CLA
fcr! eo meme !em s de poids . Elle vau! Ollle denier!
argene de Feaoee .
Dil!. da
COl1lm.
e
L A N
O"
G L A N O,
r.
m.
( P arcb.mimri.)
m oreeau de bois qui fert
a
arreter fue la heefe les peaux
a
teavaill.r.
Voy.,:-
PAR CHE
11
IN, S o
M M
I E R ,
HERSE .
C L A N C
U
LA
1
R
E S
011
o
C C
U
L T E S,
r.
m . plur.
(TM.I.)
feae partieulieee d' Aoabapti(les, qui
peétendoiem pouvoir fans erime déguifer leue religion
quaod ils étoieot ioteerogés,
&
qu'tl Cu¡¡¡foit de favoir
en particulier
a
quoi s'en tenie.
floya
A NA
D
A
P
T
1-
S T
E
S .
On les appelloit aum
Frere! :'Jardinú r!,
paree
qu'ils oe s'aCTembloicot poiot dans les ¿glife s , mais dans
des maifons partieulieees ou des jardins.
Cbamber!. (G)
C L
f\.
N O E S T J N , adj.
( JI/ri[pr .)
fe díe en droit /
de tout ce que I'on tieot caché, eo lñ ll1e uo mariage ou
autre aa• . L es aaes
elandeJlinf
Coot naturellement fu–
fpeas de fraude
&
de eollution . La elande(linité e(l
fur.-tout d'une dangereufe eonféquence par rappor! au
m ariage .
V oyez. ci-aprh au mot
M A R lA G E C LA N–
D E ST t N.
( /1)
C L A N D
E:
S T I N E,
r.
f.
clandeflil1a, ( HiJI.
nato bot .)
genrc de plante ,
tI. ur
monopétale eo ma–
fque ; le dcifous c(l eo forme de tuyau ; le deCTus
clt
divifé en deux levres, dont la fu périeure e(l voQ tée ,
&
I'inférieure divifée en trois parties; le pi(lil
ÚlCt
d'un
caliee fait en tuyau eomme la tlenr,
&
erenelé; il perec
la portie inférieure de la tl eur,
&
e ev icO! daos la Cuite un
fru it obloog , eompofé d'une feule eapfule qui s'ouvrc
en deux parties par uoe forte de rcCTort,
&
ré paod des
femeoees arroodies. T ouroefon,
inJl. rei herb. Voyez
PLA NTE.
( l)
_
C LA P E T,
r.
m .
(Mlchan . )
e(l uoe efpeee de
fou?ape faite d'uo rood de cuir , Con emeo t faré eO! re
d.eux platines de métal , par le moyen d'unc ou de plu–
fleurs vis.
Le rond de
euje tient par une queuc
:1
une
cOu ronne de cuir, laquclle en fortemcllt Cerréc entre
le
eollet du tuyau fu périeur
~u
e/apet
,
&
le eollet du tu–
yau inférieur : e'e(l fur cene queue , qu'on fait beaueoup
p lus étroite que le
clapee
,
que
Ce
fair le jeu du
elapet
comme
fUf
une charnÍt.:re .
L a platio de métal qui eft fur le euir du
clapet ,
e(l
plus grande que I'ouverture du diaphragme que le
e/a–
pet
doit eouvrir ;
&
la phtine de dellous qui doit fe
loger dans I'ouverture du diaphrag me quand le
e/apet
fe ferme , e(l uo peu pi", petite que eerte ouverture.
L e
e/apee
étant aioti eoorlruit , lorfqu'il e(l fermé ,
le cuir pon e exaaement liu les boeds du diaphragme,
&
empeehe I'eau de paCTer . L a platine de métal qui
e(l
Cur
le euir, le garantit du poids de la eolonoe d'eau,
&
en porte toure la eharge que le euir oe pourroit pas
folitenir . La platioe
d~
métal qui
d t
fous le euir, tert
a
deux ehofes:
1°.
elle Cert avee la plntine Cupéricure ,
¡¡
eomprimer le euir pour le reodre plan ;
2°.
elle em–
peche que l'eau qui pourroit s'inanuer eotre la platioe
fu périeure & le euir, n' enfonee le euir & ne le fa(fe
paCTer par I'ouverture du diaphragme.
Voyez HiJl.
&
M lm . acad.
1739.
V oy"z
tlllffi
S
o
U
P A P E .
(O)
• e
LA
P J E R,
C.
m.
( OEeonom.
TI/JI.
&
Cha./Je )
c'efl un terrain elos de muraiile , partie cou vert , partie
déeouvert,
&
bien
ma~onoé ,
ou I'on enferme
&
nour–
rit des lapios.
00
le place dans un coin de .la garen–
De, pour que les jeunes lapios puiCTent aller du
e/api.r
dans la gareone; on y eon(lruit quelques loges de plao–
cheS
&
de pierees plátes ,
Cous
lefquelles les lapios fe
retirem : il faur que les foodemen; des murs en foie nt
profonds ,
&
pour aina dire fortifiés par-tour d'uo pavé
q ui ait la· poime en-haut, afio que -les lapins qui ai–
m em 3 ereufer en terre , oe s'éehappenr poiot par-def–
fous les murs.
11
e(l bon que Ic terreio eo foit ine"–
gal: on
y
jette de la mouOe
&
du petir foio , que les
lapins ramaifent quand ils doiveO! faire leurs petits . On
l es y nourrit eo été de fon , d' avoine,
&
de toutes
fones de froits; en hyver, de foo , de foin,
&c.
IJ
Ce–
roit a-propos que le
c1apier
fd t partagé eo deu! divi–
fi ons; on renfermeroi! les meres pleinos dans une,
&
0 0
tiendroit les m ales daos l'nutre . Q uand les petits
ferom aUez grands pour fe paCTer de leurs meres,
0 0
les
laehera dans la gareone ; ear e' e(l
a
repeupler les
garenoes, que les
c1apierJ
font principalemeot de(linés .
On doit meltre daos
Con
elapier
un male fur villgt–
cinq
i
treote fe melles. L a eonduite du
clapier
deman–
de quelque Coio,
(j
I'on en veut tirer tout l' avamage
poffible .
Voyez
L A PIN .
. C L A Q
U
E S, r. f.
( Cordonn. )
efpeees de pan–
tou fles ou fandales fon larges , que les femmes porteO!
daos
les mauvais tems , pour cooCerver leur ehaulTure o
CLA
.• • C
L
A Q
U
E BOJ S,
C.
m. (
Lmb.
)
io(lrument
de pereumon
&
3 touehes : e'eH une cCpeee d'épinetle
qui , été en ufage ehez les Flamaods . Elle e(l eom–
poCée de dix-ft pt batons, qui doooeot I'étendue de taos
compris daos une dix -Ceptieme; le batoo le plus
a
gau–
che e(l eioq fois plus loog que eelui qui e(l le plus
i
droite, paree que les Caos qu'ils rendent foot entre eUI
eomme
f
¡¡
l .
Ces batoos pacolleles foO! élcvés
& ti–
xés au-deOus d'uoe boite qu.rrée heaueoup plus longue
que haute; ils OO! ehacun leur touehe ou marche : eet–
te marche e(l uoe efpeee de maillet
á
tete roode par
un bOll!,
&
a
man che ou palen e plate; le méehanifine
par lequel ils fe meuvent, ne differe pas du méehanifme
des e1aviers d'épioette ou du elaveeio .
Voyez
C L A–
V 1
E
R .
On applique le doigt Cur la palette de
1 ..
tou–
che ou marche; la tete Icve,
&
va frapper un des ba –
toos. Le s batons foot de hétre, ou de tel autre bois
qu'on veut, rero nnant par lui -meme, o u durci
:lU
reu.
L 'harmooie de eet in(lrumeot oc feroit peut- l'tre pas de–
r.~gréable,
a
on fub(limoi t des verges de méeaux aux
bltoos.
Voye"- I'barmanie rmiverfe l/e
dll P . Merfeooe .
C LAR, (SA l NT )
Géog . modo
petite ville de Fean–
ce dans le bas Armagoae.
C L A R E, (
G/ag. mod.)
ville d' Irlande dans la
provioee d' U lner, eapitale d'uo eomté de meme nom,
Cur
le Thaunon.
L ong .
311. 35"·
lat.
p .
44·
e LAR E
011
C LAR
E
NCE,
(Grog . mod. )
ville
d'Angleterre avee titre de duché , dans la provinee de
Suffolk .
.
,
e L A REN C E
O"
CH1ARENZA,
(G¡og.
mod.)
ville de la Morée, eapitale du duché du m eme
nom.
L ong.
39.
10 .
lat.
37· H·
C LAR E N e l E
U X,
f.
f.
011
C L A R E N e E ,
eomme I'é erivent nos aneieos hi(lorieos F rao,ois ,
(Hifr.
mod.)
nom 3f1eaé 3U feeond roi ou héraut-d'armes
d' Angleterre . JI viem d'un due de C larenee qui oeeupa
le prem ier ce po (le.
Poy'z
Ro I-D'A R
M " S .
Lionel , troitieme ti ls d'Edouard
111.
étaO! devenu
poCTelreur de la terre de CIare dans la Ca lmé de Tho–
mond, que Ca femme lui avoit apportée en mariage , fut
crée due de C larenee . ee duché étant éehu
it
E douard
l V. il eró le héram qui appaneooit au dllc, roi-doar–
lnes,
&
le
nomma
clllrencieux
en
Franc;ois alors d'u..
f.1ge
l
&
cIarencil!.J
en
L atin.
Voye%:.
H
e'R A u T
.
Son offiee e(l de regler
&
d'oedonner les eérémooic'
des fuoémilles de la pelite noblelTe , eomme des barons .
ehevaliers , gentilshommes , qui meurem eo-de,' de la
riviere de Trem: ce qui lui a fait ,um dooner le nom
de
fitrroy
ou
r1ldroy
,
par oppoatioo ,
norr~y .
Voye<.
N ORROY .
(G)
.
C LAR E N D O N,
(Glog. mod.)
petite ville d'An–
gleterre dans la provioee de Wiltshire, avee tiere de
eomté.
C LAR E ND o N,
( Grog. mod.)
petite riviere de l'A –
m érique leptenrrionale daos la Caroline, qui arrofe une
eontrée qui porte le
me
me nom.
*
CLA R EN IN S , r. m . pI .
( HiJI.
u cllf.)
an–
cienoe eongrégatioo de I'ordre de S .
Frao~ois,
, ino ap–
pellée de C lareoe , petite riviere de In M arche - d'An–
cÓne. lis oot eu pour fondateur Aoge C a rdan, reli–
gicux de l' O bCervanee.
11
forma fa congrégatien en
I
30~;
elle ne fut approuvée qu'ell
151 7.
Bieo-tÓt elle
fe divifa; une partie s'unit :\Ux freres M ineurs ; l'autrc,
apres avoir fubli né jufqu'eo Ifeo fous le oom de
Cla–
rnúnJ ,
s'incorpora avec les
obferv:ult'¡ns
de Icur
COII –
grégatioo. En 1f66, ils difparureot entierement, eoofon–
dus par Pie V . avee les anciens profes de l'Obfervanee .
C
L AR EQ
U E T ,
C.
m .
en termn de Confifwr,
e'e(l uoe eCpeee de pate traofp,reOle: on en fai! de plu–
{ieurs efpeees , de pommes, de .eoins, de grofeilles, de
prunes ,
& c_
C L AR l C
O
R D E, ionroment de Muaque, nutre–
m ent appellée
manicorde
ou
manithordion. V oy.
M A–
NICORDE.
C L AR
1
E N, adj .
( Mytb.)
Curoom d' Apolloo :
il fU! aina appeIlé de elaros eo lonie, ou il avoie un
temple, uo bois,
&
un oracle ,
C L!\
R
l F
1
e
A TI
O N,
r.
f.
(Pharmaci• .)
Le mot
de
clarification,
qui pris dans Coa Ceos le plus éteodu ,
paraje exprimer uoe depurarion
quelcoaqu~
d'une liqucur
trouble , a été peefque re(lreint par I'ufage a ceu e efpe–
ce particulicre de
dépur~tioo
qui s'opere par le moyen
du blane d'reuf
&
des autres Cub(lanees animales , qui Ce
eoagu lent
a
un eeClaio degré de eh.leur .
Cene opér,eion e(l ea ufage eo Pharmacie, pOllr Cé–
parer de toures les liqueues troubles qui peuvcnr Cuppoe–
, ter I'ébullition , les parties féculeores ou inColubles, qui
p1r