1000000034

CLA

aUle

regles de la

civilité

la plns grande étendue. On

peu t lire la-de(fus le pere Duhalde.

Aiu(i pour linir cet article par la réBexion de l'auteur

de l'efprit des lois. " On voit

la Chille les gens de

villa~e

obCerver enrr'eu x des cérémonies comme des

" gens d'une conditioo rclevée; r.noyens

treS-

propres

,3.

" ma¡ntenir parmi le peuple la paix

le bOIl ordre,

el 6 ter taus les vices qui viennent d'ull

erprit

dur,

vsin ,

orgueilleux.

Ces

regles de

civilité

valent

" bien mieux que celles de la

foliee,!!e.

Celle-ci tlate les

" vices des autres ,

civllité

nons

cmpeche

I11C[ –

" tre les nÓtres au jour: c'efl une barriere que les

hotn–

,, \nlcs mctrcf!t enrr'eux pour

s'e~np~cher

corrOln–

g:c.

ArtlC.

M. le Cbeva/¡er

A u le O U R T .

<.,.;

1. V

QUE, adj.

( Hift. anc. )

épithete qu'on dOIl -

110it

une eCpece de eouro nne qui fe faiCoit de feuillcs

de ehene,

que les R omains 3eeordoie ot autrefojs

eeux qui avoient fauvé la vie qans une barnille ou dans

un a(f.,ut

quelqu'llll de leurs eoncicoyens.

C o

u–

RONNE.

L a COUronne

civi,!"e

écoit fort eflimée,

elle fut

m eme aceordée comme un ho nneur

A uguae , qui

battre

ceue

accaCian

des

lnollnoies

avcc cerre

devire,

oh cives fervatos.

Elle fut auffi aecordée

¡¡

Cicéron ,

apres qu'il eut décollvert la conjuratiob. de Catilina.

D ill. de 'Írév.

Cbamhers. (G)

C I V

T A D I C A S C l A , (

Glog.

)

petite ville

d'ltalie, dans l' élat de l'EgliCe, en Ombrie , pres des

fron deres de l'Ahruzze .

1V 1

T A C A S T

L L A N

(Géog.)

vill e

d'Itatie dans I'état de l'EgtiCe daos la Sabine lur la Tri–

glia .

C I V ITA DU CALE,

(Glog.)

ville d'ltatie au

royaumc de Naples, dans l'Abruz2e ultérieure , pres 'du

Velino.

1V 1

TAL A V

N l A, (

Géog.

)

petile vill e

d'ltalie de l'élat de l'Egti[e, dans la campagn. de R o–

me .

C I V

T A N U O V A ,

(Géog.)

petite ville d'I–

talie dans la marche d'Ancone pres dll golphe Adriati–

que .

C IV

T A DI P E N N A ,

( Géog.)

ville d'Italie

au royaume de Naples, dans l' Abrune ultérieure, pres

du Salino.

L ong.

31. 38.

lat.

4'.

2).

C IVI TA D E LL A PIEVE,

(Géog.)

ville

d'ltalie de l'état ·de

Egtife, dans le perugin , fur la

TreCa.

C! V ITA R E A LE ,

(GEog.)

petite vilIe d'lta–

Jie au royaume de N aples , dans l' Abrune ultérieure,

pres des [ources du Tronco .

T A DlS. A N GEL O,

(Glog.)

petite vil–

le du royaume de Naples , dans l' Abruue ul :érieure.

C I V IT A -VECCH IA,

( Geog.)

petite ville for–

le d' ltalie dans I'état de l'EgliCe, fur le bord de la m er .

L ong.

29.

2).

lat.

2 . ) .

11 ya encare une ville de ce nom dans l'\le de M al–

te; que les habitans nommenl

M,dine .

(Glag. )

petile ville de F rance en P oi–

lOu.

CLA

C L A B A

UD,

(Venerie) Vo)'ez

H I E N .

C LACKMANN AN,

( Géog. mod.)

ville

d']~:colTe, capitale de la provinee de meme nom.

L ong/t.

H .

lat.

CL A DOTE R

E S,

(Mytb.)

fetes ainfi nommé–

es du mot G<ree

.,¿,r",

ramea".

On les eélébroit dans

le lelllS on la vigne Ce taille.

Voyez I'Anti,!. expli,!.

C LAGENFURT,

( GéolJ. mod.)

ville forte

d' Allemagne , capitale de la C anothie.

L ong.

1 •

4),

lat.

46.

f O.

C L A I E,

f. (

V an"i,,' )

un tilTu de plu–

lieurs

b~cons,

menus

paralleles, plus ou moins efpa–

cés

fixéS par une cha!ne d'o(ier,

d'aulres bacons

m enus

flexibles. Cet ouvrage de mandrerie plat ,.

d' uCage dans le jardinage ponr . pa(fer les lerres. O n Jet–

te les terres deHus; la bonne terre combe d'lln cbté ,

en parranl a-travers; les pierres COl1t rejeuées de I'aulre

cbté. L es mailles de eeue

e/aie

om un pouee ou en–

viran.

On donne le

m~me

nom

une échelle qu'oo atraehe

au derriere d'ur.e chnrrette,

Cur laquelle on

ruine

par les mes ceux qui Ce fool défai ts, on qui Ol1t été

tués en duel.

L A

t I!,

tume de

FortiJi~ati.".

Ce Cout

~es

ouvra-

CLA

413

ges faits avee des branchcs d'arbre, étroitement enrn!la–

cées les unes avee les autres, pour pa(fer un fo(Ji! qui

vlen t d'elre. Caigné , en les jeuant fur la boue qui relte

au. fond, pour en alfermir le palTage· ;

auffi pour cou -

1'tIr

un l.ogement,

~lo:s

l~s

charge de terre, pour

fe garantir des feux d artllice ,

des pierres que I'ennc–

mi pourroit jener delTus.

On c!unne auffi le nom de

claie

ce qui Cert aux

B ergers pour enfermer leurs troupeaux quand ils par–

quem.

CbambcrJ.

(O)

L A

l E,

( P eche

lbOM(<lI''' ,

pm",ier, na.!!.,

caf–

(rer ,

termes fynonymes de Peche.

Voyez

A S S E •

L "

tE,

en terme d'Or[evre ,

COnt de,

pedle~

cham–

brenes féparées I' une de l'autre, preCque eomme les ah'éo–

les des ruches d'abeil!es. On en met daGs cous les lieux

Otl les Orfevres travaillent, pour recevoir les paillettes

a'or ou d'argent qui fe détaehent en fergeam, des limali–

les

autres déchcls. Elles Cont compoCées de tringles

de bois qui Ce croiCent quarrémcnt. C haque partie

ell

emaillée

mi·épailTeur ,

re¡yoir l'autre , ce qui rend

toutes les tringles de niveau,

forme de petits quar–

rés dollt le vuide peut avoir a-peu-pres dix-huit lignes

fur chaque pan. L a tringle a environ un pouce d'équar–

rilTage,

efl ébifelée Cous chaque pall des vuides , pour

lai(Jer m oins de Curface.

L'ufage des

claieJ

élatit de reeevoir les parties d'or

ou d'argen t qui tombent , moins leur¡ bords one de Cur–

face en bois , U\oins les piés clnportcnt d' ardures,

font de déchet .

VD)"!!. les vignettes des Pla"cbes d'O, –

[Ivrerie.

LA 1

N, ( m .

(Juri/prrtd.)

que l'on dit auff¡

cla–

c!tlmertY ,

a diftérelHcs

íigllificaciol1s.

Quclquefois

e/o;n

pris poor

ajournement

deman–

de,

camme dans

cOlíttlme

d'Anjott ,

arto

69. 70 .

Mai–

art.

80.

BOflyhonnois, arto

15"9.

C /airJ

en d'autres

endroj(~

el1 pris pour

amen.de

dt1e

¡-'Ir celtti qui

f¡!ccombe . Vojez

/'ancienne coútl/me

E ourgeJ , tito

ij.

arto

21.

2Z.

C'el1 3uffi dans eer–

ralnes co.Otumes l' amende

d.ue

pour les beces prifes en

délit.

N i'Vernoil ,

tito

xtV.

orto

13 .

Clain

arrét

la fai(ie.

V o)'ez la fomme rurale ,

Clain de cer'lt/ema"age

efl la demande formée pour

l'infraétion des bornes & limiles.

Clain

d¿gag.ment

ea la r.,i(ie

arret que les do–

men iques

ouvriers fom pour leurs gages

r.,laires

fur les meubles du débileur, que la jumce fait ell lever,

pour le prix en

provcllan-t ene

employé 3,n

payemellt

des créanciers.

Coút. de

C dmbrni,

tito

xxv .

arto

:f,

Pinault des journaux ,

fr!Y ces articles .

Clai" de n!tabliffome"t

ea l'aétion en réinlégrande,

Clain de Jimple {aiji"e

el! I'aétion en complainre.

(11)

L A 1

N , (

Géog. modo

)

petite riviere de

Franc~

en Poitou, qui fe jeue dans

Vienne.

C L

c'I.

I O N ,

(Vann"ie)

un petit tilTu de

gros balons

de mellus bacons d·ofier , qui Ce fai t eom–

me la

claie. Vo)'ez

LA 1 E .

l'uCage des PJtiffiers; ils s'en Cetvent pou.

tranCporter leurs ouvrages.

Voycz.

Plan~he

d" P atif–

Ji.r.

L A

t o

(Cor.fifwr)

L es ConfiCeurs appellem ainl1

un rond de til d'arehal en treillis, alTez Cerré, fur leque!

ils poCent particulierement ce qu'o n tire au

Cce ,

en ua–

vaillant le fuere pour le glacer.

Vo)'ez Planche d" Con–

fif"''', fig.

10.

LA IO N N A G E ,

111 .

(Mafo"",,;.

Jard;"a –

ge)

efl un alTemblage de .faCcines, de fagots, de branches

de r.1111es

arrang~es

elltre dellx pil les de pieux. , ou. for –

mant des lits de fix piés de large entremelés de bts de

re~ .

C'ea

un travail trcs-néecfbire dans les terres humi–

des ou trap mouvantes , pour 3lfermir

l~s

talus de

~a"Lon, qui fans eelte' précaulioLl s'éboulerOlent, par

l~ pl~.

Quand ce Cont des talus

llll

peu roides, apres avolt mIs

de la terre un

pié

de h:ll1t , en

commenC;~I1[

par le

b3~)

il faut meme un lit de faCcines ou de

c.'alorma,'i"

piés de large, rangés Pun contre

¡'aUlre ,

f31re

enrar...

te que le gros bout

la racine regr.rde

f~~e

du ta–

lus,

" ienne "boudr :\ un p": pres du revenjTemen t .

mClCra

enruite

lit

lerre

par-defi"us,

011 COIl–

tiuuera de memc juequ' eo - haut . On amed le gnon

deO'us ce

claionnage,

en le couvrant

allpnravant

d·ul1..

demi-pié de terre.

V o)'c!!.

A Z

( K )

C L A 1 R

( P byfrr,)

3djeétif relatif :\ la quanrilé

des rayoos de' lUll1iere qu'un eorps réfléchit vers nos

yeux,

quelquefois

la quantité de porties Colides qu'

cantiellt .

Ainú

dir des.

COtllelJTJ claireJ,

une

etlfl clairc .

Ul\

'l..l('J:.-