DUN'
luid,
de fel
mm'i" ,
au. mots
VI
T R / O L, NI T RE,
S
/!
J,
~I
A R IN .
(b)
D U L C I G
O
01'
DO L C r G N O, (
Glog .
",od. )
,'ille. de la Turquie en E urope, dans
13
hau:c
A lbanie ; el le erl fur le Drin, pr"s de I'aucien
Dulei·
gno . L oug.
3 .
2.
lot .
4 1.
H·
D .U L e
1
N 1ST E S,
f. .
m. pI. (
Hift.
tcc/!f. )
héréliques aínCJ nommés de leur chef Dulcin ou Dou–
cin, qui parur au commenccment du XJV. CJec1e.
Cet hérélilrque
(e
vanloir d'':rre envoyé du ciel pour
nnnoocer
aUl
hommes le regoe de
13
charité;
&
iI
. '3bandonnoir
a
toutes (artes d'impurerés,
&
les per–
]llctroir
~
fes leél:a/eurs, comme un aurair pour multi–
plier fes pmifaos. lis méprifoiem, 3uffi-bien que lui,
le
pape
&
les ecc1éfiarliques,
&
regardoieot Duleio
comme le chef du troifieme regoe; car i1s arsuroieot
q
e
celui du Pere avoir duré depuis le commeocemcm
du monde jufqu'a la nailfancc de Jefus-Chrirl; que ce–
Jui du Fils
¿mm
expiré
i
I'an
1300,
celui du Saint–
Erprit
commen~oit
alors fous la dire&ion de D ulcin.
JI fut pris
.&
lJdllé: mais (es erreurs, qu'il avoit (e–
mées dans les Alpes, lui furvécureOl; elles étoient
a–
pcu-prcs les memes que celles des Vaudois, avec lef–
quels ils fe conCondirent dans les vallées de Dauphiné
&
ele
Pi~mont,
&
s'unirent en(in aox Prottaans.
I'oyn
V
A U DO/ S.
Cbamb.rf. (G)
(1 )
D U LEC
H,
(Mdecine)
nom que Paracelfe don–
ne
a
la partie tartareufe du filOg humain .
11
prétend
que
e'ea
elle qui forme la pierre de la veffie,
&
les
~Ulres
qui fe forment dans les animaUI.
D U L
M
E N, (
Glog. modo
)
ville d'Allemagnc: ,
JIU cercIe de Wcllphalie, dans I'éveché de Munlter;
c'erl le chef lieu de la contrée du méme nom.
D U L rE,
C.
f. (
TU.logie
)
Ccrvice- ou fervitude;
terme ufiré parmi les Théologiens, pour exprimer le
culte qu'on rClJd aux Saints.
Le
culte de
duli,
en un
honneur rendu aux Saints
a
caufe des dons excellens
&
des qualilés furnaturelles dont Dicu les a favoriCés .
Les proteflans
001
affeél:é de confondre ce eulte, que
les catholiques rendem aux Saims , avec le culte d'ado–
ration qui n'efl dü qu'a Dieu feul: mais outre que
ceux-ci, en expliquant leur croyJlnce, Ce font fortement
recriés fur I'injuflice
&
la fautleté de cctre imputation,
on peut dire que l'Eglife a toujours penfé Cur cet ar–
licl(, comme Saint Auguflin le remontroit aux Maoi–
chéens:
C
olimm "go mareyreJ,
dír ce pere ,
eo eule"
di ldlioniJ
&
foeictaeiJ q/UJ
&
;71
/'áe vita <ohmtur
fa nO; D ei bomin.s
. . _ .
at .'tro i/lo e" leu
'{IÚ
g""'–
<c
latria dirill,r
.. . .
,,,m jie qu.cdam proprie d;vi–
,útati dtbita
f~r'lJittlJ, n~(
colimltl
1
nce
co/(ndltm
do–
CtmflI niji ,lIltlim
Dettm. Lib. XX.
conJra
Fa141,JYIJ ,
cap.
xxj.
C'erl le culte: de la pre01Í<re eCpece,
q~e
les
C alholiques appellent
eulte
de
dulie ,
&
qu 'ils rendent
aux Saints; ce mol vient de
1,.,,,,
efe/ave.
Le culte
de la Ceconde efpece n'erl dI) qu' ¡¡ Dieu,
&
fe nomme
latrie. I'o)'e<.
C
u
L T E
&
L A
TRI E. (
G )
D U M B L A N C, (
Glog. modo
)
ville d'Ecolfe ,
dans le Monreith
~
elle efl fur la Theélh.
L071g.
14.
16.
lat.
1'6. H.
D U M
F
E
R
M L
1
N
G ,
(GJog. mod.)
ville d'E–
colfe, dans la province de Fife.
Long.
11'.
If.
lat.
H.
H
D U N • (
Glog. mod. )
ville de France, au duché
de Bar, fur la MeuCe.
L ong.
1.2..
p.
lal.
49.
H.
D
u
N - L E -
R
O
J, (
G'og. modo
)
ville de France,
dans le Berry, fur l'Aurone.
L ong.
1.0 d • 14'
6' .
lal.
4 6d .
n°· (.
D U
N A,
(L A),
Glog. modo
riviere de la Rume
Tom. l7.
(1)
~1.
Muracori d:!n! le
',m.
I X,
1\!r.
¡f6IiC.
a. mis :m jour
unc
h!Hoirc
compor~e
p.n
1111
:'mteur qui en: de mémc tcms que. ce 01.11-
CUl .
&:
6.
(c8:e .
"oH
l:tqllcllc on yoit que
celle.cine tire P¡" (on
"Sinc de Dulcio. milis d'ua
ccrt3in
Ger.uJScc:u clli l':umc(:tn
qui vÍ\'oit 3..peu-prcs I'an 1160 . qllC'ique
Dulcin
¡'ait diJatée •
.se
mire en vague dans le OiocHe de
Vereeil,
&
de
Nov:ue .
Cdui.
c~
cnfeignoit que feulcmem ccux de
fJ.
(cite menoicnc une vic vi:.
flt.nh~emcnt
Aponoliquc ,
&
il
¡nU roie
de-la, que
n'éroiem
point
cnmlneh ICJ
Rcligic\lx
de ¡'un
&.
de ¡':lurre (exe qui qllittoient Icur
prcmiu inRitlH
pour
cmbrafic r ce
nOuvC3\1 :
il diCoit
:lUm
(pt'il
11e .hlloit \';1S obéir :lI1lC
Prélau de l'F:;li{c lor{qu'ils :lnr01COt pré–
f\.nt
quelque
chorlo
oppotl:e
a
Icur l nlluur"
11
prédifoir
que 1''}1l
13
0
J.
mOl
les Ure5
de N ocl , ou d:l"s le
mois
de
M:us
de )'30-
o,ée
{~iv3nte
le Roí Frédéric d'ArJgone anroit pris po{)cffion d:
1
EmplrC~
qui luí a\'oÍt
~té
con(bé par les Romains;
&.
nuir~ue
ce
t:rns
" ~c~ul:t
{:lns que {a prétlillion
fCu
:lccomplic, íl
di(olt
que
Clb
n',ron p:u bien loin.
&.
que
2prch que
Frédfric :mroit éu!
f
eTé
:t:J
u6ne Imperi31:
i
I auroie c,,';é neuf Rois en reatie: que
l
e:
aouvel Etnper ur
3uroit
(ajt
mourir
le P.lpe ,
&:
pluficar' Prc-
3U .
be.lUCOllp
de
~Joioes .
&:
de: llre heurs
.:.
&
qu' coftn tOUt ce
DUN
139
E~ropéenne ;
elle
l
r.,
Cl1urce au duché de R iCcow ,
pres dc
b
foure du Volga,
&
elle Ce jette dans le
golte dc R iga, procile le (orr de Dllnamond .
D U N ...\
L M A,
r.
m . (
Hifl. mod. )
fe rc dcs Turcs,
qui dure f<pr Jours
&
fept nnilS. lis la eé1ebrent
a
In
premiere entréc du grand tcigncur dans une villc, ou lorf-.
qu'on
:l
re~l1
la nouvelle de quelqu'évcncment heureu x
&
iméreflant pour I'ttar, comme le gaio d'une bnlail–
le .
I\s
la nomment autrernem
ziné
ou
hiné .
/lI"o rs
les travaux ccllcllt. On fait des décha'ge d'nrrillerie,
des falves de mouCqueterie ,
&
I'on tire
deS
reu~
d 'ar–
tifice. Les rues font tapilfées
&
jooehées de (leurs,
&
le peuple
y
fait des fd lins . R icau¡ ,
de I'. mpire 0,10-
;n" n.
&
e
hamhers. (G)
DU NB!\R
01<
DUMBAR , (
Glog. modo )
ville d'EcoOe, daos
la
province de Lorhian .
L ong.
1
f .
230/Ü'J6SARTON
011
DUNBRITT O N ,
( Glog. modo
)
ville de l'Ecolfe méridionnle, C:lpirnle
du eomté de Lenox; elle ell au confiuen r du Leven
&
de la C lyde.
L ong.
'3.
1
f.
lat.
j6.
38.
D U N D A L
K
E, (
Glog. mod.)
ville d'Irlande,
au comté de Louth. dans la province d'Ulle.
L 071g.
11.
6.
lat.
5'4.
J.
D
U
N D E'E, (
Glog. mod.)
ville de l'Eco(fe
Cc–
ptentrionale, dans la province d'Aogus; elle ca (ur la
Tay.
Long
If. f .
lat.
f6.
4
2.
D U N
E BO
U R
G, (
Glo$' mod.)
forrerelfe de
la Livonie polonoiCe; elle en (ur la Duna .
DUNEMONDE,
(GI.g. mod. )
Cort de Cur–
lande ;
iI
en
a
I'embouchure de la Duna.
Long.
4~.
lat.
51.
D U N
E
S,
f.
f. pI.
(Mar;;,, )
on donne ce nom
il.
des hauteurs détachécs les unes des autres ou petites
mOlllagnes de fable, qui fe trouvent le long d'une c6-
te Cur le bord de la mer _
(Z)
(2)
D U N
E;
T TE,
f.
f. (
Mari/fe)
e'ea le plus haut
¿tage de I'arriere d'un vaitTeau.
Voyez
PI. l.
la
d,mel–
te
marquée
H_ (Z )
D U N F R E 1S, (
G'og. mod.)
ville de I'Ecolle
múidioonle, dans la province de Nithifdale ; elle ea
fur le N ith.
Long.
13. fO.
lat.
H.
8.
D U N
G,
r.
m.
(C
omm.re<)
petits poids de
P
cr–
fe, qui fait la fixieme parrie du meCcal .
1\
faut trois
mill.e fix cel1ts
dl/i/gJ
ou environ pour f.1ire le perit
ba tman de PerC., qu'on appelle
hlltman de ta!trir,
&
~
peu-prcs
7200
pour le grand batmao , autremenr
bae–
mlln de roi
ou
<Mi,
'
prendre le petit barman pour
cinq livres quatorle onces ,
&
le grand pour on2e
Ii–
vres dOIl'le onces poids de mare.
Le
dung
a au·dc(f<lus de lui le graín d'orge, qui
n'en vaut que la qualrieme panie; de forte que le bar–
man de tauris pefe environ
144C0
grains d'orge ,
&
le
batman de roi enviran
28800.
I'oyez
TI
A T M A N _
1'0-
yez l. diElionn.
dI,
Commerc. de Trév .
f.:/
de Cham–
bers .
DUNGARRES,
C.
f.
pI.
(Comm .)
toiles de
eoton qui ,'ienllcO[ de Smat!:, [ous les noms de
dlln–
garris broun ,
ou railes de cotan écrues;
&
de
d"/'Jg ar–
ris 'W/'it ,
ou miles de coton blaoehes .
D U N
q
A
R
V
A N, (
Géog. modo
)
ville d'lrlan–
de , dans la province de Munrl.r, nu eomté de Wa–
terfon.
L ong.
10 . 12.
1m.
)2.
2.
D U N
G
E'A N N O N,
01'
D U N
e
A
N N (') N,
( Glog. modo
)
"ille d'lrlandc, nu
COlmé
de
Wc~ ford, dalls
In
proviuce de Leinllcr .
D U N
K
EL,
(Gl.g. mod.)
ville d'Ecolfe , en
S
2
Per -
monde étam more
I
&
l'ES!ifc ¿r:tnt privéc du domaine rempo"
rel.
Be
de mutes
{e.s
richdf...:( . die
(e
[eraie
hienl~t
redut\(:
:lUpre–
mier c!t3.t
du
nOIlVC.111
Telt:tment .
Le
chd
de
cctte
I!~lift:'
>
0 11
[oit
le llape ::mroit éré Dulcin 5'i1 :\\'oit rur\'écu:
;'111
défJII~t
de luí il
y
en :lllt'oit ell un 311trC , :\ quí
le
53int· E(prit allroi:
donn~
:1.ut.mcde gr:lce > qu'i! eo donn:t
~
S. Picrre le jour de 1.1 !'enrccóte. Au
boue de trois
:'lO!,
&
demí anroie rnccétlé l'Antichrift .
:t
l:t
per~
fecntion duqucl devoiem étre (ounr:lits le Pape ,
Be
ceu);: qu i b i
(eroient :ltt.lchés
~
qui 3 ccr
cacr
:lUroicnt
I!té
tr:m(pOrt~s
:m
jJ,1f"~
\li!
pour
r
demcurcr
a\'CC
Hcnoch,
&
EHe .
L'
~ntichrin
élan( mon .
&.
ft.:lnt
mons :luffi par {e! perf('clltiotls Henoch .
&
Elic le
l':l~
pe .
&
ceux de ton parti (croient
reveliU~
30 lIjQndc ,
ou
'ils :lU_
roicnc convcnir 3 la Fois de Jc[u.s-ChriR
tOlU 'Ws
viv.:lns d'alors .
La fin de: cene Comédic
fíl[ ,
que Dulcin .
&
(Cf
feéb.rcur.s tom .
f,er~nt
entre Jes m:3in" de
l'~\'éque
<te:
Verceil , qui le..
lit
bn:lcrr ,
Se
1"
paycrenr :l1n6 leur folle , lis furent exécutés le prcmicr JLlin
de
1"""
' 3°7.
(M )
(1)
OU¡O; ES
ea.
~uffi
une
pflite
ville de France
d30S
le gOI:\·erne.
mene de GUlenQc,
&
daos l'Arm:'lgnac. Voye?
,Mortr;, (ll)