CHE
p!os roe!
que celui d'aw:un m u e
,hin,:
il devim plas
grt.>.
u OOrd dn
nura:,
{i.,6.
ou il croil ordinairenullI.
:'on Ironc en irrtguiKr,
&
la phi'>3f1 do
InDS
¡nnc
t
&
poor :·ofi diCe coocht; ce qui ,·¡em de ce CJl!e
I~
""r",o ium humide, a
pw
de conlífl:1llce, « que les
m>ri~
emponen! la lerre qui doil cou, rir les raclnes:
daos un lerr<"in plus ¿Ievi ces u bres fonl droils , « 001
11
cime rtgulicre
&
ptr3midole , «confenen leues ieuil–
In
100le l' annte. Leor glaDd ell plus doux
ql!~
cclui
ele 10US les aUlrCi
, hi"ts.
Les
Indiens en fom ordin,i–
remeol pro ,·
;r.on, « s'en fervem pour ép,;ffir ICi fuupcs
qu'ils fon, avce de l. "enaifon : il. en lirent une
hUlI~
Ircs·agr6ble« Ircs-faiDe , qui en prefque 3uffi bonDe que
celle d'amande .
C
atoby .
29. L, l b;'," "oí,..
C'en uo 3rbre de moyenne hao–
ItUr, dom la (euille pour la forme approche de cd le
du ,aiTafras. eel arbre,
: 0
rapport de alcsby, croíl
ordina;remeDl daos un mau vaÍ> lerrein: il ell pelil, «
2
I'écorce noire, le grain
grotr.er, « le bois ne fen
goere
qu':l brOlcr. Quelques-uDS de ces arbres om des
!cuillcs I..ges de dix pouces .
,
30.
Le ,bine
d'
ca"
ti'
AmlrhJ"' .
"en un arbre de
moyeone hauteur, dom la feuille fans pelltelure fe ler–
m ine p.r une efpece de lriangle: il De croi< que dans
les fonds pleins d'eao. La eharpente qu'on en fail lI'ell
po durable; ainfi 011 ne s'en lerl guere que pour clor–
re 1 .. champs . Quand les h'Lvers foOl doux, il confer".
la pl Opart de fes feuill.s . es gl.nds qu'
il
parle fonl
pellls
&
amers.
C
attlby .
3' . L e
, bi"e
Man,
de
In C"ral;"e.
e 'dl un arbre de
moyennc h.uleur, qui
3
des veioes verdl lres . S ui va",
3ltsby , fes fcu illos
001
les enlJil lures profondcs,
&
\es
poillles Io n aigoi.'s ; fon écorce
&
fon bois (om blnocs,
mnh le grai" n'en pas fi ferré que celui do
pr~cédcl1l .
3L.
L~ p~/iJ ~hine
1;
f~lli"a
de
fall/~
.
'
n
un ar·
brllltau dom In feuiJle, quoique rcrlbnblame
a
c.lle
du r.ulc,
dI
néanmoills plus courte.
el arbre, dil
alcsby, en ardin.iremem pelil; foo éoorce
di
d'one
eouleur obfcure,
&
fes feuilles d' un verd palc, de la
m~m"
figure que cdle du faule: il croll dans uo ler–
rein Icc
&
maigre;
il
De produil que peu de gland , eo–
eOre en i1 ton pClil .
33 .
Le
eh""
rOl/g'
de Marylandc.
e'en un grand ar–
brc donl les feuillts découpécs comme eelles du
,hi –
,te
e¡mllll,
fom plus grandes,
&
gamies de poinres.
Les feuilles de ee
ehine,
au rapport de
enle~by,
n
'001
point dI! figure délcrminée; mais elles fonl bcaucoup
plus vari¿s cOIre elles que cel"; des 'Ulres
,hina:
il en en de mEme du gland. L'éeorce de cel arbre
cn d'un brun oblcur, Ires-tpai!fe « Ircs-forte; elle en
pr¿f¿rable
:l
lOute .ulre pour lanner . Son bois a le grain
groffier; il en fpongieux, « peu durable.
11
eroil dans
un lerroir élevé.
3+ L e
,h""
d'ea"
d'EJj>ag'" .
e'en un petil arbre
don[ la feuiJle re!femble
:i
celle de l'olivier, « doOl
le gland ell comprimé « jolimeOl lerminé par une houpe
de file!s.
35". Le ,hin. de Morylande.
c'ell un nrbre de mo –
ye,,"e haDleur, dOnl
io
reDille qui relfcmble
a
eelle du
ch~ laigner
ell velue en-de!fous.
.
36. Le ,bine
Jimle.
011 ne [rOuve Jamais eel arbre
que dans les fonds humides: les feuillcs en foOl lon–
gues, llroiles, « unies auX eXlrémilés eomme eelles
" " laule: le bois en en lendre , le grain gros, «
iI
ell moins bon pour l'ufage que celui de la pltlpnn des
:lUlres cfpcces de
,hine .
37.
Le
,hine d'Afr;'¡"e.
eel
arbre ne differe de nos
e"¡na
COmIDuns que par foo gland, qui ell du double
plus long.
Tomes ces efpeces de
,Mua
fom a!fez robulles pour
rc!liller au troid de la pnrtie feplemriooale de ce royau–
me,
on pCUI le, élcver eOl11me nos
china
ordinai–
res.
(e)
U
i
N E.
(mot. m.d.)
L es feuilles
&
l'écorce du
,hEm
fom alldngemes, réfolmives, propres pour la goU[–
te fcialique, pour les rhomalifmes , étnm employées en
fomemnlion .
L 'éeorcc entre dans les gargarifmes qu'on employe
eoulre le relachement de
In
luene,
&
calme les ulce–
re'
di:
la bouche
&
de la gorge .
Elle entre dans les clyll"res allrinllens,
&
dans les
injeéHons pour la chtlle de la malnce ou du fonde–
mem.
Le ¡¡Iand de
,hi"e
en employé en Medecine: on doi[
le cholÍlr gros, bieo nourri; on en fépare l'écarce,
&
011
le fa;[ fécher douceme", , preoam garde qoe les vers
ne s'y metlem, Car il
y
en fojel:
00
le
r~dui[
en pou-
CHE
239
<!re p r s'en fen·¡r.
11
ell 3llriDgeDl, propre
r a
",,¡ltr la colique
&
le5 m ochia c s lemmn DOU'
1-
lemeot :lcCODchc!::\ ,
or
(OO~
fes COUr\ ce
'~~Dtre'
13.
dofe eo eil depu;s on fCTUpule Jufqo';, un gros. '
La copule
0 0
ealone du gund de
,I:¡,u
en alldn–
&.eme; 00 s'en f:rI daos le.
remed~s e~ltrk-ors
pour lor–
utíer; on pourroll aD!Ii en prcndre Imi" uremem comme
du gl>Dd .
L <s galles de
el';'"
ou fnu{fes galles , les pommes de
,b"",
""
les railíns de
,bis",
10m ces eIcroi lJan=
qoe prodoil la piqullre Ce eertains inf a es qui
y
Mpo–
fem leues :1"uf.,
&
qui
y
produifeo! de vers: c s eX–
croilTanees 10 m allriogcOles.
ñu ¿emeuraD!, il en efl de ces propriélés du
,h,–
ne,
de
13
1"-oiJle, « de fes nutreS parties, comme de
celles des 'utres produflions que la m. ti re médicale
comple parmi fes reiTources; elles demanderoi. "1 pr (:
quc 100les plus d'obfervalions que nous n'en 5\ (,ns.
L a ,·raie uoix de g.lIe ell difUrenle de ces con1lnu–
nes .
VD)''::.
G
A L L
t.,
Oll
N
o I
X DI!
e
A L L
t.. (
)
e
HE.·
E ,. E R D,
ilex,
geme d'arbre qui porte d·s
chala ns compofés
d~
plufieurs élamines qui (o rtenl d'un
calice I:lil en forme
d'e~lonnoir,
&
alt.ch.!s
:1
on pelil
fiJe[ .
Les glands Ilaillen! fur le ml!me " bre
fi
parc:m nl
des Oeurs; ils fonl cnchaOés dans une efpece de cou –
pe,
&
ils rentt-rmen[ un noyau que l' on peul féparer
en
deox pan ies. AJoOle? au camaere de ce genr" que
les feuilles fOnl delllclécs, mais cependant bien moins
profondémcn[ découpécs que celles du
,lo".. .
Tour–
Ileforl,
1¡tj1. reí hcrb. V.
P
LA
1<
TE;
.'o)'e:t
Y
E U S E .
(1 )
C
H
Ji
N E R O Y A L
O"
e
H
E
N E D E
e
H A R L E
( 4j1r. )
conllellalion de I'hémifphere méridion31, qu'on
Ile voil poin, fur nOlre horiron: elle ell ulle de eelles
que
M .
¡-bUey a élé obfervrr en 1667
ii
l'ile de Soinre–
H~rcnc ,
&
il 1':1
nornméc: :¡infi en mémoirc
du
(bhlC
ou Charles
11.
roi d'Anglelerre fe lin l cacHé lorlqu'il
fUI
pourruivi par romwel apres la déroule de Worceller.
f/oyn
e
o " s
T E L l. A T I ON"
E
T
o
I LE.
(O)
e
¡-:J
E
N E
L L E
S
ou
T E N E
L L
E
S,
f.
f.
(]II–
rifprd.
)
qu'on appelle auffi
droit de gambag.,
en un
droil fingulior uÍllé duns quelques coOmOles locales d' Ar–
lOis, qui en
dO
3U reigneur , d'une eert,inc qualllilé de
bierre pour ehaque bmffi n . Par cxem;>le, en celle du
MOIll-fail1l-Eloi,
nrtide
;j.
iI
ell fixé
:i
deux 10ls pour
chuque braffill .
f/o)'e:t
1'.IUI<Ur
del notes
[r"
Areoir,
qrt.
;;;.
(A)
e
H
E
N E R
A I L L E
S ,
( Glog.)
pelile ville do
France dans le Bourbonoois .
• e
H E N E T ,
f.
m. (
Serrur;", Argm tw r, Do–
r~::r
1
FOlldclfr,)
ullcnli lc domcltique auquel
[QUS
ces
ouvrier~
1r00·aiJlenl quelquetois. On le place d' 1I5 les
aIres des cheminécs par parre . L es deu,
ch",ctl
foO–
rennienr
&
él.vcm le bois 'lui en brOk plu facilemem.
Si on imagine,
1°
ulle barre de le r quarré, horiConl,–
le, donr un des boUls que j'appclle
a
roil coudé d'en–
viran qU.lre
iI
cinq pOllces en UII fen> ,
&
d011l I',u–
Ire bour que j',ppclle
b
foir coudé dans un fens oppo–
f,;; cnforte que la barre
&
les parties eoudc!<s foiem
dans un meme plall,
&
que les parties coudées foieo l
p~ralJdes
entr'elles
&
perpendicuhires " la Darre:
(j
I'on im,gine ,
].0
qu'une des panies eoudóes
o
roil plus
fO~le
d'élotfe
&
plus longue que 1, partie
b;
qu'il l'eo–
droil du eoude elle foil rctendue en deul
p~rties
; qu'ol1
étire ces dCl1x partics ;
quien les
cintre vers le
coude;
qu'on le. écane, l'uoe d'ulI cOlé de la par
tic
o,
I'au–
tre de I'aulre cOlé; que la partie
ti
foil perpendiculaire
rur le milicu de ce cinlre; que la partie
ti
« fes por–
[ions rei ndues
&
eintr~es
foiem dan UII
m~me
plall'
que ces p.nies cinrrées formcOl
dcu~
piés ,,-pcu-prcs de
la
mcm~
hauleur
&
gro!feur que la partie
b,
&
que le
IOUI pui(Te
(~
fotl[enir fur ces deux piés
&
rur
In
par–
lie
b ,
enforte que la barre foir ¡¡-pou prc horifomale ,
ou foir feulemelll UII peu ioclilléc vers la partie
b
J.
011
:lura un
,hu/ce
de
cllitine ,
un
(b~nre
de la confiruttion
b
plus limpie.
eeu~
des appartemClls eommunément
fOI1l
ii
double barre COIII contournés,
&
LÍcnnelll qucl–
quefois por une ba;re ou deux
q~i
les a!fernblell.[ vcrs
les panies coudées
b ,
&
les conicrvclI[ a une dlnallce
par,llele
&
proportionllée
:i
l. gralldeur de l'alre; .Io<s
la panie" a pru de hauleur; elle rert fe uleme11l de fup–
pon
ii
des omemens foil en acíer poli, foil en cuivre
fondu
&
cifelé : ce ¡om ou de bas-reliefs, Oll des
fi–
gures groupées, ou des boules, ou des pOls-a-feu . N os
ayeux o'avoiem que des
chenel1;
le luxe nous a donné
des
¡mx;
car e'ell ain li qu'on appelle l'a(femblage
~es
deuI
,hm.u;
&
ces
[C//X
fom des meubles argemes •
do-