1000000038

GRI

fe crnifcnr,

qui la:ITcdt enrr'eut des ínter valles qou–

rél,

oblong', oo de route 11Utrc 6¡¡ore. On prat ue

t.r•lla~c

3UI

foupiraux de; caves

aur porccs

d'un

¡;3rdc-rnooger

par-roor ou l'on veut perrn<Ute l'e01rée

libre

l'air

la fermcr

rourc nutre chofe.

R 1 L L A G

Jtrmu

¡.ahrt911ant dt bi.,J,,

ell

un picio dcffiné divcrfemenr fdoo les goOrs divers,

rr~ vaillt:

ave

li:ul fufeau pour chaquc

ou trair,

chJr¡¡é d'un

qoi n'a qu'un dnubl

c • Qu

oiquc rour

gríll.zgt

;'appcilc

plon

por11t

tfc.ut,

faut

pas croire qu'il n'y air point d'cfpace d'un

lil

au–

tre, il y en

roOJoors de perirs qur, poor l'ordin3rre

formcnt autanr de <loarrés un peu

inclinés.

R 1

l..

LAG E

m ltnnes

e ,nfiftMr'

ou–

vragc

qui l•on donne ce nom, paree que l'on le laif·

fe un peu rooffir fur

fcu On

1311

des

gr:llagts

d'a–

mandes, de raillndin, de cirron ,

&r.

R 1 L L A G 8 , (

Dorimafic

} .,.,..

/'articlc

O T 1

AO F.

• G

1 L LE,

f. on dono e communc!menr ce nom

rnur allcmblage de matiere folide, fait a

aire 9oie;

ainr. la ela'e

ell

une efpccc de

grille.

La barriere qui

fépue en dcur le parloir

de~

rcligicufcs, s' appclle

grill<

;

les rc ligicofcs foor d'un cóté

en-

dedans; ccux

qui converfenr avec elles font de l'aurre cót¿ en-dchors;

ccrre ¡vil/e

ert quelquefois couverce d'un voile: quelque–

fois elle rerle ouvene, mnis elle ert doublé'e,

les rra–

Yerfcs de l'une coupe

divi(c en plus pe1irs elpaces les

mrervalle~

voides de l'aurre.

f/oy.

dtr>tJ

artides

fr•i–

•

.1111

difrérenres aurres ncccptions du meme mor. Les

:rillcs,

foit en pnnc, foir au•re, fon1 de grands ouvra·

ges

<le

Scrrurerie; cll<1 dcmJndcnr du dcifein, de la eoo–

ooilfnoce en Arch t<élore, un grand nrt de rn-Jnier

fer.

R 1

L F, (

lldr.)

en fair de

onraines,

alfcm;>IJge de p ulreurs cierge

d'eau.

1/vyr:::

e 1

R·

. ün le dit nuffi d'un rreilli> de groffe charpettle rnis

da'' IC\ f tndn1'uns, dans l'eau, ou dam un rerrein plein

t'IC, qu'il ne fau1 pn'

venter pnr le pilorage, pour

m;e"x f·•nder delfu<.

(K}

(; R

, (

lüonom

rufli'l.

}

on appelle

grille

ét.mg,

le licu par o

l'eao fe décharge

quan~

• G

ommrr<c)

on appclle

Genes

(O>n·

pa¡r,ni<

dtJ

grilltr,

une nffociar'on de tnlrch1nds pour

trAÍie

des

•gro<.

f/oytz

M P A G N

• G

1. Le , (

Commtrce.}

loine d'Efpngoe; c'efl

1.t

prim~,

ou mcre-laine , qu'on compare aux plus

ñn« de

'alliile

d'A•rngon.

ltrmt

dt Blafvn,

qui

dir de ccrrains bar–

reau

qui fnnt

In vrfiere d'un ht'aume,

<lUÍ

em–

peche •r

les

Y''~'

du ch:valier d'

erre

uffenfós On ap·

pellr

~~~m

grille,

une

pone

~-couli!fe

grillée, qu'

on pe'nr quelqudui

< fu

le' écu> .

• G

1..

L F, (

B.lf·

.Iu

m<rier)

il y a la

grille

les

rell

>rt>

grr/lc

1;1111

d« parrio< de cctte machi-

oc.

l'oy<Z

/'areir/t

ll•l\lt•

• G

11 r 1

L • A

Do 11

ti, (

Dorwr)

trerllis de fer

dont le< maillcs fnnr

lolange.

ferr oul D•lfeors

qui expofenr au feo Icor< ouvra¡;es, avec commodité

t>rooreté, en les plac;1•H fur ecuo

grille

R·,

termr dt Fond.rit,

cll un chJffi> de plu–

Jic "'

b.ures de fcr d'on pouce

derni de grolleur ,

ditlanrc< de 1r0is pouccs,

cO•Jché«

niveau ett croi–

f.,nl la Jl•llrrie.

un ofage el!

porrer

le mallif, fur

leqncl <'erablir le modele, de

fi>Orcnir

les briqo•illoos

done un rcmpli1 la folfe,

de ,ier ks mors des ga–

leri~~

p·1f une embrafTure de fer,

b1ndé

uvec des cla–

VCIIC>

des mnufrles.

Voytt. lts

Pl.wt.

,1< 1,: Fonde–

ric

da ji,Jtuts

lt¡ruflnr.

L tE ,

tt•

••u tle

Ho~tgroyntr,

ert un

iollru–

ment de rcr

(PI

.le

Hongroytur}

garni de fept ou

huu borres, qui entrcnt

p~r

lcur. el<trémtrés da

deox

uovcrfcs nuffi de fcr,

recourbées par le> bours d'on·

"iron trois pouces, qni i'ervenr

pié

grr/1,

ect·

grrllt

fe pofe fur une grande picrre de raille, ou

un m;lllif de l>rique>

A 8

d'environ

qo~rrc

piés

quor·

rt!, fur laquelle on o érendu des charbons ardeos:

fur cerre

grille

que l'nn ét·nd les (.'\J'rs fron¿s de fuif,

n:in que par la chlleur de> 'harb•ms, le lid pui(fe

p~nétrer dan'

l'int~rieur

do cuir.

l'o¡•ez la figu'tJ

f·

4·

Pl.mth<

.lt

llugroytur,

qui rcprefemenr deut ou–

\'rr

qui p11Tent

cu·r enJuir

futf fur IJ

grrlle.

E, (

')urtf

)

ell un ornemem des J•rdins ,

pruf"c

perpétuer la vOe d'une allte

(K)

k lllli

J'lmprimtur

.,,

Tuille-doutt;

voyet

I'Qr·

títf<

M 1

R 1M

R 1

L L E·.D O U C

GRI

82!

L LE ,

(

~Tmnoie

)

font les lame< •ITem·

hlées tellcs qu'eol<s !ilrrcnt du moule,

comrnc

·s

loor ¡otnt<>

la téte

maule. O

les fe

••re

a•

de ¡;rolles ctfailles oo cifoir · c'erl ce que l'•>n lp?dle

Dur I!J

tit~ á~s lam~1.

R 1 L L 8,

ttrme

.le

jt11

tit

Pa111nc

c'ell un tron

d'environ rrois piés de haut fur

enviro~

deux piés de

largeur , pincé ,

dan~

de~ c~ios

des

¡eox de paume,

b haureur deovtron

lrOIS

prés. Tonre baile qoi en–

tre

dans la

gr./le

vaut

qoio-ze pour c<lui qui l'y

placée.

1. L

1!, (

R11htwicr

)

fonr

qoamué de ronrs

des

ficellcs

pof~es

garoies en 1i:1e des han–

tes-lifTcs,

liJC

le devanl des dcux porrc·rames.

Ce<

gril–

oe fonr poim lim'rées; on en peu1 meure 1ant que

lcfdits porte-ramcs en

p~oveot

conrcnir.

Ce>

grillu

fer–

venr ao palfage de> rames, doot on évitc n'nli la con–

fo fion.

L LE R,

voyet.

l'arthle

'A G

f •

G R l

L LE

T .,

R 1

L LE

TE,

tmn• de

Bla–

f~n;

fonneue ronJe qu'on mer au cou do> perit• chieos

oox Jnmbcs des oifeaux de proie . On

l'~pprlle

aolli

grillo:.

G R 1L

TE',

adJ.

ttrmes de

BI.Jfon

fe dit

des oifeaux

proic qui oot

de-

fonnelle$ nux piés.

L eaulm

•11<

Poy Gaillard, d nur au faucon d'argent,

perché. li¿

grrlhté

de meme.

G R l

L LO

grilltu,

infeéle qoi rclfemble•

ro'1

la crgale,

elle n'nvou poinr d'ailes,

qui en

ditf<:ro

p~u

par le bruh qu'il fair.

des

gríllons

domeniques,

des

grillom

fao–

Vaf(e

Parmi ceUX·CÍ.

le ma le efl prefqu... aulli gros

que la cigale, ma's il a le corps plus long;

fa cou–

lcor el! noirltre; il a la

tete grande,

les yeux gros

faillans; il porce fur le t'ront des onreones qui fe meu–

verlt fJcilement, quorqu' elle•

ayenr poiot d' articula–

ri<Hl; il

!i~

¡ambe\

la me me coulcur que le corps,

le, dernieres font tres-longues,

donncur

cet infc–

éle braucoup

facilité pour fauiJ!r;

peut morcher

en-arricre ,comme en-avnnt ; les alles couvrenr prefque

toot le corps, elles fon1

courb~s

leger~menr

filloo–

néel; b queue ell fnorchue ,

le corps e!l plus petir

que celui de la

melle, qui

le venrre plus gras, les

yeux verdi1res, les 1n1enne> rouge<,

la queue fem–

blable

un 1rident . On voi1 ces rn icéles dans les champs

penduo1 l'éré; ils entrcut dons la 1erre

nich~n1;

ils

r<Clen1 pendant

hyver, mois les grands

froids

les

IOn! périr.

Les

m~les

d<s

grillonr

domertiques ont le corps brun

a_lon¡¡é,

b'Bucuup .'" •in

gr·>< que celoi do

grillo;;

f•uvagc ; la 1e1e prei<JUC ronde,

le< yeux noirs; il

y a deux lignes blanche> rranfvcrfales fur le dos, prh

d<>

Jambes du milieu; la queue

el!

fourchue. La fe–

melle

plus groffe que le male ; elle a le venrre plu$

lnng; elle volc

avec

'lUarre alies, celle' du dcfJus foo t

piU> cources que celles do delfous; la queue ert divifée

en• uois foies.

y a des

grillonJ

de plufieurs aurres e–

fpeces ;

Linnreus en

•mpte quarune . l'vlouffcr ,

ir~fot!. thea~.

pag.

34·

Voytz

TE . (/)

Lo:<, (

Cumm )

rer

me ufirt! parmi les mar–

chands de bois pour lt¡¡n•fi<r le

hoN&

d'u11t

prlc.

R 1

l\1

f. (

Pti,&urt.)

rognrde com–

me uop eiTeu riel

l'intt!rEI de l'an de la Peinrure,

recommander la fimplict ré

dan~

les imira1ions de la na·

rore, poor oe pa> in filler encore fur ce príncipe inré·

rcfJaur

:l.

l'occafioo d'un mor donr

ufage

peur-t!–

tre droir de devenir plo> fréquenr que JBmais dans les

Arrs.

niCles qui voulez plaire

roucher, foye'L done per–

fuAdés que les figure> qui

grimarmt,

foit pour parol–

ue avoir de> graces, foir pour

¡nü<r

l'expreffioo, font

num rebutanres dan;

vos

ouvragn aui yeux équirables

d'un fpeélareur iollruir, que les caraéleres faux font o–

dieux daos lo fociété pour les

ho~n~res'geos.

Je fai qoe vous pouve-z m'ob¡céler

que

prefque ron–

res les erprellions que vou• envífngez autoor de vous

fnor ou chorgées ou fcirtle<, que preli¡ue lOor ce qu'on

appclle

gr•u

cfl atfeéla11on

grimau:

ce (ont:l:i des

obllades qoi s'oppofent au

pr•'!(r~s

l'arl, il

laur le'

connolrre,

fans perdre le tems

>en ploindre, mer–

rre fes effons

lrs f'urmonltt.

Rellt!chilfet,

p~nérrez-vous

des fuJets que vous rraí–

re-z, dcfcenjcz en •ou -memes,

cherchet-

cene

nai veté des gra<"c', cene fr•nchife des paffions , que

• l'intéret que vuo

avez •

lrs fa·úr, vous fera unuver.

iorér~r

m•l-emendo qu'on eovifagc apparcmment

daos la fociéré,

fe rromper les

uns

le' aorres ,

iorro-