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CH6

d'ull riche Lacé démonien difoil par a\1uflon

¡,

ce .nom ,

q\I'Une multitude de

c.hozietttl

nichoient [ous

le

loit de

fon maitre .

( 1)

C

H

o

U E T

TE,

(Med.)

'pline a vaoté fa chai,

po.ur

la paraly lie;

10 US

Id auteurs de matiere m édicale oot

rappo lé colle venu d'apres lui ,

&

COlOme trail d'éru–

dítion : celte propriélé

&

quelques autres qu'ils lui Ont

auili ac.cordées chacun [ur I'autorité de fes prédéceCfeurs,

ne [onl pas confirmécs par des ob[ervalions . L' ufage

medicinal de eet oifeau efl IreS-rare parmi nous ou

¡ne-

me abColUJ.Tlem ·nul .

(b)

.

C

H

Q.

u

E T T E,

(pe/ite) voyez

C

H

o

U

e

A S.

• C

1;1

o

U E T TE,

( fJift .

fin • . )

dan[e des Grees dOn!

¡tous ne Cavons 3utrC chofe ,. fi non qu'elle élOil dans le

caraaere pantomime

&

boufion. .

'

. C H O

IJ

G

'01'

S

B

O G L E ,

t G/ og . )

grande vill.e

d'

A tic dans la Syric fur l'Or.oote,

Cur

1a route de Say–

de

a

Al ep.

C H O

U

L,

( G/og.)

riviere des Pays-Bas au duché

de Luxenfbourg dans les

Arde~ncs,

qui fe jetle dans

la

Meufe .

C HO

UQ U

ET,

CIP .

CH

y

QU

ET, BLOE,

TE T E

D E

MORE,

( M arine . )

e'efl unc groOe

piece

de

bois ou plUIÓt un bil lot qui efl plat

&

pref–

.<lue quarré par-dellous,

&

rond par- deCfus; il fen " eou–

y rir la lete d>l mal ,

&

emboite aufli I)n mal

ii

cóté de

l'outre. C h3que mal a Con

chou'!liet . V o)'ez la

PI.

[ .

de la 111ar!ne ,

ou les

ChOli,!U~tJ

de chaque mar [Ollt

cotés

' 3.

L e

choll,!uet

en p'creé en monaiCe ¡¡our embraCfer

la

tenon

de~

mats ,

&

op amarre au

ChOI"j liet

le pendaD!

des balancin,.

L es matS de hune , les perroquets ,

&

les b5tons de

pavilloll entrene aufli datls un

CbOIUI/{f!t ,

qui les affer"–

lnít

&

les entretlent :l\'ec le

ma!

qui ea :\u-derrou$ ;

&

ce

chou,!uet

eH enfermé dans un eo llier de fer coté

b b ,

q ui l'embr3(fe .

.

Vo)' . la

fig .

cieée ci-d_ffiI J ; voyn a"jft

la P.lan.

[/1.

fig

76.

oti I'on voil la fom!e pan iculiere

du

chou,!uet . _

" Au-dHlous du

ch.¡¡~uet

i1 y a deux boucles ou

" petils eercks de fer, cOtóS

a a

fig.

76.

par ou pal'–

" Cent les palans qui [elvent

a

hiíler

&

amener les mft ls

" de hune.

" 11 Y

a aum dans -res

~hou,!"etf

des clés de bois qui

Cont " arnies de fer,

qUl

em braífcm les yergues cotées

c

fig."

76.

on les couvre de péaux de mOUlon pour

;: empccber que les voiles ne fe gatent

&

ne s' ufellt

" trop eontre ces eodroits- Ia.

'

. " L a grandenr des

chou/{ueeJ

re regle

f~r

la grandeur

du vaineau : par excmple, pour un valCfeau de ecm

" trente-quatre piés de long de l'étrave

a

l'étambord ,

" le grand

, holH/ltet

aura trols riés un pouee de long ,

" deu, piés de large ,

&

qualone pouces d' épaiífeur ;

" le

C/'Ouq'lfe

du ma, de mifene, deu! piés

&

demi

:: de long ,

vÍl~gl-,un ~ouces

&

demi de large) doule pou–

" ces

&

dem l d épalS .

" L es

ChOU,!'lCtJ

de l'artimon du grand mil de hu–

, ne

&

du bcaupré , auront [ell e pouces de long , dou–

: , 'Le de largc,

&

[epI pouces d'épais .

" L es

chouflueeJ

du graud

&

pelil perroque!, qua–

" tOn e pouce1 de long , doule de large ,

&

li

x

pou–

ces

&

demi d'é pais " .

" Ces proportions peuvent cependam varier [uivant les

mélhodes des differens conflruaeurs .

" 1I

Y

a cncore quc1ques <lu tres regles pour déter–

'm iner les propon ions des

cbof,,/uelS .

Par exemple,

" on peuI donner au

cho"'l"'t

du grand mal pour fa

" longueur, la feptieLnc panie de la largour du vai(leau;

pour la largeur de ce

ChOUl{ftet ,

0 1\

lui donnera les

cioq huitiemes partie de fa longueur ;

&

pour fOI\

é–

" paiCfeur , les deux liers de Ca l3rgeur.

" L e

chotlflttet

du mi l de

t~ifene

Cera plus eoun d'n–

ne huitieme pan ie que celul du graod m2t ; [a lar–

:', gcur

&

Con épaHfeur dans,

l~s

meme.s

pro~ortloos .

" Le

chol:,!uet

du mí\¡ d 3rt1mOn dOlI aVOIr la moi–

" lié

du grand

Chor:qf/Ce,

ou

chou,!ue<

du gránd mh.

" L e

cho1l9ftet

du grand m! t de hune, la meme pro–

" ponion que eelui du

m~l

d'artimon .

" Le

chou,!"et

du mh de hune d'avant, d'une hui -

( 1) Mt moircs de

l'AC3.Mrnie

Roy.1le des

Infcripcions

&

Belles.Lcttre.

Edit d'Amftc-rdam 17,36.

.0 0

:l

dtrni~rc.'ment pu~li~

une

tr~s.anciennc

perite St.:ltuc d'y_

TOlfC

repréfcn~;lnt

un

~Ol.

qui titmt {uc le poios un

OireaD.

Le

Pete CO!t.;¡dOOl I'.a. expllqaé par une

difIenuion

*

qui

~

écé

iorcréc

CHR

" tieme partie plus eourt que les deux préeédens,

{t

" le

ch" "!,,,t

du beaupré égal

¡¡

celui-ci .

. " Le

chotlfjtltt

ou

bloc

qui efl

ii

l' arriete du mat

" d'animon, doit etre d'une J\Uitieme partie plus court

" que celui du mat de hune d' avaot;

&

le

chou/{,..e

" du perroquet d'artimon, d'un liers plus eourt que ce

" dernier.

" Les

Ch' ''/{f/etJ

du gralld Rcrroquel, du perroquct de

" ,mifene,

&

du perroqUtl de b.eaupré , doi vent elre é–

" gaux en longueur . u

chou'I,tet

de l'artimon,

&

en.tre

" ellX il s diffcrem d'-uo ou dtux pouees, felon que

le

" charpentier le Juge

á

propos .

eZ)

'CHOUS SE T,

C

m~

(OEcon . domeft. )

b.oiC–

ron en ufage c.hez les Turcs . E lle ée Cait avee de la

pilte crue,

m.is

levée ; on la décuit dans

Ul\

chau erÓ11

pIcio d'eau;

&

quand elle efl raffife

&

féchée , OU ,C,11

preud la groCfeur d' un ceuf qu'on Jelle dans l'cau pour

la

boire. Cetre pate s'échauffe d' e11e-méme; e11e donne

" l'eau uoe couleur blanehe

&

épaille . Cene boilfo11

nourrit

&

enivre;

0 0

fe lave avee

[~

mouíle: e'en u–

ne efpece de fa rd .

C H O

U

S T

A

C

K S,

(C omm . )

monnoic d\ugen.t

u.fitée en PolognF) quj vam en viron hujl Cous de no–

trF argent_

CHR

C

H.R

A S T,

(G

log.)

pelite vi11e de Boheme dans

le cerele de C hrudim .

·c

H R

E

M E ,

r.

IT\.

(7'héologie. )

bui1e confacrée

por l'évcque ,

&

dont

Ce

fervent les églilcs L atine

&

Greque, pour adminillrcr le bapteme, la cOtljlrlnallOU,

l'ordre ,

&

l 'extr~ me-on aion.

V O)'.

HU I LE,

O

R D

J–

N A T IO N ,

E

x

T R E M E

o

S

e

T

J

o

N,

& c.

O n fait le

(:¡inc

chrime

le Jcudi-raint .

Ce

mOl efl for mé du Grce

11.1"/,-",

qui (jgni6e la mi:–

me chofe ,

&

ert dérivé du verbo

II.pl

.. )

otndre .

1I Y

o deux Cones de

chrrmeJ :

l'ulI

!i:: fait avee de

l'huile

&

du baume ,

&

on s'ell Cen pour ad minillrer

les faeremens de bapteme , de confi rmalÍon,

&

d'ordre :

I'autre en de Gmple huile

eonfaer~e

par l' év"qu< ; il

f. rvoil ancienOemel\1 pour les cathécu11lenes ,

&

len en–

core

¡¡

préfent aq [acremem d'extre me-ona ion .

Voye~

du Cange .

.

- L es

M aronite~.

avam leur réunion avee l' Eglife de

R ome , employoie11l dans la 'eompofitioo de leur

,hri –

ine ,

I'hui le, le baume, le m ufc , le r.,fran, la canel–

le, les ro[es , l'encens blallc,

&

plulieurs autres dro-

gues. .

L e

p.

p andini , jéfnite , qui aHa au mOn[ L iban en

qualit': de oonce du pape , ordonna dans un' fyoode qu'

il y linl en

ISS6 ,

que le faint

ebréme

¡¡

l' aveoir ne

[eroil compo[é que d'huile

&

de baume , donl l'un re–

préCente la nature humaine de Jelus-Chrifl, I'autre

ii

lIature div ine .

V OJ'ez. le

Dié!.

de Triv.

L'ooaion du Jnint

eI"'eme

dans la eontinn ation

elt

regarMe par les lhéologiens ealholiques eomme la ma–

tiere partieHe du Caeremcut .

V oy.

C

O N F

J

R M A T 1

o " ,

D ans le b5pt2me

&

l'eurcme-on8.ion , c'el!

le

prc!tre

qui fait l'onaion du fail\t

.hréme

OU

de l'huile lailltc :

dans les deux aUtres facremens ou il

y

a onc ioo, fa–

voir 13 confirmation'

&

I'ordre , e'efl l"é, c!que feu l oui

a r ouvoir de la fai re .

'

A utrefois les é véques exigeolent une eonrribution dtl

clergé pour la e<.'nfeél'ion de leur ,faint.

,brime ,

qu' ils

appdlolent

de~arlJ

chrif mal<J :

&

¡

on me encore uOe.1 é–

gerc rétriburion des fabriques, en leur difl ribuam cha–

que année les faintes huilcs , daos la plOpan Oe. dio-

cefe :

( G)

C H R E M E A U , C m .

( 'IhI.I'$,ie )

c'efl un bon–

nel ou beguio de LOile qu' on mel lur la tete des , n–

fans apre qu'ils foo t baptifés )

&

qui repréfcllIe la ro–

be blanehe , Cymbole de l'inoocence dont on rc\

~LOit

aUlrefois les calhécumenes apres leur'

bapt~me .

(G)

C H R E S E S ,

.u

C H R E S 1S,

( Mr'¡'9fu )

"';""

IlfllJ;

."

,11uJi,!lIe ,

e fl une des parties de l' an,lenue

mélopée, qUl apprend au compofiteur

a

meme UI1 tel

arrangement daos .Ia Cuite des [<JOs , qu'il en réfclte u–

ne baone modulalloll

&

une mélodie agréable . C clte

par-

d~ns

le Tome 45

all

Recuc:il du P

CAI.Jt

,;

11

y

:1

une c'Xptia..

{Ion

du

portrail

de

1.1

R"IDC:

]t4llnt d, nCIJrHn

&

..te

rol

6IIe

ce..

nant uro éper\'"ier . inferée auffi dan. Jes

. 8A

E.rífdi.orllm

de Lc:ipGc •

1'3Dn~e

1683.

(N )