HYP
~e&
(10
Ptolotllée
m.eLla (OUtee. du Valga,
Pe.
con–
noií&o.
rkn
aa-del.a
de =te (oorce. Les
peu~es
Hy –
" l'hOYlu"
de nos ¡oun, fom les Ro(fes fept(n¡rioJ)'ox,
elllJe
l. VGllJa
&
Ja
mer blanche.
Clovicr
a
pri$
uno
~wr~
rou.e,
il
préteod que les
Hy–
peró.,h,".
<!0J?1pre~eot
les peuples qoi ,,'éleudokm do
"Poot-Em:m, ¡ufqu
aux.
bards do l'océan
&
felon lui,
le nom de
Ctl,ts
élOil Ijoonyrne avec 'celoi
d'Hyp,r–
borltN~
.
M . l'abbé
Banóe<.
qoi
;1
fait íur ce
(uie~
un
mé moi–
re
expres
daos
le «cuei! de l'acadt'mie des Inferiprioos,
aya~l
grand égard
'0
fyncme des
poe~e~
grecs, quí font
vemr le ve'!-t
bo.'é~
de la Thraee, penre que les Pl'lll'Jes
du oord
'101
habllolem au-dela de cene provinee, font
les
Nyp.er},urlms
de l'anlÍquité.
Voyc:<-
(a
di(ferl.tion;
'Voye:.
auiji le c!i(coUJs de l' Abbé Gédoyo fur le Plé)J1e
fUJet
&
dans le méPle
reeu~¡¡.
On o'e(1
p~s
(ans douce en pdne de (avoir qoel
a
élé
te «otimeo. de ,l?Iudbeck (ur les peupl!,s
que
nous .che<–
chons,
&
1'00
Ce
dou..e
b;~ll
que cet aUfeur qui a
r<~ar
dé la Suede Ca pa,rie, comme le grand ,héatre de ,'Hi–
fioire ancleooe qui el:! a fait le féjour des defeendans
~e ~aphe"
de Sa,urne, d'A,las, qui
'f
é t.blit le
déiiei~ux
Judio des l-feíj>.é!ides ,
&
tous les
bérD~
de
b.
Fabl!, ,
Perféc, les Gorgooas
&
le rene,
o.'¡l
j'JIS
maoqué d'y
place•
.auffi.
les
H:¡'ferh9r;'''J .•
CaJíg;'"
t,</h;u
O.ithyam
a»umJ, ,ari! a",pldJ.ittu aJÍ! , (D.
J.)
HYPERC.'\T~LECTIQU E ,
adj.
(Litel r . )
ter",.
¡J.
Po'¡¡.
t"r~'
é;i'
lati"",
qui
le
¡li. des vers
¡lu
iI
y
a
une
00
·deux Cyllabes de trOP , au-dela de la meClIre
d'un
v.esrégulier.
Voy,:<-
V
ERS. Ce mOl e(l grec "".,–
,AIII.II'.MII..,.'--",
cqmpo.(é
d'~trf"
[tU";
&
xd,.'I"III."t')
If.II,m~ttr~
aH
"ottrbre,
IIju"t.,;
¡le
fort~
qu'h.ypcroa(a/eéfir¡ue
ell )a
m~me choCe que
flUia;op,,- .
On dilli.ogue les veos grecs
&
la,ios par rapport
a
la
mefur~
'o Ruarre
rort<:s;
en
v~rs
tUMa!.éfir"eJ,
'luí foO(
ceuI
i
la
60
defquels ¡¡ ne manque
d~n;
el)
oatql.4i–
"'"OJ,
quí
Cont
c~ux
a
la
6n
d.Cqllals i) manque une fyl–
[, Ql';
en
órachicatal<tf/ir-uu,
auxquels
iI
olaqque uo pié
;\ la
tin;
&
eo
hYP<Yf at4IeéfirueJ,
qui on¡ ur¡e ou qeux
(y labes .de
pl.us,01)
les no.rnme auffi
hypermettl'<J.
Vo–
y~~
A9ATALEcTlqUE, CAT!-LE\lT/QU.E.
Ditl.
de
'Tri,
'Vo!'x .
&c.
(G)
.HYPERC1ITH.I\.R E,
r.
f.
(Med,)
U...
·I...
~&I"',
fuptr"purgapio ;
ce leome en
~roployé
pour déligncr I'ef–
fet
ill)I)lOa~ré,
cxcciJif.
pªr
.cooftquen{ IOll.jOU¡S nuiliblo
d'm¡
r~mede
purgatif, trOP violenl.
Voye'?
l'
y
~
G
A–
l'ION.
·HYPERCHIRIA,
(Mythol.)
fumom dongé
a
Ju–
noo, Cous lequel elle étoit adorée dans la Laconie.
00
lui
~voit tlev~
un tel)lple
aprc~
un
Mbordefl1eli~de
1'l;:lI-
<qlas.
.
HYPERCR
15J!:,
r.
f
(Meti.)
....
'1·/·..' 1
f"pel'
in,–
¿i,,.tio,
ce
term~
tígnilie une
crífe
. iol0I'IC, ('xceffive,
quj fe rail
d~ns
llne
rn~ladie, ¡orCql1~ I'é'~t
<les forees
11e compor!e pas les
~ffcHts
cx¡roordtnajre!¡ que faie la oa–
ture pour op,ércf la cotlíoo \le
¡~
matiHe Il).Qrbitique,
&
pour s'eo
décharg~r ~n
cooféquel1ce, en CQr¡e que les
e!fi,¡s qui ell réfultent fOIl! fljiyis d'un abatterneqt fi eon–
fid ¿rable, que la yíe des malades ell en grand daoger .
VOl~~
CRjS¡;;, ¡":FI,()RT, COCTIOlj,
N~1;UR!i .
IiYPERCRITIQUP:,
C.
m
(1,ill'r, )
e~ní'eljr
ou–
Iré, critique qui ne l'IlfTe pafTer aucune faule, qui ne
pardonne rían .
VQjez
CRITIQUE. Ce
mol
~n
formé
d'uoft ,
(f4r;
~
de
&"'TI'fo9f
~
de
F"'''"",r
1
Ipge;
de
1(,1.'"
,jll-
diro,
je'
ju~e.
.
L~ requ~tc
des D iéliQntlaires de !\1eJ.\age
~
l'
Ac~qé
mie
fr~n,oí[~
cOlllrrence ªioli!
A nojfe'¡p"ltl'J
a(,.dbnlru~J,
Noffejg"eu~s
les
hypercníqu;S.
011
le terme
hYfurcritirJt<J
en pris
dao~
le
feo~
¡je cri–
tir;ues, fouvcrams juges eo dHoier rc(fo" cjes ouyugcs
d'.fprit,
&
c'cll ce qu'¡¡ lignifie
~
I¡ lettre.
(G)
HYPE~DII\ZEUX,IS
en, en
Mujir"e ,
30
r~pport
du vieux Bacepius)...I·in,ervalle eqlier du diapafqo entre
d<llX tétracordes.
J
elle cilla disJqnélioo q'li regne
el~tre les
rétracord~s
hypatoo
&
"yper~"léoo .
Poye:<-
T E-
TRACORDE ,
($)
.
H Yf!¡":RDOR!EN,3d.
Cl"f!'Jit{.)
e(l uoe des modos
de l'ancieone mu(¡quo
app~lIée
autrerpent
m)xolydi.,..
Le nom
d"hYI':~l'dori.,.
lui
flj'
doooé; paree
qu~
fa
[.10-
damentale éton une
qu~rte
au-deilus qe celle du mode
poden .
Puyer.
MODE.
... _. .,
.
HYP
333
On atttibue •
p,tboelíde
I'iovell.ioo de, ce. mode .
(Sr
HYPERDU
LlE,
r.
f.
tJlrU1e de
'Ib/.I'J!.i_,
cut
le
q\l'on reod 3
la
Caime Vierl(c.
Voya,
VIER G.E_ Le Inot
eO: g.rec,
ú...
,l'.lol... ,
comport: de ; ...,
1
.au-á~I4J;
&
h .+..u&..,
,/l/U,
f~rvj,~.
00
appelll'
dulie
le culte qo'on
~eod
"ox f.iolS,
&
hyperduli,
celui qu'on rend
3
la mere de D ieu, pare<;
qu'i! en d'oD ordre (up.éJieUJ
.a
fautr• .
V.oy."
ClJLTE.
Diéf.
d.
'Tr/voux .
(G)
11
Y PE R-E'O
L I E N ,
(Mu/i'llle . )
le ptnul6elT)e
a
I'aigu des $juin,e mow" de la mu{,que .des G rec6.
Ce
mode, n on plus que I'Hyperlydien qui le Cuit,
n'é~oit
pas
Ii
anden que '-el)
aUlres.
J).ri(}oxene n"en
fuit
'3UCU–
ne mentíon,
&
P,olomée, qui n'en admet,oit
~\le
(ept,
le
retr::mchoit -avec plufiC!lrs autres.
Ce
mode
portoi~
le
n o¡n
d'byper-IoJim,
parce que Ca fondamet¡tale éroil une.
quarle au-delílls de .celle po ¡node
.éoli~l1, dOll~
il
~iroit
fop ori¡;ine.
( S)
HY
PE R
E' P
Ji
I
DROSE,
f.
f.{Med.}ú-·1/9.1",...,.
[r.perflldatio;
ce
~rme
Jigni6e une
év~ualiJ)o
cxceljiv!,
par
la
vDie des fueurs.
Vo)"a,
6 JJ,EUR.
HYPERIA'iTlEN, oTl MIXOLYDIEN AIG,U.
(Mufi'{II<.'
c'en le OOn) qu'Euclide
&
pluueurs aocíens
dooneo~
a)l mnge de la muugue
~reque,
.¡>pei\¿
bYP ....
Tio"i,n
par d';llItrCS auteurs.
Vo)!n
H,YP,ER" 0)o(Up;.
(S)
BY-PERICOl.DE. [.
t.
{HifI· nato
BDt.)
gen~e
!le
plante, dont la .fIcur en compoCée de quatre pétalc;s di–
CpoCés
en rond
&
'\1égaux: les w,ux
pl¡,~
gr.attd, font
oppoCés l'u)1
¡¡
I'autre cOIl11l)e les deP': plus peti,.: le
calicj! en compofé de deux fellill&s; ¡¡
en,
fa"
UI1
pini!,
qjli
devi~nt
da!l' la. Cuite un flUi, obloog :
~
frujt s'ou–
vre d'un bou,
;l.
I';lune eo deux parties,
f,r.
r~t¡fer¡ne
de;
pe,ítes
C~mel1ce~.
);'IQmier ,.
npva, ¡(fml,
,I!/J1er.
genero
Voy,,,-
PLANTE .
.
H'(PERIONIEN,
(M"ji'{ue,.}
ellle
9.11ID
d'uo des
modes de la ¡nu}iqlle de!¡
G,ree~, .ppell~
¡101li
par qud–
q.\l~s"uns I¡y~riaflien
I!¡.
»1ixo!ydú"
fligu .
Ce
1J)0qe
avoit fa
fOQc:4m!~Ilt¡1Ie.,
une
qua~te
ap,· ddTus
<k
l'ionie" dOOI i! 'iroil
Con
llrigiqe;
&
c'e(1 le
dou7.~Il)e 11)" do du
~.r"ve
a
I'aigu , (e(oll
le
d911Ptp,bremcnt
d'J\lypius,
Voye,?
MO!?!i.
~S)
_
HYPERLYI;>.\EN,
~1l
Mtlfilflle"
le ¡¡lus
aigu
d<:s
quio?\! Il)odcs des l'Jrws.,
don~
011
trouv~
le dé,noll}brc–
p1ent dans Alypius. Ce mode, non plus que Coo
"Oir.11
¡rhyper-éolien,
n'éroit p,as
~
anden
qll¡e
le~
tr.eí1.c amres;
&
í\~i(joxcn~,
qui les 1100)l11e touS, oe
f.,t
aUCUO\! meo–
,iQn de ces
deu~-li,
Celui ¡jont i) c(l
id
quelliop.. s'ap–
p<lIoi,
pyper/¿di""
par¡:e que
fa
fondamelHak éeo;, uoe
quarto
~1!-de¡Jus
de
c~l)e
du '¡nodel
ydi~n
.. ¡jont
iI
riroit
fon origíne,
V".)',
MODE.
(S)
!:-IY!'ER.IYlETRE:, adj .
(Littlr.)
,erme, de poélie
anci~ºn.e.
VOl!'"
HYP¡;:RCATALECTLqUE; c
~n I~
ml!–
nle t;b,ofe.
C¡;
mor
vknt
dJII~'"
Jitr
;
&
fH'r'O'1 ,
m~f"re.
·· l-IYP~RMIXOLyDlEN,
(M1f/ir"<')
UD des mo–
des
q~
la mulique des aoeieD.s.
Vpye,?
!:-I
y
P
~
R
P
S R
Y–
G
lE".
·!:-IYPEROCHE,
(M"jir,)
dilférenee .qui Ce lrauve
~nlre
les ¡jiilfes
eoh~rrnooí<ll1e
&
chromattque;
&
cetlo
dilfér~oc~
ea.
cx.prim~e P~\ I~
proponion de
3(2)
a
3°72..
Cllr
~=.:!. :
'.!!.
( D .
'}.)
.
_10'1.
14
11J-
•
tfYPERO-PtlARI?-\GIEN,
~n 4"atqmi~,
oom
d~
qeux -mu(e!es ¡ju
phario~.
J7Qye"
PERtSTAPHtLI-PHA-
RYh\¡;LE".
.
H ,{P¡<;~P!:-IR
YG1EN ,
(Mufirw·)
app~lIé
.;ufli par
~uc!íde
hypcr>rIl".ly4i<n,
1'1\,
en
Mufi<1u~,.
le plus a'gll
des tr(li"1;e
mqd~~
l'
Arillq~eoe,
fa'faa\
I~
dlapaí'on avec
¡'hypodorko le plus
g~ave
de tQos.
(S)
~ IiYPf:~SI\RCOSE,
r.
F.
t¿rme
df
Chirurgie,
ex–
croiCf~t¡~~
cbaqlue, quí fe forme ¡jans les plales
&
les
ul~ere~
•
c'lOn
pré~iré'l'en~
ulle
y.'~gétatioll
qui dílfl're. d'uno
excroi!Tan~e
1
proprem~nt
<lIto,
en ce que ce\le-el f" "!le
une tume\!r
rev~tue
des ,égul11ens
l1ator~ls
de la partle;
lels fom ¡es polype¡, les
(l()ndylotn~1
les
fic
s),
&"
Va)er.
EJ¡CROISSAN<;:!\, 6; que
l'bypcrj4"o[e
elt lIoe
~hair
uleér':e ."
11
o'ef! pái pqffible de
p~rvel1ir
a
la g\lériCon
de~
plaies
pu
d~s \llcqre~ ~vec
I¡yperf{lfcofe-,
Cans
~voir Qétr~it cct'~
excroilf~uce
cl]arnue: on la ellnComme
~Qmmul1ér¡¡e~t
avec des
~Cch~rotiques.
comme les
Irochlfljl\~s
qe f\lbh–
mé corrolif, I'aluo calcin<l ,
I~ p,réei~ilé rGu~e,
la pierre
ioferoal~.
&,.
le~ caroll¡i~~s
de I'ulcere COOI
~es
hyper-
fareufos.
V~)'e"-
C;AR
NO~lTh ,
•
..
. 11
Y \\ peal1c:oQP d'obtC¡va¡lons
'tUl 00\
fatt val[ que
des ·~Fr01f1ances fQogl1eur~
que
l'a rqpu,~tíc;)O
rG
Ilerée
4
I'uf;\ge -des cathérétiq¡¡es o'empecboieq,
p~s
<l<
répullu–
ler , Onl
c~dé ~
l'u[ªgc
4~
re¡ne4es
~ond3n1
6; de.s pur-
llaulS .