CHe>
aUI
denx ctJtés du chemin, le bras droit du cét& droir
&
le bras gauche du ctJré gauche;
il
ceux mi 1'00
v~
de ctJlé , 011 les marquera deifus
&
deifous, obftrvam
100Jours que celui qui efi
a
droile efi le bras 'droi l
&
cclui qui efi agauche efi le bras gauche .
'
Extmp/tI dlJ dijfl"nttl alt;$Hdts des h'dS.
45'
&
46 , le bras élendu.
47, le poigner plié.
48 , le bras plié .
49, le bras devanr foi en hauteur .
fO,
les
deu~
bras ouven s.
f
1,
le bras gaucho ouven,
&
le droit plié a_u
coude. '
j'2,
le bras
~auche
ouverl,
&
le droil loul-a-fail
fermé.
.
5'3,
les deul bras ouverlS.
5'4, le bras gauehe ouverl,
&
le
d~it
ferm6 du
coude.
H,
le bras droil ouverl,
&
le gauche tout-a-fait
fermé .
1'6,
5'1,
f8,
{.,?,'
,
Extmp/tl dlJ mouvemlllS dt hras..
mouvemenl du poigner de bas eo-baut.
mouvement du eoude de bas en-haut .
mouvemenr de I'épaule de bas en·llaut.
mouvement du poigner de haut en-bas :
mouvement du coude de baut eo-bas .
61, mouvement de I'épaule de haul en· bas.
62, rond du poigner de bas en·hau't .
.
63,
rond du eoude de bas en·haut .
64, rond de I'ópaule de bas en-haul.
65,
rond du poigne! de hau! cn·bas.
66, rODd du eoude de baut en-bas.
67, rond de I'épaule. de. haat en-bas .
68, rond du poignet de bas en·haut .
Ó9,
rond du eoude de bas en· haut.
70, rond de I'épaule de bas en· baut.
7~,
d,Ouble mouvement du poignel de bas en-ham ,
&
de haut en-bas .
.
72, doublc mouvemem du coude .
73,
double mouvement de l'épaule.
L es bras peuven¡ agir
IOUS
deUI en meme tems ou
}'un apres I'auue . On connoiera quand les deux bras
~gi(fem
IOUS
deu x en meme tcms por une liaifon allant
de I'uo • I'autre.
I/oya. 111 fig.
74- qui marque que les
deux bras agi(feOl en meme rems,
&
par mouvement
fcmblablc; la
jig.
75'. marque aum que les deu. bras
agilrent en
ml;01~
tems, mnis
par
mouvement
contraire.
Si les deuK bras n'ont pos de Iiaifon , e'efi unc mar–
que qu'ils doivent agir I'un apres I'aulre . L e premier
e(l celui qui préeede: ainfi daos I'exemple
jig.
76. le
bras droit, qui ell le plus pres de la pofitioD, agit le
premiee .
Expli,at,iots 4tS ,iml prmt;cru Yde[r,rtl d" P as d. dmx
{uttturs, danfl par MM. Duprl
&
1"Vili"l dfl1l1
r oplra dts ¡<tu Grlfltl"
&
R oma;ntl, repr/rene/u
dam la d"niere Pla.".be de
Chorégraphie.
On. a obfervé daos cet exemple la valeue des t.ems
que les pas tiennent; eetre valeur en marquée par les
t~tes
des mémes pas, aimi qu'il efi expliqué ci-dcifus :
on
y
a joint la t.blature de I'air fur lequel ce pas de
deu! a
ét~
exécuré
l.
on a marqué les mefures par les
chiffres r,
2,3,
&e.
afin de pou-voir les défigner plus
facilemem. Celles de la
Chorlgrafhit
foot de
m~mc
marquées par des ehiflres placés vIs-a-vis des lignes. qui
féparem les .mefures; ainfi depuis o)ufqu'.au
e~iffre ~,
c'efi la premlere mefure; depuis le ehlffre
1
jufqu
:lU
ehlf–
fre
2.,
c'efi la feeonde.; aiofi, des aUlCes .
JI fuut aum obfe,ver que, daos I'exemple propofé ,
les chemÍJls des deuK danfeurs foOl fymmétrie dans piu–
/ieurs panies; aiofi ayAD! expliqu6 pour un, ce fera dans
les parties comme fi 00 I'avoit
fa~
pour rous les deu!.
D aos les .u(res porties ou les ehemins des deux daufeurs
oe font poim (ymmérrie,
&
ou léurs mouvemens ne foOl
poiot femblable.s.
&
coexifi.ns, nous les expliquerons. fé–
partment, défignaot I'un des daofeurs par la
letr~e
/1,
&
I'aurre par la
lel!~e
B .
A vant toure chofe
ij
fauI expliquer par uo
~xemple
c,e
que nous entendons par des.
f
!J.tm;nl (ymm/trlqutl .
SO!–
enr donc les deux I<nres
p p,
elles fom femblables, mals
elles ne foot poinr fymmétrie; retc urnp'!." une de
~es
leures en cetre forre
'1
P
ou
P
'1,
elles ferom fJmmétrle;
7'0""
Jll.
eRO
ainlí
fa
fymmltrie efi UDe reifemblance de figure
&
une
dilJ'emblance de polirion.
B:1:'r
e(l femblable'
B:':1',
ma./;;
fymmélrique avee
1':<
ti;
il lulDt de les meUre vis"-"is
l'un de I'autre
B:':1' 1':<
ti
pour s'en appercevoir _ Enfin,
/i on fouhaile un aUlre exemple,
I~
cOOlre·épreuve d'unc
e(lampe, ou la planche qui a fervi
ii
Jlimprimer, fon t
fymnlérrie enfemble; ainfi que la forme ' de caraéleres
qui a fervi a imprimer cette feuil l., faifoir fymmélrie
avee la feuille que le leéleur a préfenremem fous les
yeux. Ceci bieo e!llendu,
iI
e(l fadle de comprendre
q~e
ti le
d~nfe~r
/1, Pla"e. ll. jig. /,rem.
placé vis-:l-
I VIS de celul qUI efi en
B,
part duOpIé gauche, ce de,–
nier doit parrir du pié droil: e'efi en elfer ce que I'on
obferve dans eet' exemple. Ainti eomme nous n'eIpli–
quero~s
pour les parties fymmé!riques que la- rablatore
du danfeur
/1,
il faudra pOur avo;r celle du daofeur
B
changer les mors
dro;t
en
ga"the
&
gau.heen
dro;t .
L es deux danfeurs commencent par la qua!rieme po–
tidon; le daofeur
/1
fair du pié gauche un pas droil en
avanr: ce
PaG
doi! durer une noíre ou quart de mefu,
re; il ell fu ivi
d~un
femblalile pas 'fait 'paé le pié droil,
qui vaut auffi une noire, eomine on le connol! par fa
téte qui efi noire; le troifieme pas efi du pié gauche ,
&
dure feu lcmem une eroche, ainfi qu'on ' le connoi!
par fa téle crochue : il efi ehargé de deux fignes., le pli6
au commencement du pas,
&
J'élevé
a
la fin; le qua–
trieme qUi efi du pié droil , vaut aum une croehe,
~
le fuiv::..nt une noire: ce qui fale en toue
qU3cre
noires "
&
~puife
la premiere mefure de I'air
a
deux tems no–
tés au·ddTus . Tous les pis de cetle mefure fom
de~
pas droils en avaot .
.
L a feconde mefure
J,
2.,
ell oeeupée dans I'air par
les nOles'
rt
fa
*
f ol ;
la premiere efi tine blanehe poin,
tée,
&
les deux dernieres des croches;
&
daos la dan,
fe elle etl oeeurée par des pofirions
&
des pas. La pre–
miere pofition du
00
arrive
a
la fin de la premiere me–
Cur.e, ell
I~
rroifieme; elle ell affeél6e dts tignes plié
&
cabriolé,
&
de eelui de tourner un quart de tour ,
ce qui me! la préfence du eorps vis- a-vis le haut de la
falle de certe pofldon qui vaur une noire: on relombe
a
la quatrieme, le pié droit en I'air; ce pié fail enfuile
un pas ouvert dc eCHé qui dure 3Um une noire: le pas
fu ivaO! qui e(l du pié gauche , dure une cruche; il
eft
atleélé du figne pUé au commencement.,
&
du ligne en
j'air , fuiv.i de eeluí de tourner uo quart de tour
a
gau–
che, qui remet la préfcnce du corps comme elle
élOit
au eommencemenl;
&
enfulte du fau lé, • la fin duquel
on retumbe a la qualrieme pofll ion , le pié droil en J'air ,
qui rait un pas ouverr de cÓlé , lequel n'en point com,
pré dans la mefure, paree que fa
1~le
fe eonfond avec
celie de
la
pofitioo,
&
qu'jJ n'efi qu'une fuile du lau–
ré . L e pié refianr en I'alr ainfi, le corps el! porté fuc
I'autre jambe : elle ne pourra mareher que le premier ne
foit poCe a terre en 10ut ou en partie, e'e(l-.· dire feu–
lemtnr fur le lalon ou la poinre du pié ; daos la
figure,
e'<l1 la poiOle du pié qui porte. térre. L e pié gauche
fair un pas droit en avanl, lequel vaUL \Ine eroche ; il
efi fuivi ¡lu figne de repos ou quarr de (oupir, qui avec
les pas que nous avons expliqués, acheve de remplir
l~
mefure.
'
La mefure fu ivante
~,
3,
efi remplie par trois pas
qui valem chacun une noire . L e premier qui etl du pié
deoil,
:l
le
figoe en }..'air 3U
~ommencemen( ;
!I
el!
fui–
vi de la premiere polilion atleélée du figne pllé
&
fa~lé .fur le pié gauehc , pour. marquer que le fau_ fe faJl
fur ceue Jambe, I'autre étanr en I'air; enfu!!e e(t un
foupir qui vaut une noire de repos, apr<s lequel efi un
pas ouverr de cÓré fail par le pié gauche:
CC.
pa.
~fi
chargé de deux agnes qui marquellt,
le
preml« qu Il
fAu r plie, au eommencemenr du pas,
&
le fecond. qu'
il fau r élever
a
la fi n . L e pas fu!vant qui. etl du pIé
dr,Oir, e(l uo pas droir du meme fens, qUI ramene la
Jambe droite prcs de la g.uche.
.
JI f.,ut remarquer qu'aprcs le fotlplr
~e c~ttc
me!'u–
te les ehel1]ins des danfw rs ce(fent de fatre (ymmétrte;
ca: Pun avance vets le
hnut
de In falle, &: l'aU[re sien
éloigne. : cme diver5té de meuvelmm conrinue jofqll'
au rroifieme tems de la mefure fUlvame.
L e premier pas de
l~
mefure
3,. 4,
efi . un pas ou–
verr de cÓté du pié dro!!, avee les ognes pité
&
élevé ,
le premier au commencemenr du pas,
&
le fecond
a
la
tin ;
iJ
ea
fuivi d'qn pas ouyen de eÓlé fait. par le pié
gauche
a
la tin
duque~
le pIé <tfic en I'tir pendant un
quarr
d~
mefure . Le .pas luivam qui e(l un pas ooveu
de eÓlé etl affeél é do figne de rourner un qua" de rour:
on voir' . upres de ce pas la main droite que le danfeue
A
dOODe
ii.
la maio gauche de
1'~ulCe
daofeur,
f;
ifr.ol~q
l-
•
rc.f-