COM
tli en titre.
VOJa:
ce qui
ell
dit ci-devant
a,. moe
C O M-
'l.l I
Al R E.S.
N ous ne nous é tendrons pas davamage ici fur ce qui
c onCt!rnc
les
~ommllra;rtJ cnqu~[eurs
-
elamin:ueurs
de
París, aynnt MJ;i trallé cet obJee
IIf'
mot
C o M
M
t S–
SA I RES AU C II ATE LE T.
A l'égard des :\utres
lJummi./Ja;rtJ
enquélcurs-cx3mi–
nateur., les dilféreOles créations de ces ollices font mar–
quées dans le
dilliunna;re
ti,el
Ilrrt/J
1
3U
mut
(ommiJ–
[airo,
IZ.
/ 3.
leUl s fonélions fom a-peu-pres les
m~me que celles des
e.mmi.o'';rcs
au chatelet ; les regle–
m ens imervenus
11
ce fUJ et 10lH rapponés par Joly ,
to–
me
11.
liv.
111.
tito x vj.
1I
y
a eu
des
,ommil{airtI
eX3rnin:lteurs
eréis
pOUr
les éleétions,
&
d'n",res poor les greniers-;i-fcl, m ais
ces ollices one él!! fupprimés.
( A ) .
C o M
M
1
A l
R
E S
E N
voy E's PAR L E Ro t .
V o).'e:¿
1
N T E N D A N S.
( A )
e
o
M M
1S A 1 R E S
E X
PE R T S; on donne quelque·
fois aux
exp~T1s
la qualité de
commiffairo,
parce qu'on
effet ,ils fo m c" mmis par Jullice po", faire leur
,"PPOrt
fur
queJ~ue
cho{e.
VOJc:¿ la ¡raei,!ue
d' l mbert,
liv. l .
ch. Ixj .
&
a:tx notes .. ( A)
C O
M M
1
S
S A 1 R
E
S
P
E
S F
1)
IR E S
ou
D E S
G
A R–
DES DES fO l R E S DE CJlAMPAGNE
&
DE
TI
R
1E , étoieOl .des o lliciers dépUlé$ par le Roi allx foi–
res de C hampagne
.&
J3rie pour la confervation des pri–
viléges de ces foires: ils avoiem
iI
)eur tete un maltre
Ou garde des foires, c¡¡mm on voit par des
I"tres
de Philippe
VI.
d" mois d. D I..mbre
t 33 1. ils é toient
chargés de faire ex':cuter les mande¡nens du moitre des
foires, comme il elt dit dans une
orrionnanee
du m emo
roi,
d"
m';I de juillet
1144.
art o ; 71j. ( A )
G
R A N
1)
S C O
M
M1S S A 1 R E S.
Voye:¿
PAR L
1'–
MENT
&
COMM IS SA tR l!S.
(A)
e
o
M 1\1
r
S S A I R
I!.
S A U
x
1
N V E N T A
J
RE,
émi–
ent
d~s
officiers créés pour la
cOllt'l::él:ion
dés
inVem3i–
res qui fe funt des biel1s des défullls. Par
édit des m. is
Je Mal
1622
&
O ¡amb"e
1639,
iI
en fue créé dans
les «!fons des par)eme"s de ToulouCe, Burdeaux
&
A ix,
&
des grelliers pour écrire fous eux ces inveOlaircs.
/1
n'y eut qu'uo tre'-petit no mbre de ces olliees qui fu–
rcnr levés
1
&
cene
création
nlcut
point lieu
dans
le
rer–
ron des aucres
parl erncns.
Ces
premiers
atE ces
de
com·
¡niffa;rc.s
flU X
in'PuJ~(.tjr,l
&.
\eurs grcffiers furent fup·
primés
par
¡die du mo;s de Mars
/ 702;
lequel, au lieu
de ces ollices , en crén d'autres Cous le litre de
eo,,–
J~illerJ
d" R o; commiffaircJ aux
;nptntaires ,
dan"
tOU$
Jes Iieux ou la j ll llice appnr¡ieOl au R oi,
iI
J'exception
de la \' ille de Paris , ou les N otaires fureOl confirmés
pans Ja po rreflioll 011 i1s
r0l11
de faire Ceuls les in ven–
tairc s. On
créll
quatre de ces
nOll Vcaux
commi/faires
daos les villes oi! il Y a cour Cupérieure, deux dans cha–
c'lIle des aUlres ville ou il y a prélidial , bail ,iage o u
fé,,~chaurrée
re(fortirrant es cours ,
&
un dans chaque
v ille
&
p orl; ou
ji
y 3 jurifdiétioo royale ordinaire .
puur
proc~der f~uls,
a
l'<xclulioo de touS au tres olli–
ciers, )orfqu'ih
CIl
feroie", requis,
it
)'appofieion
&
le–
"é< des
rcell~s
&
aux invemaires des bien -meubles
&
jmme"bles, titres,
p~piers
&:
ellfeignemens des défums,
m eme aux invemaires qui feroien t ordoooés par Jufiice
Ion des banqueroo les
&
f~il
Jites des marchands,
n~go
cíans, o u autres C3; felnblables,
a
l'effet de quoi ils de–
VOÍ<Ol avoir chacun leur fceau poor l'appofition des fecl –
Ié; . O .. créa par le meme
~di[
pareil oombre de gref–
tic"
dan chaque ville poor écrire les invemaires. Cee
t!dit ne fu t pas e. écut'; dan, quelques provioce" com–
¡ne en ArtolS;
&
les inconvéniells que I'on reconout
pa' la Cu;te dan ces o hces, dérerminerem 3 les fuppri–
¡na
par une
dlelaraei~n
d"
f
D lecmbre
J
714.
(A)
C o \1
' !
1S S
.~
t R E A U X
M
A 1 N - "t E S, rom
c~u ~
érab.i aux failies teodales qui fe fom en Flandre
&
dans le H aioauL, <¡lIe I'on ap¡>elJe
main-1'IIi[e
au lieu
de
faific.[I',dale.
Par
Ndit de Fevri,,'
1692,
00
créa
d e\
eommijJ:uro
reccveurs des f.ilies-réelles en F landre
&
Haynaut;
&
par une
d¡clara/ion d"
2
Janvier
IÓ9-f ,
il
fut ordonné que ces memes
commi.o:':rrs
feroiem é–
labli~
;\ toUtes le main.miCes qui fe fe",km t3m eo H ay.
I,"ut qu'cn FJandre.
( A )
C o MM1S S A l RE
1 u R E'S D
l!
L (\
M
A R E'E ,
fon< ceux qul OIH i"fpeétion
&
Jurifdiétion fur les veo–
de~rs
de marée;
iI
eo ell parlé dans une
ordo'lnanee
du
rOl ]éan,
du mOtI de Flvr;er
13fO,
flre.
99
V.
C
H
A M.
11 RED E L A
M
A R
~·E.
( A )
e
o
M MI;; A l RE D
E 1) U T E'S S U R L E FA I T
P E
M
o N No 1E .
Vo)'n
M
o NNo I ES .
(A)
e
o MM1S S A 1 R E S
ti
o MME'S PAR LE ROl, fout
COM
des Illagifirats commis par . M. pour cetrailles
affilir~
CQlnlne pour
la
vente,
échnnge
ou :tutre
aliéll3lion
d;
qucJques domaioes, de rCllles aflignée li.r les re venus
du 1 oi, ou pour connnjrre d'une atl"aire particu1icre,
foil
c¡vile
ou
criminelle
1
OU
de
(outes h,:s nffnircs
d'une
cetraine oature .
I/o)'n ci-aprh
C
O "
S
E
I L
,¡
la [lIbdi–
vif.o"
e
o
M M
t
S A 1
It
E •
(A)
C O ~H: I S
A t RE SUR
LES
ORDONNANCE
)) U RO l , éloiem des gens du confeil , que le R oi com–
m etloit pour
dé
iberer o>ec le parlcment fur les nou–
velles ordonnances. L e roi ] can ñnit une ordono3nce
de 1'3ft , en
dif.llt
q~c
s'il
y
a quelql1C chofe
iI
y
oJoO –
ter,
chan~er
ou interprétcr, cela
(e
fero par des
eommi(–
[aires
qu'l l députera
¡,
cee efret,
&
qui en déJibereronr
avec les gens du parlemcnt.
Ordonnances
d. 1"
froi–
jieme race, tome
11.
pag.
380.
(A)
C OM" 1S A l RED U P A R I.
E
M'''E N T .
Vo)'e::.
,¡
I'artid.
PAR
L E M
E
N T
l.
<§
Commi.o¡'ires. (A)
C OMM'S
AIRES.ADr .A'I\,T2S ,
font ceux que
J'on choifi t d311S le Iieu meme ou le doit remplir la
commifliol1,;i la difterence de ceux qui Ce tr.nfportenr
a
cet eff'et fur les lieux. On ooml1le alltane que J'01l
peut des
commlffaircJ
ad
p"rtes
pour éviter
aUl p3rtit!s
les frais du rraolpor! . Ctla fe pratique eo plUliel1rs cas ,
cOlllme lorfqu'il s'.git de faire une eoqllele ou une in–
fonn:Hil1l1
1
un intenogaloire fur fnits
&
anic1rs
1
un pro–
ces-verbal.
L'Qrdonnal1ee
de Philippe
V .
d" moiI de
} évritr
J
318 ,
arto
2.
dit qu'au cas que Jes porties
f~ront d'accord en par\ement, de prendre des
commiffaircI
en leur pays, qu'il leur
en
fera oétroyé, ati n que chacun
puirre pourtuivre fa caufe 3 moins de frais,
&e.
Voy,,:.
la prati9"e
' d' lmbert,
liv.
/ .
ch. xxxjx.
(/1 )
. P
¡;
T 1T S C
O " M 1
S A 1 R E S .
V.
P AR
l.
E ME N
T
1'"
~
e
ommiffaircs . (A)
C o M
M
1S A 1 R
t.
S D E Po L 1CE, font des olliciers
de robe établis dans certaines ville, pour aider Je Juge
de pol icc daos res fonétioos, comme pour foire la po–
lice dans le rues
&
march~s,
fnire des vililes
&
pro–
ccs-verbaux. L es
eommijJaires
au chal.let de Paris
&
les
commiffaircJ
enqll~teurs
&
cX3tnin:ltcurs
ér:lblis dans
pI
u–
fieurs aurres virles, fom des
commiffalres
de policc qui
o nt des titres plus
011
m " ins étendus , fclon les édils de
créatioll de leurs churges.
Vo)'e:¿
ce qui efi dit ci -devane
flUX
mots
e
o
M M I S S A I R E
A U
e
H A
T E r, E
T,
&
(lIIX
mot.s
e
o
M M 1 S A I R E S E N
Q.
u
I!
T E U R S R X A –
NINATEURS .
(A)
C
o
M M 1 S
A l
R E - R
E'C
E
v
E U R S E T G A R
l)
E 5-
D
E'P o S I TA l R
E S
n
A
N
S L E S S 1
E G E S
J)'
r\.
"
I–
R
A U T
E' ,
furent fupprimés par
J'ldit d" mois d' Ollo–
bre
1
716 .
( A )
C o MM1S S A l R E S - R E'F O R MA T E U R S.
V.
R E'–
F O R'tATEURS.
( A )
o
M 1 1
A 1 R E S A U X
R
E
Q
l'
€.
T E S D U
P
A -
L A l .
Voyn
PAR L E ME NT
&
R E
<:l.
U
€
r E S
J)
U
PA LA I S.
(A)
C o ,t M1S S A 1 R E S A U X
S
'A 1S t E SoR E'E L L E S .
Voye:¿
S
A 1 S 1 E S -
R
E'E L
LE .
( A )
e
o MM1S S A 1 R
¡¡ -
S E
Q
UE T R E S.
VOJe:¿
S
E–
QUESTRES.
(A)
e
o
M M 1 S S A 1 R E S D U
ROl
cOlltr~
la
1/.(lIreJ ,
é·
roiem ceux
ii
qui le R oi donnoie commiflic,lII de repri–
m er les ufures des L o mbards , !taliens
&
autres qui
pr~toieOl
~
uo illtérét plus fort que celui qui étoit permis '
par les ordonoances. On trouve dans le
[ceond vol"",e
da ordol111nnca
de
,(1,
:.roificme
race
un mnndcment du
roi J eao,
d" moiI d'Avril
13fO, adrerré
a
J'abbé de falOr
Pierre
~'Auxerre,
commiffaire
{ur le fait des L o mbard s
&
!t3liens ufuriers. (
11 )
C o MM1SS A 1R E S
J)
F.
S T A t r L E S, Curem créés
par
Idit
d"
mois de J "in
1702, pour faire dans chaque
éleétion I'e.écution de toutes les contrailltes d¿cerné<s par
les receveurs des tailles
&
leurs commis pou r Je recou–
\'rement des tailles, crues
y
Jointes
&
autres impo litiolls.
es
eommiffaires
fureot Cubllitu':s aux huifliers des laiJ–
les, pour la faculté que ceu x-ci avoien t de faire touS
exploits en matiere de tailles: ils om depuis été fuppri–
més.
( A )
C o MM I S S A t R l! V
J!'
R 1F 1e A T l! U R D E S R Ó–
L E S D ES T A l r. L E S; ce titre étoie atlaché a l'ollice
de confdller lieuteoam-criminel c réé dans chaque éle–
étioo par
<die du mois d' Aolit
1Ó93; fa fonétion en qua–
lité de
tommif{aire-vérificlllt!ur,
étoit de faire la véri–
ficatiol1
&
ligoature des rÓlcs des
taille~,
t.iJlon, fubri–
des,
&c.
faitS par les
~rréeurs
&
colleéteurs ; mais ces of–
tices
de Iieutenaot-crimincl
comlni/TtJire-v¿Ti!irduur
ont
¿té fupprimés par
<die d" mois
ti'
AolÍt
171f.
( A)
COM~I1S5AIRES
PROV I NCIAUX,
dans I'Ar–
ti/-