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614-

GLr\

Les

glandn

perpéroelles ou narorelles íonl de deux

eípecc,, cooglobées ou cooglomérées; nnus les avons

décrires ci-deífus.

Voyt:t

CON

G

LO

B

h'E

&

CON·

G

L O M

t.'

R E'E

Glandes

buceales,

voyn:.

Bu

e e

.~

r.

e .

GlnndtJ

maxill~ires,

voyt::,

M

11

x

1L

r.

11 1 R

1!.

Glanán

íublingunles,

voye:¡;

S

u

B

L1

N G

u

11

LE.

Gland.s

labiales,

vo)•<Z

LA

n

1 A 1 E •

Glandu

palacines,

voyez

P

11

L

t\

T

1

N

E .

Glaná.s

cerumineuf.s,

voyez

e

E

R

u

M 1 N E

u

X.

G/andu

bronch;ales,

voyez

B

Ro:<

eH Es.

Glandu

febacées,

voyn:.

S

En

A

e

~·E.

Glandes

JU)lUiaires,

<•oyt:t

J

u

G

u

L A1RE.

GlaJfdts

atillaires,

voyrz

A

x

1L LA 1RE.

Glandu

inguinales,

voyez

1

N G

u 1NA

r.

1!.

Glandts

parncides,

voyt>:.

P

A R

o T

1

n

E.

Glalldts

de Bruoner,

glandts de

Payer.

voytz

r

Tf!STINAL, PAYER,

&

BRUNNI!R.

Gl,mdes

mefenceriques,

voyez

M

E'

S

E N T f!

R 1QuE.

Gla..dts

f.1crc!es,

voyez

S A

e

R

E'

E.

Glanda

iloaques,

voycz

1

L1AQ u

1!.

Glanda

hépariques,

voytz

HE

P

A

T

1Qu

1!.

Glandn

cilliques,

voytz

e

1ST 1QuE .

Glandes

ípleniques ,

voye:t

S

P LE N

1QuE.

Glandts

lacrymales,

vaya.

LA

e

R Y M

A LE.

Glandtl

lombaires, íont trois

glandts

au<quelles Bu·

tholine a donné ce nom, paree qu'elles fo01 couchées

for les reins .

Voyez

RE 1

N

s.

L es deux plu s grandes íooc pofées !'une fur l'aulre,

enrre la veine cave deícendance

&

l'arrere, daos l'an–

gle formé par

les émolgentes avec

la veine cave. L1

rroiGeme qui en la plus pecice, en poCée íur la premie–

re íous les appendices du diaphragme. Elles commu–

niquenc enrre elles par des pecics vaifleaux

laéliferes .

Barcholin veuc qu' elle< ferveor de refervair comcnun

au chyle; mais

le doéleur

W

Jrrhon íoOcienr une a pi·

nion plus probable, íavoir, qu'elles tiennenr lieu des

grafles

glandes

que l'on crouve daos le mefentere des

a.nimaux

.

Glandu,

miliaires,

voyez

M

1

L1

A 1 R E.

Les

glandes

mucilagioeuíes ou íynoviales, íonr des

glande/

d<11ll HHers a danné le premier la deícripcion.

Voyn

M

u e

1 L A G 1 N E

u

X ,

&

S

v

l"

o

v

1 A L

e .

Glandu

muqueules,

voyez

M

UQ

u

e

u

x.

Glandes

adoriferes, fonr ccrcaines pee ices

glandu

dé–

cau v<rre. par Tyíon anaromiOe anglais, daos la parcie

de la verge o\i le prépuce

ell

coocigu au gland.

Vo)'ez

p

R E'P U

C

1!.

Tyíon leur a donné ce nom

a

cauíe de l'odeor for–

re que JeiiC (eur iiqueur quand elle en fépart'e.

11

y

a

des gens en qui ces

glandes

foot non-feulemenc en plus

grande quancitt', ma11 encare pi

m

gro!Tes,

&

íéparenr

une plus grande quaoricé de liqueur, qui

y

dcmeuranc,

lor!'que le prt'puce en plus long qu'a l'ordinaire. f.:r–

mente fnu ven e, s'aigric,

&

ronge les

glandes.

Ces

glan·

do

ÍOII!

cres-remarquabies daOS

plulieurs

ROIIOBUX

a

quaere pit's, íur-tour daos les chiens

&

dans

le pore.

Glande

pinéale,

voyn

P

1 N

1:

AL

E.

Glande

picuicaire'

voyn

p

1

Tu

1 T

A1

R

e.

Glandes

renales, nppellé<s aurreoncoc

cap[ttlu atrflbi–

lairtJ,

Iom deux

glandes

done EuOachi a faic

la dé–

cauverce,

&

qui fonc

lituées enere l'aorre

&

les reins

un peu au-delfos des vaifleau' émulgens. Leur

Gcuatio~

&

leur figure varienc; car daos les uns elles íanc ron–

des, daos les aueres quarrées, criaugulaires,

&c.

Celle

qui eil

a

droice

t!l

ordinairement plus groífe que celle

qui

efl

a

gauche

j

elles

ÍO~I

eJl\'eluppées de graiffes:

011

ignore leur véricable uíage . On croir qu'elles ícrvenc

a

ft'parer une liqueur du fa ng

arr~rid

avanc qu'il arrivc

aux reins.

Voyez.

A

T

1<

A

B 1

LA 1

R

E

&

V

e N

A

Le •

(

L)

GLANDE,

(Ph)ofiol.'& Pathol.)

'UO)'<Z

SI!CRE'·

T 1

ON.

G

L

11

Nn

E

S, (

Manl;:•, l't1arichall.)

corps ou cor·

pufcule> le plus fouvem de fl)lure ronde ou ovalnire

formés en général par

1'

ecolre-lacemen c, le concO<IfS'

le

plis

&

les replis

des

"aiffeaux capillaires de couce

e~

fpece, c'en-a-dire des cuyaux arrérids, vcineux, lym–

phallques, nerveux

&

excr(to;res.

Si les Buides fucceffivemenc ahérés par une circu la·

tion con nan ce

&

par un broyement concinoel,

&

deve–

nu< en6n inuciles

&

nuitibles, oe s'échappeoiene par qoel–

que \ oie;

(j •

eníuite de ceue d<ipnr31inn' il ne re fai–

fo;c pas on renouvellemenc par

1'

alfociacion de nou·

veaux íucs, capabies d'en réparcr la perre, les forces

&

la vie dts corps animés fcroienc bicn-tóc éreintes

ft

le¡

m< mes caufes qui eo afsurcnt

1~

caoft n·atian

e~

GLA

hlteroient inévicablemcnc la ruine. Une fuice de moo–

vemenc d'ou oaillenc égalemenc

&

l'énetjlie

&

la dé·

gl!"néracinn des liquide>, demnndoit done dn 6 .tr<>, des

couloirs, des

or~ants,

en un

mot, IC.:crétoirc!t

&

ex–

crécoircs propres

3

les ¿taborer,

~

ks íéparer de la maf·

li:.

&

3

les difpofer' ou

3

s'y mcler d< nouvoau, ou

3

y

rentrcr

en

partie, ou

3

en étre entu:rt"rncnt

expnl–

íé>,

&

celle

o(l

la fococl"'" de>

glando

daco>

le

corps

des hommes

&

des anomaux .

11

en el! de rrois fOlle> dans le cheval; naos les di–

llingunns oon-feu lemeuc

rel ativt men~

:\

leur !l1uélurc,

mais encore relativemcm 3

l~,H~

ulages

.

Celles qui compo(enc

la premierc clalfe , ne méri·

ten~

pas prnpremenc le nom de

glandn;

el

tes peuvent

~ere

envi(agées comme des crypcc<, de>

t~llicules

glan–

duleu

x .

Ces pecics cnrpuícules proíquc omperc<pllblcs

~·ont

qu'une membrane fimple , cave, au-dedans de

laquclle une humear puciculiere

ell

fi

crée par un

émi(~

íaire. lis o'en font que les dépolitaores,

&

n'en chao·

gene poinc la nature;

&

li

3

In

l<•rcie de c.s réfervoir.,

placés principalement dans roas

les eodrr>it> du corps

qui íant expofés aul< inJures de l'nir, ou

3

des frolle ·

mens,

00

3

l'irritation que

ptU\'eiH

occationncr des

ffiJ·

cieres acres; elle pnroir différeme de ce qu'elle pnueoit

erre dans le correnc ou elle rec.:voic un mnuvement

qui en1recenoic Ía floidicé; ce11e ditl'érence, ce chnngc·

mene oe confine que daos nn épaiflilfemenc

&

un degc•!

de conliflance qu'ellc n'a acquis que par l'on

íé1nior

daos le follicule, nu par fon épacochemenc daos quelque

cavicé; épanchemenc qui

a

lieu par plulieurs pares ou–

verrs a la íuperficie des crypres,

&

qui ne differc en au·

cune maniere de l'écoulemenc iníenlible d'une liqueur

qui fuince.

Le, fecond genrc de

glandes

comprend les

glandcr

eonglobées; cellcs qui íonc moins Gmples fe prefenteot

fotls une forme ovalaire, ou d'une lrongueur oblongue;

elles reliflent

a

la painte du ícalpel ; elles rouc liées

&

adhérenees aux parcies voifines par un ciflu cellulaire

&

par les cuyaux qui les f•>rmenc ,

&

qui fonc une íuicc

du íylli:me vafculeux . Rnrremblées quelque(ois en un

meme 'lieo. elles íonr néacomains difiinélemeuc fc!palées

les unes des autres. Des !neis, des circonvolutions ca·

pillaires de vaif!eau

x

de coore eípece en compoíent, ain li

que je

l'ai dir, la principale _fubnance.

Do

cillo que

formenc ces pecics vailfeaux qui y emrent

&

qui en íor·

lent, réfulte leur cuoique extérieure qui ell excrcmement

dé'li~e

&

écroicemcnr unie

~

l'incerne, narurellemenr plus

épaiífe

l'i.

plu< compaéle , done

les

fibres onc cauces

forces de díreét;ons,

&

qui doit pareillemene fa naiaance

:1

ces canaux mioces, encre-lac¿s, pelownnés. Les 6bres

de la premierc íonc circulaires, élaOiques; elles en

ton·

rene de couces pares la

glande,

de maniere qu'elles ape–

rent fur elle un reilerremenc, une compreffion . )e croi·

rois que

1

es fibres de la fecoude peuvenr avoir les

me·

mes uíages.

Les

glaades

de ce11e eípece ne

íéparenr auconc

¡;.

queur; elles préparenc la

lymphe, elles la perfrélion–

nenc; elles fonr

á

l'égard des vailfeaux lymphatiqucs,

ce que

les ganglians font

a

l'égard des rnyaux ner·

veux,

&

cecte humeur y cO affin¿e, a11enuée, élabarée

par l'aélioo de leurs membranes capfolaires,

&

de wus

les pecics vailleaux qui s'y rendeuc.

Celles de

In

croiGeme claífe íonr dices

eonglomlrfts;

elles íonc formées de la réunion

&

de l'allemblage de

plufieors

glandts

li~es

encre elles par des vaitfeaux

corn·

muns,

&

reniermécs dans une !'cule

&

m~me

membra·

u

e,

qui fait de ce nombre de grains glaoduleux 011 feul

&

méme organe. Chacun de ces graons, ou qooi que

ce foic, chacuoe de crs perie<s

gla"d"

o'efl également

qu'uo amas de routes fones de vailreaux circonvolus .

De

l'excrémité dos arreres qui apres plulieurs conwurs

s'anallnmofenc avec

les veioes , pnrtenc des vaiífcaux

collacéraux . Le diamecre de ceUI-ci en d'uoe telle lé–

nuicé, qu'ils ne peuvenc fe charjl<r des mot¿coles rou–

ges qoi coocinuent leur rootc daos les cuyaux veineux ,

lis n'adme11em done que la liqoeur qoí doic

~tre

fépa–

rée

j

aufl1

leS dillingue-C-011 par le

llOffi

de

Valjf~aflx

furito;rts

~

r:nd•s

qo~ 1~

ruyau .com_mon

&

plu~

ou

mnins couhderablc qu1oa11 de la Janétoon de ces mcmes

petits conduirs fccréceurs. en appellé

eanal ex<rieotr(,

nuendu qu'il ••críe

&

qu'il dépo(e

la

liqueur qo'il en

a ro<;Üe daos qudque refervoir particulier, dnos qoelque

cavicé commune, ou qu 11

la porce

&

la rranfmec au–

dehors. T<is lont, par e> eonple,

les canaox qoe Sce–

non, \Varron, Rivious, \Vorfungus , ont décou•etl<

daos l'l¡omme,

&

que nous troovoos daos le chevo;.

tth