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CRO

k.

44.4>.46.47 .le repréfentent un peu plus

~loigné

de ce

-cbté; ce qui fe peut encore en amant d'autres plaees que

)'on jugera

a

.p.ropos, f.lon le nombre de pas qui peu–

vem

~tre

faits en largeur d'une [alle; les útuations fur

Ja

longueur Com O1arquées par les ligues des portées

.&

les imervalles des .\TIemeS lignes.

En donnapt :\ toutes les places les fei:!.e aCReas dOn!

.iJ

efi p.arlé

ci-d~lfus,

&

.qui font

r~réfentés

fig.

ll .

ji

~fi

cert.in

qu'iI n' y a

p~s

un [eul endroit d' une (alle

ou !'on ne puilfe .marquer telle pofttion des piés

&

fi·

tuation du corps que I'on

vou.ra;

ce qui efl tout ce

que I'on fe prop<?fc de faire quand on

ve.ue

écrire une

c\~nfe

fur le papier.

On écde

~uffi

dans ce nouve.u fyfleme .I'air .u-def–

rus de la danfe ,

&

le tout fur du papier de mufique

,ordinai..re ,

~nforte

qu'ílu premier coup d'reil une danfe

.éerhe ,en cc;tte f{laniere

paroh

un

duo

ou ,un

trio, &c.

(i

deux 9u pluGeurs danfeQrs dap.fen.t enfetTI9le.

N ous avons promis de comparcr enfemble ces deux

manieres,

110\\S

tcnons

paro le

:

nous croyons , quoique

l'invenrion de cet auteur

Coit

ingénicu fe, que I'on doit ce–

pendant s'cn

ten.ir

a

celle du lieur Feuillet, ou la figure

des

chemit.ls

efl repréfentte, [ur-.tout depuis que nous

y

l'vons fait I.e ci)angtment communiqué par

M.

Dupré,

au muyen duquel on eonnolt la valeur des pas pª r la

couleur de .Ieur tete, ainft qu'il

a

éré expliqué daos

I~

premiere portie de eet arr,e1e _ L'incon vénient de ne

pqi.ot

marqu~r

le.s chemins efl bien plus important, que celui

gui réfulte de ne point éerire la mUlique [ur les lignes

&

dans les imer'va!)es, cqmme guelques

a~teurs

I'avoiem

prop(lfé:

V oy.

l'

article

)VI

,u

S

t.Q.

u

E , ou ces chofes [on.1

difcutées .

( D )

e H

o

R E N,

(Ciog.)

getite ville d'Allemagne dans

ja M iCnie, proche d' Aétembourg _

*

CHOREVEQUES , fub. m.

( TMol.)

eelui

qui

exer~oir

quelques IClnaions tpifeopales dans les bour–

~ades

&

les Yillages .

00

I'appelloir le

vieaire de /'iv/–

'lue

_

1I o'efl pas ' quefiion daos JlégliCe de eetre fonaion

avaor le jv. fteele. Le eoncile d' Anrioche renu eo

340

marque fes limires. Armelllarius fur réduir á la qualité

de

ehorivét{u.

en

439

par le eoncile de Rie.. , le

¡ ec

de ceu! d' Oeeident OU

iJ

Coir

parlé de ceue cjigoi[é.

L e pape L éon

111.

I'e(lt .bolie , s'jJ o'en e(le été em–

peché par le coneile de R.tisbonoe _ Le

chorhléque ,

ªu-delfus des .utres pretres , gouyernoir fous l' éveque

dans les vill.ges _

II

n' éroit point ordonoé évéque; iI

avoit rang daos les coociles ' apres les éycques en exer–

fOice,

&

parmi leS éveques qui

n'¡:~.er~oient

pas; il or–

donooit feul des c1eres mineurs

&

des

fo~diacres,

&

des

diacres

&

des pretres Cqus I'éveque . eeux d'Occideo¡

portereot l'ex tenGon de leurs priviléges prefqu'

~

toutes

les fonélioos épifcopales; mais eelle tmreprife ne fut pas

tolérée _ Les

ehorlvé'lues

celferem prefque

enti~remenr

¡lU

x.

Geele, taor eo Orienr qu'e,! Occideor, olj il pa–

roh qu'ils ont eu pour fuccelfe ur les

.rchi~rerres

&

les

doyens ruraux .

V.

A

R

eH t

P RE T R

E

S

& -

D o y

E

N

S .

11

y a eependanr des digniraircs eocore plus voifins des

anciens

chorl'llé'lueJ;

ce Cont les

grands~vic3ires

,

tels que

celui de Pontoire, aUfquels les év"ques ou archevcques

pnt coofié les fonaions épifeopales fur une portion d'uo

diocefe trOP élendu' pour ';tre admioillré par nn feul (u–

périeur. Le premier des foudiaeres de S. Martin d' U–

Jreche,

&

le premier chaotre des collégiales de eolo–

goc, ont

,titr~

de

ehor/véq:!e,

&

fonaion de doyens

roraux . L éghfe de Treves • allffi des

ehor/vi,!t/tI

_

Ce

nom vient de

XQfor ,

/iel/.,

&

de

I1:'"I7KOO'r ,

é'lJiqttc,

év~que d'un

lie~

parriculier .

Voyez.

E'v

EQ

u E ,

lI.

tl

e

H E–

vtQ.UE

,

0'e.

( 1 )

e H

o

R G E S, (

Glog,)

petite ville de Fraoq' en

Dauphiné.

L ong.

l4·

(at_

44· 3'-·

e H

o

R G O,

(Glog,

)

petite ville de la balfe I:;Jon–

grie, pres d' Albe royale.

e H

o

R

1A M BE,

r.

m .

(Belles-Lett_)

dans !'an–

cienóe Poélie, pié ou mefure de vers eompufée d'un

chorée ou troehée

&

d' un "lambe, e' efl-

a-

dire de

deux breves entre

deu~

longues , eomme

hi[1or;¿¡s ,

(G)

eH

q

R ION, :. m.

(IInat.)

eq la membrane ex-

(1)

Il

p:lro1c fott étrange . que

les

('horltlt'lUtl

eu(fent la faculte: d'or_

donner des

Pr~;tres.

comme ·I'ob(!!rve l'au(cur. avec pcrmiffion de

leur~

fivéques. Mais le méme 3uteUr n'3 o toH p3S obfervé qu'i1

!.

~VOlt

de.ux

fortes de

Ch''¡TJit¡utl.

Une de fimples prétre, c1ccor s

de ce

litre.

auxquels

ji

n'étoit point

perrnisl

d'ordonner

des Oia.

cres. ou .des

1Irétre~ :

l'3utre de

(ujcu

qui 3voient été EvEques de

, udquc heu.

done

JI,

avoient

ért

cba!fés)

~

qui

,'éuDt rtfn, iés

eRO

_té.ieure qui enveloppe le fretus dans la matrice -

V.ya;

F

OE T U S .

Ce

m Ol

vient du Gree

x'p.i"

conttnlr .

Elle efi épailfe

&

forre, polie en-dedans,

~ar

ou el:

le s'unit

a

une autre membrane appellée

amnIOS,

m31S

rude

&

inégale en-dehors, parfemée d:un grand nom–

bre de voiffeaux,

&

attachée

3

la Dlat.rlce par le moyen

du

placenta

qui

y

efl fon adhérent .

I/oyez

A

M N

I

~

s,

PLACENTA.

,

eerte membrane fe trouve dans

tou~

les aounaux_

L e

chorion

avec

I'amnios

&

le

plac,entll ,

farme ce

qu'on appell.' les

{econdint!

ou

I'arri.,.-fai;<. I/o)'ez

SECONDJNES .

(L)

e H

o

R

J

S TE,

r.

m . chanteur qui chante dans les

chreurs de I'opéra ou

d~ns

ceux des morers au eoncert

("piriruel,

&

dans les égliles.

I/oyez

e

H A N T

E U

R

&

C

H A N T tl E;

..

oyez

alljfi

eH OE

U tl .

(B)

C H

o

RO

B A

TE, f. m. .(

M lehaniqrlt)

efpeee de

ni\'cau dom fe fervoient les anciens

o

Le

grand oiveau qu'ils appelloiene

ehorobate

éroit u–

ne pieee de bois de

lO

piés de longueur, fourenue par

quelqQ,es pieees aux extrémités,

*'

qui avoir dans Ca

partie fupérieure un canal qu'on rempliíloit d'eau, avee

quelques perirs plombs qui peodoienr aux eÓtés, pour

s'aifarer li eette piece éroit de niveau. C'étoir-Ia

toU–

re la longueur de leurs nivellemens; car ils tranfpor–

taient le

ehorobate

de

lO

en

lO

piés , pour eonduire leurs

uuvrages. Ce oiveau étoir forr défeaueux; nos moder–

nes en ont inventés de beaueoup meilleurs .

Vn)'.•

z

N

I–

v

E A U

N

t

V EL L E M E N T _

IIrticlt de M_ le Cbeva–

lier

1)

~

J

A U

e o u

R T .

C H O R O

G

R A PHI E ,

r.

f.

1'2ft

de faire la car–

te ou la defeription de quelque pays ou province,

Voyez

CA

tl

TE ,

Ce

moe

vicnt des

motS

Grecs

x,o,o"

rlgion ,

c01Jtr/~ ,

lit:tt.,

&

de

",,"qJa.,

je

dlcris

o

La

ehorographie

efl dittérente de

13

G éographie, eom–

me la de(eription d'un pays l' efl de eelle de toute la

rerre.

Poyez

G

E'

o

G

tl

A P H

tE.

Elle

ea

différenre de la Topographie, comme la de–

fcriprion d'un P;¡ys I'efl de ee)!e d'uo líeu, d'une vil–

le, ou de fon diílria.

I/oyez

TOPOGRAPHIE .

( O)

e H O ROl

DE,

r.

f.

terme d' A /?atumi.,

qui fe dit

de plufieurs porties du eorp' qui onr que1que retlemblan–

ce avcc 1e chorioll.

Ce

InOt

viene

du Grcc

..

~pm,

chorjon;

&

~Ilo' ,

rcJ–

fm,{¡lane, .

Choroid,

fe

di~

particlllierement d'lllle membrane in–

rérit:ure qui

reve[

immédiatemem le cervcau,

ainfi

ap–

pellée paree qu'elle efl parremée de q.uantité de vailfeaux

comme le chorion. On I'appelle pllls communémenr

la

pie-mere

ou

1"

p.etite 'l'enil'ge

_

I/oyez

M

E N I N G E

&

M

ERE.

- 011

appelle auffi

ehoroid.

la feeoode tunique de l'a:i1

qlli efl immédiatemem IDus la Celérotique. Elle nair de

eetre partie de la pie-mere qui enveloppe la papille du

nerf oprique; de-

J:\

elle marche en-deyam, entre la

re–

tine

&

la felérorique,

&

embralfe l' humeur vitrée en

forme de fphere.

D~os

taq¡

~e

erajet elle rient :\ la fclé–

rorique, tam par des artérioles

&

<je petires veines, que

.par quelque celJulolité, dans laquelle 00 a trouvé quel–

qucfois la graiffe daos le veau,

m~is

antérieuremeot

a

la fin de la felérorique opaque, ou elle efl unie

a

la cor–

née _

La ,

la

fboroide

deveoue plus épriiíre

&

plus cal–

leufe, adhere fortem,nt 3 Ce¡le exerémité e0!1''1lune de

la cornée, faifant un eeintre blane,

q~e

M altre - Jean

&

Vcslingius appellent

orbimlo-eiliaire;

l!i.

M. Winslow,

lignment úliairc.

Dans le fretos elle en blaochatre en-dehors ,

&

en–

ded~ns

d'un rouge brun. Elle e(\ pareillemenr d'un brUll

rouge daos I 'adulre en ·dehors , comme le railin ooir;

intérieurement, tcinte d' une couleur vive qui

pllit

a–

Yec ' I'ftge ,

&

blanchit dans Iª vidlldJe dalls un grand

nombre de brutes: elle efl extérieurt menr brune (lU noi–

re; en-dedans d'pn verd vir

&

argent~

dan, les pu'lIons _

M M_ de I'académie des Sciences, daos leur Jivre

de

1"

d,/feaio" des

arúmor.x,

difent .0 fi'let de la lion–

ne, que cene tUDique colorée peur fe Céparer de la

cho–

roí

de

.

VoHo ce qui a donné

I~

pro!"ier indice de ces

¡

dellx

dans le

Ojod~re

d 'un

3DUC.

ca :lvoient obtenu 12 permiCDon

d'y

adminilher le Sacrement de ¡'Ocetre.

8t

d'y

(:lite l·ofFice de

C'b.–

rlllit¡Utl.

ou aides de

l'Eveque.

Cela en proavé p.1t le VIII. Ca...

non du Concile de Nic6c.

8t

par le x . C.mon de celui d'Antlo..

che. 'lui diffipent

toa.

les doute, (ur

(ttte

diftiaaion de

Hicr;JJ'.

chie.

(~)