ma picee .
Ex"" pl• .
L. pieee conticnl
1
6
pou.
iI
Y
a 17 pooees de manque de IIqueor,
qm donncol 7.. lignes fur mon Iriongle,
74
Multiplication
L es dcux deroieres
fi~u,es
relranch<!es de
I'addirion,
reO~
de vmqe
13 71~
100
Et par I'ope!ratioo ci-deff'us, il rene de liqueur
3 6
d.". la picee,
48 -
~OI.I
égal
a
la cominencc marqute fur
13
:00
plcce,
ISr -
q"
t
6
I
On volt par eetle optrotlon comblen il relle de liqueor
dans une p,ece, fuivBIl< la cOOlincnee qui en marquée
fu r l. piece ;
m.iscene opéralÍon ne prouve pas que 1 ..
piece cn ¡Iugte
a
(a juno eonlÍnence : ce qui ne fe peUI
qo'efl Jao,caor la
m~m.
pieee
:l
I'cau lorfqu'elle eft
vuide, e'c!l-a-dir. en complanr l. quamité de poes d'cau
qui entreront dans la pieee pour la remplir .
Dans le commorce, UD muid cn de bonne ou mau–
vaife
jaltX.,
quand
iI
en plus ou moios grand, relative–
meot
a
foo cfpece ,
~
fQll ufage, aux u(ages
&
aux Iieux .
La
ja"x.
en
.If"hiullur. ,
c'eO dans la lranchée qu'on
a failo pom foo er uo bi eimem, un baton t lalonne! (ur
la profoodeur
&
la
largeue que doit aVOlr la rr.mehée,
fur 100le la largeur .
Les o uvritrs en
ha!
tllt
mlti~r
&.
les ouvriers en
ml–
,itr
,¡
ba>
001 ehacun leor
J4"gt.
La premiere s'appellc
j".IlJt~
de
fli~;
13 recnnde
jalt.g~
tlu mlJier.
f/oJe~
l'ar-–
t,dt
BAS AV
METI~Il..
La
/a"",
de
1'!tiX" ,"" iu
on une plaque de fer, fcn–
due de d,Oano.. en din.nee. Les femes ont différens de–
grt!s do larlleur,
6<
fcrvenr
:l
de!lerminer les mefures
&
res efpeces
difftreOle~
d'aiguilles ,
V.y.,z.
nos Planrh,(
de
I\Ai~Mi¡'¡etie,.-bo""'d;er.
Les
Chaíntri.rJ,
les marehands de
fils
de ftr
&
á.
'ait."
001 oum leur
¡.u~,
¡
c'en un eompn(é de plll- .
tieurs
J
redoubl6es. L iOlerv1lto qui fe trouve emre deux
J,
fert
il
mofurer le 61 dan!
la
groff'eur en marquée
1
cené par UD chifl're qui la déllgne . Les muchands de fer
de París ne jaugem que les fOrlos dOIll les numeros ne
foOl
p:IS
fixé., lels que les 61' de Bourgolloe, de Cham–
pagne
&
de quelques l1eux d' Altemagne.
Les
e
eill'Hr;erl
ont deux
;atlgn,
l'\loe 3 bord
&
l"au–
IrC du milieu. La
j a1li!'
i
bord Icur ferl
il
marqller fur
le bord de l'ouvr1ge I'eodroit- ou
iI
fauI piquer,
&
la
j aN/('
dll miticu
~
lOarquer I'eodroit
du
milicu. La pre–
miere ell un
morc~u
de fer rond , de la lon2ucur de
fepl
a
huil pouces, emm.ncht!
de
bois par
en-h~ol,
un
pou rccourbé par en-bas ,
&.
. plati de mlllierl>
i
former
une furfuce qlUrr6e long.\lo qui finil co s'.rronditram;
cene furface
3
trois cannclures. Ces cannclurcs rraccnt
Irois lignes, loefque
la
j llug'
éu>m ehouff&:, on
la
f.iteJuler fur les bords de I'ouvrage
a
piquer,
&
ce< tigues
dirigeOl I'ouvrier .
La
I<condc nc
diff~rc
de eclle-ci qu'en
ce que le bom phu d'en-b1S en feodu en
deu~
&
eE!
rnobile,
&:
qu'au
mllicu
de cene p'ulie
ouvcrte,
iI
Y
a.
uoe
vis
fur le c6u! qui Cen
1
augmeOler ou
1
recréd r
C c e
2
Yin-
o u pinte, de P.ti.s •