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11.
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(oolaloicnl le dO§m" de l'olH!itr. e pallí.
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1
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pour miau
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de l'égUre
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roi, dCi qo'il 1'oO<lro:1 changa l. eODntluDoo do goo–
"cmemenl'
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dooc qoi pCTliAcrent
daD!
le
fen 'mcoI
~pof;!,
formaeO! aYeC les Calholiqoes, le
puti
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7t1&.J,iltl.
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1
encare .ppell;!
JarJ,ites,
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Anglel"rTc oc de·
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m,lÍfc o
d'H~oovre ;
ce qoi
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DO" erreur De!e de I'ignorauce dc la conniltlrion du
royaumc .
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peat faire la cUemeOI
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Jacdi,,,,
fO'1 qll'ils
'''~tent
fermene,
00
o'eo
pr~tent
poiol, oOe obJea¡ o
p.rticuliere, qo'on oe pouvoil
pas
nlrc
1
coa qui e!loienl
onemls do r i re!,;nlm,dans le lems des naionsd'Yorek
el<
de LoobAr" . Por eremple, uo homme pouvoh elrc
contre le prince,
f.ns~"e
Coolre la conOirution de fOil
p
1' ·
Elle Inn(J>ort il alon la eouronne par droit he!·
re!dllaire da", la m!mc f.mille;
el<
eelui qui fuivoil le
plrli d'Y rek, 00 celui q"i lenoil le pa"i de L.nkallre.
p uvoil
pr~rclldre,
el<
Je oc doUlc pas qo'll ne préleodil,
'loe le dron oc rOr de fon
eOl~.
AUJourd'hui
les
defceo·
dans du due d'
Y
oTck fonl elclus de Icor. p,éleneioos
iI
la e uroone
1'"'
les loi., de I'nveu meme de CCUI
qui reeOIlIl'lIlfuleor la légilimile! dc leur n.ilfaoee. P.r'
tant, chaque
Jaco/me
.auellemeO[
di
n!belle
3
l. eoo·
llirulioll fous laquelle il etl né, auffi·bicn qll"u prince
'IUI cA rur le Irone . La loi de roo par.s a e!t.bli le droil
de fuceeffi nn d'uoo nouvelle r.mille; II s'oppore
~
oetre
loi ,
&
~ulienl
fur fa propre aUlorité, un droit eoO[",·
dlctoire, uo droil que la contlirullolI du roy.ume • eru
devoir néeelf.iremenl éldodre .
(D.
J.)
( 1)
JAC Ol}
T i\DT, (Glog .)
p<lÍle ville m"ilime du
"'Taume de Suede, eo ' Finlande, dan. l. provinee de
C'loniebrur la eÓle nriemale du golre de BOIhllic.
J ,,\C UTIN
,r.
m.
(I/ifl.
nat. )
efpeec de frufun,
du Uré/il, dont le plumage ell noir
el<
gris; ils
diff~rem
pour l. grolfeur : rui..
nI
les voyageurs, leur
ch~ir .tl
li
-..Délteale, qu'clle Curparre pour le goGr celles de 10US nos
oifeaul d'Enrope .
.
JACQ.~
JACQUE,
r.
m.
(Marine.)
on o(lmme
OIO/i le pavlllnn de Boaupré d' Anglorerrc; il etl bleu
.,:har,;e! d'un Cauloir d'argeot
&
d'une eroix de
alleul~
bordc!e d'.rgenr.
V.ye7o PI""ch,
XIX.
fuile
del "avi/.
I.nl,«I"i d,
'Jae'!u
e .
(Q)
jACQUERIE
(LA)
J':
f.
HifJ. d, Fr"",e ,
fob.riquet
qu'on s'avira de donner
i\
une
révolre
de payfaos, qui
m.l.railés,
r.n~oolle!s,
defolé ¡>:Ir la ooblerre , fe COllle'
vereot
:l
l. ño eu '3$6, dans le tems que le roi Je:1Il
étoil en Anglelerro. Le roulevemcm eomme0l" daos le
Bcauvoilis,
el<
cut pour chef un nommé C,lIler. On
.ppella eetre révl>lle la
ja,,!uerie
,p.tce que les gemils·
hommes non cantens de vexer ce malheureux Iobou·
reurs, fe mocquoicnt eneore d'eux, dilj nl qu'il fall nil
que
]acque.b.".b.",m,
tít les frais de
k'lICS
dépenfes.
Les payralls rédui" • I'elrrémilé s'armerer\!; la no·
blelfe de Pieardie, d'Artois,
&
de Brie, éprouv. les ef·
fe, de leur "en!:e,m ee , de Icur fureur,
&
de leur derer–
poir. Cepcnd.1I1 au bout de quelques rem.ines, lis fu
renl dérrui, en partie par le dauphin,
&
en parlie par
Charles·le·Mauvais, roi de' N9va<re, qui prit Caill<t,
:auquel
00
ITlllcha
la
~Ie;
el<
10UI le retle fe diffip•.
M.i••
'il.
eulTem
~e!
viélorieux?
(D.
J .)
JACOUES
DE
L'E'P E'E
(ST.)
fo••
"d ;"ge de
l'IJ:fpati.7,
(liifl.
mod.)
nom d'un ordre mililaire ét.–
bli en Efpagne en 1170, fou. le r..gne de FerdiDaod Jr.
.01 de Lc!on
&
de Galiee.
Sa fin fut
d'emp~eher
les
eou~fes
des M.ures qui Irou–
blnienl les pélerios de SI. J.eques de Compotlelle. Trei·
·,e ehevalie" s'obligereor par V<EU
a
alfurer les ehemins.
11. proporerem aUI ehanoines de S. Eloi, qui avoiem
un h6pillll fur la voie frau<;oire, de s'unir
:l
leor eoo·
grégatlon . L'uruon fe 6. en "70,
&:
l'ordre fUI con–
/irme! en
117f.
14.
premiere dignitc! de I'ordre ea eelle de gr.aod·mai–
tee, qlli a été réuOle
i
la eOuronne d'Efp.goe . Les che·
"aliees fom "reuve de quarre caces de eh.que COIe!. JI
faul encare raire preuve que les
ane~rres
n'oot
ér~
Di
J
uirs, ni Sarralins,
ni
hérétiques. oi repris eo sucuoe
m.niere par I';nquililion.
To",.
17111.
(1) Le. ,._"" (o",. ucot'C
une
(rae d'Orieer.:aex appc1Jh
.ure–
..en,
J¡h.'I",lw .
qu'ib u oic., ue.o altlUe C11
Jcf....
Cbrift .
y,.".
J
A
e
353
L..
00 I
Li
Cont 'oblige!s de fa're
le
ra 'ce de
b
¡
h.
rioc
pcndam Ih mois
fUf
les
leres,« de
dc.meu.erno m
's
dms
un
monallc:re. Aurref¡ ;, ils
c!IO~I
v;!–
rir:ablemcol relig'cux ,
el<
f.a11¡'~I
'1%
de chaJlcu';
nni.
le..ndre
Ilf.
ICut pcrm'l de Ce
maó",. lis
n e fOflt
1'10'
que les
V~U.I
de Plunae!, .j'ob<!ilfilJlce, de eha–
lIete! conJog,,)e , ,u.lqud.
iI<
11Joo,.OI
eelUl de de!fendre
l'im.naeuJée cuoceprion dc la ;erge, depa;s I'an
,6$2.
Lear h.b;, ele cérémooie ea uo
1lU0tc:lU
blane ave.:
one eroil rOllge
fue
13
poilrlnc. Ce, o,drc .tl l. plus
conlidécable
de
10US ..UI qui foO! en Er¡ngne.
Le
roi
cooCer" . a"ee rain le 'tre de
gr.md·maiu.
de S.
J",–
'1'UJ ,
COlntne UD
des plos
be:JUI
droi(5 de
6.
courOnoc .
i
caure do revenus,
el<
des riehes c mm.nduies, donr
il lui donoe
Is
dlr;>o/ilion .
Le
nombre des chenli.r
dI:
beaueoup plus gr3nd IUJoord'hui qu'il oe I'éloi, .utre–
~
IS;
les gr3nds . imam mieuI
y
<lre
r~Os
qoe
d.osce'
lui de
la
Toifoo d'or, paree qu'ils efpe.etll parvenir
par'U
lO
eommanderies
el<
qu. cCt1e digoiré leur doooe
daos 100t le ropume d'Efpagoe, mais partieulieremem
eo C.ulogoe, des privile!ges eoo/idérables.
Les ancieones armes de eet ordre étoieO! d'or • uoe
ép~e
de gucules, eh.r,¡ée en .bime d' uoe eoquille de
m~me,
el<
poue
devire,
rUbcl
elllis
fa.~Ni"e
Arabu1tf.
AOJourd'hUl
,,'di
une eroil en forme
á
épée, le pom–
meau
f.ilen e<Eur,
el<
les bou" de la glrde eo tleurs·de–
lis. On eroil que ces tleurs·de·1i qoi fe relleOnlrem dans
les armes des ordres milito;,cs d'l!fpagoe, foO( un
010'
numem de reconnoiffinee des fcenurs que les Frao,ois
dono«e"t Couvenr .ux EraRnQlS contre le, Maures.
• JACQUE
(S.)
h;'pilll
S.
"'ac'fNCI,
Hifl .
moti.
il
a
é,é fondé- par les bourgeois de l>.ris
vees
la
fin du doo–
'l.;emc (jeele , mais n'a commenct1
a
former un corps
!,,,Iitique qu'en '31
$,
eo verlo de leures'plleoles de
L "uis
X.
En
'31.1,
le
p.peJean
XXll.
reeonnoilf.ntle droit de p.trona.:e
&::
d'~dminifiratioo
I.rque que les
fond3leoes de e eue maifon s't!loiem rérervé " eUI«
a
leurs fueeelfeucs, voulut par une bulle donne!e en fa veur
de eel t!lablilfcment qu'o" contlruiroir \lne eh,pelle d,nl
eet hÓpil3l,
&
que eette eh.?elle feroit derrervie por
<¡uatre eh,pelJins; que I'un d'eul Cous le oom de
Ir,–
ori~r ,
urqonncroit de tomes les chafes
c:cclt!fial!iquc~
&
'lucres qui
conccrneroient 1'o6ice
divin
fculemcllt;
u'il
~urnit
eharge d'.me des ehapelains, des hOIe;
&::
e,
",olades de )' hOpital,
el<
qu'i1 leur .dminitlreroit les
facremens; que ce tréroricr rcndroit compte taus les ans
~ux
adminiArafcurs; que ccux-ci
préfenterolcnt::tu tré–
Corier des perron"es eapables de remplir les ehapelle–
oies,
el<
que
I~
tr<lforerie
veo.nta
v'quer, un des eh.–
pelnios reron préfenl6 par le, ldmilli,lr1leUrS
a
I'é v~que
de Paris , pour
~tre
revétu de l'offiee de rr"C"rier. Une
bulle de Clémcnt
V
1.
confirme celle de Je.o
XXII;
le nombre des ehapel.ins n'étoil daos les eommeneemens
que de qua"e .
11
a éle! .ugmeolé
d.nsla ruile; mais
quarre rculement des nouvcaux 0111 e!1.! ég.lés aUl an–
ciens. Le bu, de l'intli,urion éloit l'horpilaliré envers les
pélerins de
S.
'Jac'!uCl
;
mais elle
y •
IOGjours élé eler–
eée covetS les maladcs de l"un
&
dc r autre rexe . En
1676,
00
lenta ele réuoir eetre m.ieon
11
I'ordre hofpi–
talier de S. Luarc;
m.isen 16sJ8, le roi ane!amit I'u–
nion faite: depui., I'.dminitlralion
&
l'élat de l'hOpilal
S.
Ja,,!wI
001 élé uo CUJel de comen.rioos qui ne Coot
pos eneor. termir,,!es. Un ci,oyen hoouele avoit pro–
poró dI> r.meoer eer établllfement
~
f. premie« ionitu–
lion; mais il
'IC
paro!1 pas qll'OO ait goillé fon proJet.
V oy<7o
parmi les différens mémoire& qu'i1
~
publiés rous
le titre de
,'lÍes
.'UII
ciloyett
t
celui qui
COllccrnc
I'h6-
pital dont il s""git.
J!\CQUES,
(piure
de- S.) .ge'nma divi 'Jacohi,
nOIl\
que quelqucs oaturalilks ont donné
3
une cfpeee
de ·
'1uar[1. ou d'agale opaquc, d'une coulcur laiteufe.
V",.
)'eo;
la
Mi"lralo,;i. de
Wallerius.
JACQUES,
(S.) Glo.r. Voyc:t:
SA~<T·IAGo.
JACíANCE,
f.
f.
(Momlc.)
c'en
le
I.ngage de
la vaoité qui dit d'elle le bieo ql1'elle penr•. Ce mot a
vieilli,
&
o'eotre plus dans le tlyle noble, paree qu'il
etl moios du bao
100
de re louer
foi·m~me
quc de dire
du mal des .utr«.
La
jan"""
el! quetqucfois ulile au
m~rire
médiocre, elle feroil fune(le
~ll
mérit< fupé,;eur;
je oe ha¡'s poiot trap' la
jalla"",
fon but etl de s'éle–
ver
&
non de raba,lfcr.
jACTATION,
r.
f.
(Meda.)
c'ctl un rymptome
de maladie;
il
confine en ce que les malodes étanl ex-
Yy
tr~
1',Utlcle:
Muu"7fitll
dan. ectte EDCfelop!cii:
&:
pltl.
dilfa(crac
""nie:le
1Af.f"ttl
diO'
Mortti .
(O
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