1
tion indique qu'ii raul' tetranclfier
ti"
de
&i,,'1
du de
Jix;
aiali
IV
ligllifie
ei",{
I11oi,,1 t' "
OU
'1"atre , tX
lignitie
dix
mO;'TJ len
OU
ne-IIf:
on
De
place
jamais
1
aVant J.JnC
Ict–
tie de plus
grande
valcllf, CQmrne
L
á mlJJmJte., e cene,
D
&in,! cenJ,
J.{
m;/Je ;
ainri on
n'écrit
p(')jnt
1 L
pour
9sarante' neRf ,
mais
XLIX.
La leure
I
efl eelfe
quí
eatadérife la lnoDOPie de Li–
mogos .
1,
f.
m . e' efl la dixieme leme
&.
la feptie/)1e con–
fonne de
I'alphabe~
franc;ois . Les lt)1prime!lrs .1'.ppel–
lcm ;
a'Hol/and.e,
paree .que les Hollandois I'íntroduj–
fircm les premÍl!rs dans 1'lIUpreffioll . Cooformémeot au
fyflC'me de la
Gramm"ir. g /n/r/JI. de P. R :
adoptée
par
I'auleur du .
BNr~au
t)'ppgraphi'l''''
le \'rai nom de
eelte lettre el\.
Je,
eornme oous le prooonc;ons duns le
prpnorn de la premiere perfooo« ear '" valeur propre
de. ce earillere en de repr.é(enter I'.rtieul.tion filllaote
qUl
eommenee
les
mms
Japo" , ¡'oft ,
&
qui el! la foi–
ble de I'articulanon forte qui ell
a
la téte des mots pref·
que femblabws,
ohapo" , ehoft.
7
en
don~
une eonfon–
ne Iinguale, limante,
&
[oible.
Voy ez au mot
CON–
SONNJ::, le fyfleme de M. du M"fais fur les eonfon–
De~ ,
&
a
Parriel!!
H,
eelui que fadop¡e fur le rneme
fUJet .
On peot dire que aeue Il'ttre efl propre
a
I'alphobet
iraoc;ois, puifque de tOutes les lang'ues anciennes qUe
IIOUS eOlll}oiífOl¡S, 3ueune ne fol(oit ufage de I'arcieu–
lation
qu'ell~
repréfente;
~
que parn¡i les lal}gues mo,
deroes,
/i
qu~lqu~s ·unes
en fom ufage, elles la repré–
fentem d'une autre maniere. A inli les ¡taliens , pour
prononcer
j",.dinJ, jfJrno ,
écrivent
:{iardino l.iQrnq .
Yo ...
rez le
Maftre ;'alip,
de Venerooi ,
p.
9.
idit . d, Pa–
ril
1709. Les Efpa;¡nols Oo! adopc..é notr!! earaétere,
roais il ligl)ilie ehe'l. eUI autre ehoCe que ehel. nous;
hijo.
tils,
J uan,
Jean,
(~ pronoll~am prerqu~
Co ml)lC¡
s'll )'"avoit
,Ho, Khollan.
VOY!"
la Mlthpae
eJpagn~le
de P .
R.
p.
f .
!dit.
d.
Pari! ,
16($0.
Les Plaltres !l'éeriture
n~
me paroiífem
pa~
apporter
tife1. d'ottelltion pour
ditfér~ne¡er
le
7
eapilal de
1' / :
que ne fui,·em· ils les err,emens du éaradere eomami"
L'
i
oe defeend pas au-de/fous
d,)
corps
d~!¡
antres' co–
..éteres, le
j
de(eend: vOlla la
r~gle
pour les capitales.
Artic!. d.
M .
B
Ii ,A
"ti
Z
/l'
f. .
• 7,
(Epritfl'-')
nous avotis a¡IITI dans I'éeriture,
3.inli que daos I'impreffloll, un
j
QC1nlonne
&-
un
i
vo ...
,elle;
&
dans ehacqn de ces 9raéteres, un
i
eoofon–
Ile
oU
voy~lIe,
eoulé; un aigu, un ropd.
Apre~
avoir
CIp¡¡qu~
la formatiQo du
g ,
nous n'·.vons doo
¡¡
dirá
de
l~
forrnation de l'i confonne, qui o'on ell qu'une
portion. pour
I'i
voyelle eoulé,
iI
fe' forme d' un trait
plus droit
~
d'un angle de plume moios QbtuS' que I'i
lt.Jien,
&
eelui-ci d'un trail pl,)s ¡f,oit
&
d' un angle dI'
plume moins obtus que le rand. On n'ernploit;
a
tou~
que le
monvemen~
limpl'. des dQigts. rPus caos- une di–
reétioo verticale, rnais
.1)1
PC;U plus ou un peu moins
incliné. de droit
il
g.auphe. A la partie ioférie",e de
aelte leme, le
poigc)~l
agít de
eoo~ert
ave" les doigts ,
Voye1.
110'
P/a,,~hrl
a'E,r;.nr( .
lA
JA
*
JAA -BACHI,
f~
m.
(Hin.
I11QJ.)
e.plta,"e de
8ens de pié ehe1.
I~s
Tutes . C'el\-
aqill
un oflicier
d~s
Janiífaire9
char~é
de
le·/e¡'
TeS,
e'nfons de tribut .
11
ell
aCGompagné
dan~
fes-
fC!!TI~iol1s
d'un éorivain ou (eoré–
laire qui
ti~OI
le r61e des provinees, des Iiellx,
&
dll
1l0l)'lQre d'enfans qt,li doiyent /ltr!; fournis.
J.'\A-J/\,
f.
m.
(Bot . exotiq. )
arbr-iífeau de la con–
«é'e des noirs ,
Le~
H ollandqis ¡' appellent
mm'gelaar.
11
croit aux I¡eux
m~r~eagel!~
&
~ux
bords des rivie–
Fes .
11
pouífe un fi grand nombre de tiges, qu'on
a
peine
a
difcerner la principale. Le Jaa· ja orolt dans
I'eau,
&
I'on y ftouve Couvent des hui\r<s atcachée<,
Díll. de
Trb.,oIIX.
*
J
A'AROBA ',
f.
m.
(Bot.
exo~i'l.)
efpeee de feve
do Brélil; elle en [emblaqle l la euie,¡e, feulemem plus
petite , On
l)'l~nge
leS
raci~e~
de la pJ.nte qui la' porte ,
J A :\ TZDE, f. rn ,
(Hift.
pat. iJot.)
c'dl un arbrif"
feau du japqn,
a
feu ilJes de ,;cirr GOmm\1l1; fes lIeurs
font blanches,
~
dnq pétales , Ses Q.ies
fOI1\
moins grof,
fes qu
1
un grain de poivre. Elles
001
il
leur
r"mnre~
une efpeee d'aigrett« formée par les cioq é13miues
d~
la
Be1\r .
)l\Bl\YAHITE,
f.
m.
(Hifl. moa. )
Mm de feét"
parmí les Mufulmans, qui fuivanr Ríeaoc,
en(eigncn~
que la [cienee de Dieu ne s'étend peint
a
toutes cho–
fes; q\le le tems
&;
l'expé{ienee
1m
ont appris pluficurs
JAB
349
chofes qu'il ígnoroít auparavant. D ieu, diient-ils , n'.yant
poím eu de toute éternitt' une connoilTanee exa.éte de
tous les ,évcnemens psrlÍculiers quí
doívent
'3.rriver dal1s
le monde, il ell DbJigé de
le
gouverner fel on les oe–
eurrenees.
r~yez
P/l.OYIDEJ<CE,
PllÉSCIENCE~
CON–
TlNGENT.
Díaion. ae Trlv.&lIx .
.. J
I\ BE,
f.
m .
(fiifl. ane . )
l'aeception de ce mot
ell incert.ainl' . C'efl on le nom de Dieu ehel. les
Sa–
maritains , ou un terme co¡refpoodant au
JIIS
des
J
uifs,
ou une c orruption d" Juba, o u de Jefora.
J ABATOPETl\,
vo)'ez
JABOTAPITA.
J ABI ,
{G/og .)
petit royaume d'l\ftique en Guinéc,
fur la cÓte d'or, derrier.e le fon de Saine Georges de
la Mine, .Bofman dans Ca defcri¡>tioo de la Guinée,
dit que le roi dI' ce eanton
ell
un
r.
petit feigne"" qu'íl
auroie peloe
~
luí donner
a
crédit pour c<ur Dorins de
_ rnarehandife, de peur de n·en etre ¡amais payé , vil f:r
pauvreté . Ce pays el! arrofé par
la
riv iere de Rio de
Saint-Jean, que les negres appellcllt
B olfllmpra ,
-a' eau–
fe qll'ils 1.e tiennel)t pour étre un dieu .
V
oiJa
done én–
tin une riviere divinirée
¡>at
des M aures .
(D .
'].,
J
ABI
RU,
f.
m .
(Hifl . nato
Zoolo~i& . )
grand oirean
de rivlere .de )' Amérique, qui
a
du rappore ' ''ee la
grue;
íI
efl plus grarid qu·un cigue, !im col efl IlrO!,
eon¡me le bras', fa téte en fort grande, foo bee ell droit',
&
.a env!. on
díx
a
onze pOLlces <le long ,
ji
efl
~m
peli
recourbé par
le
bout;
C~s
jam es ont
envi.ondeux
pié~
de longueur,
&
fom COuvertl'S d'éeailleS'.
IJ
eCl
tou~
plane comme un cigne ou une oie. Le cou n'ell poin!!
garní de
plUlnes"
&
tr'en couvert que d'une pea.l} noire
&
dure. On conieéture que ccla vieoe de ce que
le~
plumes étnient tombées ,
&
que I'on n'. vil cet oi(eal)'
que mort.
V o)'ez
Marllravl',
hift.
Braji/ienJjs .
JA:BIRl,JGUA C V, (. m .
(Ornithol. exót. )
nom
d.'un 01[e311 du B,élil, appellé par quelqucs-uns
na"dila–
poa ,
&
par Jes flollandois
febellrvoge/;
eet oife.u tient
beaueollp
BU
genre des !inles; il a un bee large, long
de
Cepe
i\
huít pouees, arr<1nd'i,
&.
un pen élevé
a
I'ex–
lrémité.
1>1
pone Cur le fommet de la téte une e(pece
ete eouronne olfenfe, d'un
gri~
blaoe; Con
lon~
col
&
fa tete font revetllS de peau éeaillellfc, (aos
auoune~
plumes ; le 'relle du corps eft couven de plumes I'>lan–
ches ;
m~is
les groífes plumes des alles rOl)' noirat,es
a'vee Ul)e teinte po",pre.
~I
paífc pour un In3ugre déli–
~iellx.
Ray,
Ornitholog .
pago
~02.
(D.
']. )
J
lit.
13
LE,
r.
m,
Ifrme al! Tonne/if)'
,
e'eil la partie
,des douves d'lln tonhe:¡u qui excede les fonds des deut
e6tés,
&
qui forrne
~n
quelque (a,<on la eireonfi!renee
¡:xtér¡eU¡1l de
cn~oune
de fes cxtrémités.
Le
jahl.
fe pr!!od depuis I'entaille pu rainure dans la–
quelle fom eofoncé.s
&
aífujettie~
les douves du fond
de la futaille, juCqu' au bout des dou"es de loogueur.
Cett~
!!OtaiJle 0\\
r~io\H~
fe IIOtnme
~ulfi
quel'luefois le
jqb/r,
Po\tr jauger les tonneaux,
íI
fam d'abord
~ppuyer
\10
des bouts du bar",n de jauge fur le
j able
du tOllneau ou
flltaille 'lu'oO fe propare de jau)ler, fai(aoc qltenlÍon ee–
peodant que quand le
¡ahle
d'
une piece
eH
plus eoun
qu'iJ ne doit l'etre,
eette
diminution
du j able
donne né–
eeífairemem un
excéd~n¡
de jaqge.
V oy.>:.
JAUGI!
(3
TONJ<ELlj!/I. ,
On appelle
peig net de j able
de petit.
rnorce~ux
de
douves taillés
expr~s ,
qll'on fait entre. par force (ous
les aoreeau, pour rétablir les
j ah/es
rompus,
JAB'-ieR.,
~'ott
fa!re des
j~bles au~
¡0Iln.a\11
&
aux
!louyOS.
.
JAJll.OIRE,
f.
r.
(Tonnfli_r.)
e'en un inn.nment
dOn! les
ToC)neJi~rs
fe (ervent pour fa,íre le jable des
fonoeaux "
01\
la rainur<; olÍ 0!l fait elltrer les fonds.
Cet ou¡il ell
compof~
de deux pieces de bois , I'nhe
cilindriqoe
&,
l' autre quarrée; an boU! de eelle-ci efl
un morceau d'acier dentel<j eQmme une fcie . Le ton–
nelier qui s'eo fcot appl1ie la partie cilindrique de plat
fur les bords des tOnCleaux ql1'il a a(fembles ,
&
con–
d~ífallt
I'outil tout au ton., iJ
Y
focm" avee le moreea!!
d'aoier ulje raílll\fe
Q1\'" "
appelle le
jable,
V
oye~
nos
PlaTfeh~J
al! Tomullerie.
. *
JJ\BOR.I\NDE. f, m.
(Bot. exot. )
plante !taute
de deux plés, qui a (es tige, 1igneufes, ;lrallde , noueu–
fes, tOfcues
lS¡
i,,~g.les ;
fa
r~cil]e
forl groCfe,
&
divi–
f6e en un grand t1(;>mbre de pareelles
&
de tilamens;
fes deurs blanchos, &
a
quatre feq111es, &
f~,
grainos
renfermé•• [ous une double Gofie, brunes
~pplaties ,
&
oe la Bgure
~ P~Q'-Pri:s
d'un
cce\1r
tronqué par la po in–
te. On ne
fa.itou erolt le
j abo,.-ande;
ia racioe patre
pdUr alexi¡>harmaque.
Dia. de 'I"rlvot,x .
J ABOT,
f.
ri).
(Ornilho1. ) i"g/t,.'i", eolllm.
peche
membraneu-fe
filUcle
p~~s
du cou dCl6 oifeaux,
&
au bas
de
leur a:fophage ,
•
Tous