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COI

e

o

1 N ,

(n term( de

Dinmantair~,

ct

ront des

f:t–

ces angulaires qui (éparem les bi(eaux,

&

fune du bril–

lanr quarré par (es quarre bi(eaux, un quarr¿ arroudi.

Voyez

BIs E A U

&

B

R I L L A N T .

e

o

1

N,

en ter"" de

B OII#OIJ"ie,-,

c'cfl I'endroit par

ou 1'on cornmence

un bouton

3UX

pointes; & eornme

iI

y a qualre poiores,

iI

ell elair qu'il doil y avoir qua–

tre

coínI

daos un bauton. L es

prelniers

tours de ces

poinrs ne (onr pas ondés.

Voy.z

O

N D E S .

D ans un

bouton de rrair ou glacé, ils (om toOjours de file.

&

fom comme 3Ulanl d'allaches pour coudre le bOUIOLl fans

I'endommager .

e o I N, (

Fa"eomurú

)

(e dir des plumcs qui for–

mem Ics clll¿s de la queue de I'oi(eau; il Ya les dcux

premieres, les deux (econdes,

&

e.

de chaque

eo;n;

cel–

re dénomiuarion ne cene qu'aux deux du milieu qu'on

appelle les

eo,i.,.rln.

e o I N OU

COlltealt de bo;,

,

(Jard;nag.)

cer inllru–

mem (crr

¡;

déraler le peuple 3U pié des Beurs qui

en

001 Irop,

&

dans

13

grclfe " ouvrir la feme que le coO–

te:lU n'a fait que cornmencer.

e

o

1 N

:

on narnme

ainl1, dalls /'

l mprimerie,

nom -

bre de peliles pieces de bois de chene laillées de (epr

ñ

.huir lignes d'épailfeur , de fayon

qu~

I'un des boUls

fOil plus large que l'aUlre de quelques Iignes. Ces

eo;"s

fom de grandeur dilféreme,

&

(ervenr, avec le fecours

d 'un m,arleau ,

¡;

(errer la forme dans le chaffis, de fa–

.c;on qu on peur la lever de dclfus le marbre la de(cen–

dre, la Iranrporler ou la lailfer (ur champ mais adollée

ii

quelque chofe de Ilable.

'

e o I N,

(Llllher;e)

on appelle ainfi, dans la faau–

re des orgues, un pelir mOrceou de bois de forme co–

nique, Ironqué

&

coopé en deux par un plan qui paíle

par l' axe, donl on (e (err pour bOl1cher le IrOU que

I'anche

&

la languelle des jeux d'anchcs laitrem dans la

, noix,

Voyn D, ¡;g.

f3 .

Planche d'orguc .

Ce

eoin

doil

elllrer dans la noix

A,

apres que I'anche

e

&

(a

lan–

guetle

B

y (onl placées . L a face plale du

coi"

tour–

née vers la languelle, on le chnlfe

a

force pour qu'

iI

<lffermilfe I'anche

&

fa languetle dans la noix,

&

qu'iI

2cheve de boucher enrieremem fon ouverrure .

V oyez

TROMPETTE,

e o I N

S,

(Maréehaller;e)

(e dir des qualre denrs

du cheval, liruées emre les miroyennes

&

les croes ,

deux delfus

&

deux delfous, qui poulfenr lorfque le che–

v.1 a qualre ans

&

demi.

170yez

e

R

o

c .

Co;ns,

le

dir auffi des qualre angles, eXlrémilés ou

lignes de la vo lle, lorfque le cheval Iravaille en quar–

ré. Ce cheval a

f.ir

les qualre

eo;"s,

a Iravaillé (ur les

qualre

eo;n¡ . 170yez

T

R A V A

I

L

LE

R,

V

o

L

TE .

El1lrer dans les eo;ns,

rerme de

Ma"lge. Voyn

E

N–

r

RE R,

e o I

N S

de ehanúer, (Mar;ne)

ce fom des

eo;ns

que I'on mer enrre les lins

&

la quille, lor(qu'on la

pofe (ur le chamier : quand 00 veul lancer le vai/leau

:i

I'cau, on chalfe ces

eo;"s

¡;

coups de bélier; on les

mel ordinaíremeor

a

f

ou

6

piés de dillanee les uns des

aulres.

(Z)

e o I N

S

d'ar;mage (Mar;ne)

ce (onr ceux qu' on

mer emre les fUlailles eo les arrimanr, afin de les em–

p~cher

de rou ler.

(Z)

e o I N

S

de mál , ( M ar;"e)

ce ·fonr de certains

eo;" s

de bois qu'on fair de bours de jumelles; i1s lienllem de

leur rondeur

&

de leur concavilé,

&

(crvenl

n,

rcllerrer

le m31 lorfqu'¡¡ ell rrop au large dans 1'61amhraie du

pom: ces

eo;ns

fOn! rraverfés de chevilles de fer.

( Z )

e

o I N,

(J

la Mo""o;e.)

L cs

CO;nI

s'appellenr aujour–

d'hui

maericeJ

OU

'lt!arrls .

l70yez

M

A TRI

e

Ji.

ün re

fervoil de ce lerme dans I'ancien monnoyage .

e

o

J

N S D E

e

H E V E U X ,

t~rm~ d~

PcrrIJf{!t;CY;

ce

fom des Irelfes .de faux cheveux, dom les hommes fe

fervcl}[ peur augmemer I'épailfeur

&

la lougucnr de leurs

cheveux narurels, en les ajullaIH au-ddrus des orcilles

au moyen d'uo

61 .

e o I N

S,

( R el;e"r)

outils de R elieurs-Doreurs, or–

nemens de livres; les oUlils fondus (om de cuivre

&

figurés en triangle; la queue en ell un peu longue, afi n

de Cervir

a

des volumes

de

différemes grolleurs; 00 en

a deux , I'un grand

&

I'nurre pelit: on pOl1lfe les

eo;n.

a

qualre tois , fur le dos des livres, dans les entre-ncrfs ,

pour garnir Ics c6rés des bouqucts .

V.

D o

R E R.

17.

PI.

JI.

de R e/;wre, lig. m.

e

o

I N

s,

termes de R ;'lJi,,·c. VOl'

Vo

U S S O I R S •

*

e o I N

S ,

( 'TableU.)

(e dir d'elpeces de pelires .r–

moires ou rableHe, qui (e placenr dans les ang\es des

apparlemens . eeux qui Ce fu(pendenr en lableHes, fom

d'une menuir.rie ou d' un bois de marquelerie leger;

Tome

[JI.

C OI

507

I'angle que formen! les cÓlés ell égal

a

celuí que for–

rneD[

les Jnurs; la

mee

antérieure

en efl

ciDtrée ·

13.

par–

rie iDférieure (e ferme

it

porre

&

¡;

rerrure; la fupérieu–

re en ouverre

&

(err

ii

placer des morcC3U. de porce–

laine. eeux qui (e placenl 3 lerre

&

(onr

iI

pié eo

rr.me

les comInodes , fom a(fez (ou venl cOU\'ertS de matbn:

&

décoré's d'ornemens

en cuivre

doré; la

partie alHé–

rie~re

en

en al1ffi cinrrée ; elle ell divi(ée en deux ou

trois parties, fennéc

a

l'extérieur par

au[ant de ferrllres

&

de porres. Ces meubles rom de nouvelle invemion.

e

o

I N,

1111.

trill,.ac ;

qui

dit

timplelnt!De

le

~o;u.,

cn–

reDd le

eo;n de repos,

ainli nommé parce que le )oücor

en

moíos

cxpofé qlland

iI

s'eO

emparé de

ce

CO;IJ;

c'ea

roüjours

la

on?ieme c3(e, non compris eelle du las des

dames .

Une des regles les plus fUres, c'ell de le prendre le

phlll1l qu'on peuI,

&

d'avoir pour cela des dames (ur

les c.(es de quine

&

de fonne?.

Voyez

e o l .

B

o

U R –

G E

o

I S.

Le

eo;n d, repoI

(e prend par puilfance 00 par efiel;

dans le premier cas, lor(que celui cODlre qui I'on joue

n"a pas le fien,

&

que du dé que vous "meoe'l. vous

pou

vez

metlre deux dames dans fon

eo;n,

ce quí

ne

(e

fai r poinr: on o'empeche poinr- fon adver!aire de faire

fOil grand jan, ql1oiqu'on en "ir la puilfance;

iI

ell plus

avalllageux de prendre fon

eo;n,

On le prend par ef–

fer lor(que de Ion dé on a deux clames qui baHcot (on

propre

COiI1.

Comme

on ne peut

fe

faifir

de

fon

coi;:

qu'avec deux dames , les regles du Jeu ne permellenr pas

auffi qu'on le quille fans les lever routes deux en(em–

ble. Qui s'empare de (00

eo;n

par effel, n'ell plus en

droit de le reprendre par puilfance: fi celui conlre qui

I'on joue s'ell (aifi du fien, celle puilfance ell IItée .

e

o

1 N B

o

U R G E

o

I

S,

atl t,.iélrac,

fe

die

encare

de

la care de quine

&

de fonnez.

V.

Q

U

I

"E

&

~

O

N–

NEZ.

e

o

J

N

fe

die

encare

en un

grand

nombre

d'::lUtreS

cir–

eonfl:!nces ,

dont nous feroes mentíon lorfque l'occafion

s'en prérenrera.

11 )'

a che? les Tableliers des

co;nI.

11

y en a de grO$ , de pelils

&

de moyeos , dans les groC–

fes forges . Les Serruriers <Jnr des

CO;1>1

fimples

&

a

d–

Ion,

&c.

mais rous

"es

inllromens

!Oh

l ainu nommés

de leur forme (emblable

:l

celle du

eo;n

machine de

M échanique ,

&

de leu t u(age qui n'en difie re pas.

e

O I N C I D

E

N

e

E,

r.

f.

en Géomler;e,

(e

di, des

figures , lignes

&c.

dollt routes les parties fe répondcnt

exaaemenr lorrqu'elles

(om

po(écs I'une

[Uf

I'aurre, a–

}'31H les

ln~tneS

[ernles

ou

les

m~lDcs

limites .

L a

eo;"cid.n..

défigne donc une égaliré parf.1ire, e'ell–

a-dire que les figu res ou lignes enlre lerqud\cs il y

a

eo;ncidencc,

(001 égales

&

lemblables.

Voy-z

E

G A L 1-

T E'

&

S

E M D L A D

r.

E .

Euc\ide,

&

pre(que toUS les aurres G ¿omerres

n

ron

exemple , démontrent un grlod nombre de propofilion

élémentaires , par le reul príncipe de la

eo;"cidenee

ou

fuperpolirioo .

Voyez

S

U P E R

l' "

S

I

T

IO N.

(O )

eOIN e IDEN T, adj.

( P hyJi'l'

&

Micha".)

re

dil des corps qui tombem

a

la fois

&

en méme lem.

fur UDe fur face que\conque: ainli on dir

les rayon.s de

IlIm;,re eo;nc;daJJ,

pour défigner les rayons qui rom–

ben!

¡;

la fois (ur une (urface.

On dil auffi

eO;Re;dmt, de /;gnes

ou

ft<rfae(I

'IRi

eO;11e;de"t. VOJ ez

e

o

I N

CID

Il R.

( O )

G

O 11 C I D E

R,

lerme de Géométr;e:

on dir qUe

deux ligncs ou furfaces

eo;ncident,

lorfqu'élaol appli–

quées I'une fur I'aulte elles s'aJullem

&

(e confondent

parfailemcm.

17o)'ez

e o I NCID

E

N

e

E.

(O)

e O I N e

Y,

(Géog.

mpd.)

pelile vi!le de France

dans le Soilfoonois.

e O ( G,

(Pharma, ie

&

D ;ete)

fruir du coigna(-

aer .

f/~yez

e

o

I G N A S

I E R .

Le lue de

eo;ng

ell d'un goQ r acerbe, allnngenr

&

d'une odeur agréable; il pourroir clre eOlployé COlll":!C,

cordial, Ilomachique,

&

IOnique: peul-Elre meme fCrol l–

il plus efficace que plufieuf> prépararious ou

m~langes

que nous employons rous les )OlUS au meme IIIr.e,

&

meme que le Crrop de

eO;"8 !

qui n'e(l .antre chole qUe

ce (uc épaiffi avec une (uffi!an,e quaolllé de (ucre.

Quoi qu'il en Coir, ce (uc dl peu ufilé dans

les

pr!!r–

criplions magill ral es;. iI

(~

coo(erve pourranr .fon

b~ell

Cles années enrieres 1011S I hUlle,

&

daJ1S un heu fralS.

f/oyez

S

u e

&

e

o

N S E R V A T I

o

N.

L e Cyrop de

eo;ng ,

donl I'u['ge a prévalu (aus dou–

te

ii

caure dc

(on

goOI

~gréable

(ur celui d.u fuc , qui

ll'a"'oie

pas befoin ponr

ctr.c

eonfervé

d'etrc !\lfaifonnc:

avec le fuere comme nous le venons d'

obfen 'er,

fli

prépare de la'fayon fuivame.

S

s

S 2

Prc-

I