CHE
_UI '
uoe CMrrttle
i
dcax rones.
Arrh d"
e6H–
fo,l
á,.IIs],,,{/,,
16 7
0 ,
&
die.
á"
14
N.v.
17~4.
La
ch '6e d'aoe vo'rore
deos rOOes el! de
f
p ,in-
~Oll
de vio
0Il
de Iroi milticrs pe(aUl d'aOlres m,,–
ch3ndi(~,.
11 cll
ntaomoin5 permi5 aas rouliers de por–
litr
6
poin~on,
de
~io,
eo ponanl ao relOar do pavé
&
du 13I>Ie aos auehe.. des grands
.h.min,.
On obli-
e
meme pré(emcmeOl
ceo~
qoi retuorneO[ ¡¡ vuide de
poner une ce'U1inc
quaOlil~
de pavé.
Vr;y<z. la 8 il>lio–
"&htfl'te/~
Bouchel, au
,mOl
~ht",il1.
LrJ lo;s ('I1J,les,
parl.
I
.
In,.
l .
1,1. V" ).
[.tl.
:l.. ".
14.
L
'.xpajiúon
del
toMI.murur la largmr du eh,mins
,
&c.
&
le
Ir.
tÚ
la
co"jlr,tlJ,o"
dtl
~buHi", .
LtJ
tJrJOlJlIallCtI
de
JIJ
".tjit mt
rlICe.
L
'ordo"na1lctJ
Jtl
ea.x
&
fórttl
t~lr.
-,!;rv ,z'
L~ ~,aill
d.
la poli", to",. IV I;v. IV:
nI. XII).
t
d,S,o"". des
arrétl,
nu mor
, htmin .
e
o
I!:
M
I N, appellé
earr;.u
dans quclques coOtu–
m es , ell un
ehemill
do Iroifieme ou qualrieme ordre .
Boulhillier , en (a
[omm. rurale , p.
497.
dit que la
carriere :1 di. piés, pour la commodilt' commune, tam
det gens de pié qoe de che val ,
&
des charreues
&
voi–
lures. L a eoOlOme de Valois,
arto
194.
&
ccllo: d'A r–
tois, ne dunnent que huit piés
~
la carriere . eelle de
Clermont en Beauvoifis,
arto
226.
aJolhe qo'il en loi–
lible d'y meoer
eharrerl'
&
b.foial
."
eord./I.,
&
non
aUlremem .
H E
M
I N
S
e H A R R
U A U X
OY
D E T R A VE R
S
E
en .P oitou,
&.
qu'on appelle .illeurs
voijillaHx,
(ont eeu;
qUI commul1lquem d'on g'3nd cht min
a
uo autre,
00
d'uo bourg, ville ou
vill.ge:\ I',ulre; i1s fOOl 3infi ap–
pellés , non p.s du mOl
eharr,..,
m.isdu mot
eharroi
paree
9u'i~s
doiv.enr ! tre .fre2
lar~es
pour le p3lfage de;
charrols,
a
la dllférence des fCllllcrs qui ne (ervem que
pour le pana!:e des geos de pié ou de chev31,
&
pour
les bates de lomme.
Voye:.
Bouchcul
{ur I'art .
12.
d.
Ja toAI. de P Oil flN,
&~;-apr.
CHEM I NS D E TRA–
VER S E &CREMI NS VOISINAUX .
H E M
I N e
H
A
T E
L A IN, dollt il en p.rlé daos l.
coOlome de Bouleoois,
IIrt.
1
f6.
en ioférieur au che–
m io royal
&
au chemio de traver(e; il oe do)t avoir
que viogt piés: on . ppelle .infi ceux qui coodu i(ent
ii
uoe des quatre chatellenies do Boulenois .
H E
MI N
e
RO l S I
E
R , dont il en parlé dans
I'art .
I
f9.
de la coOtume de Bo ulenois, eCI un chemin de
rencootre qui conduit en plufieurs endroits.
H E
MI N F I N
E
R o
T ,
u/ité dans le duché de Bour–
gogne, a fix pas de largeur , qui revienncot
~
dix·huit
pié!
i
e'eil proprcmenr eelui qui (épare les finages ou
confins de choque eontrée ou cantoo.
H E
M
I N
F
o R A IN, doot il en parlé dans l. co(l–
turne de Boulenois ,
arl .
•
6..
en celui qui conduit de
chaque village
i
In foret .
Voya.
l.
eomm,"ta;r.
á.
L eroi
[Nr ce' IIr,;ef•.
H
E M
I N
S ,
(gralld,
)
on .ppelle
grand, eh.m;'lI,
par exeelleoce, les
eh.m;IIs
roy.ux, pour les dininlluer
des autres chcmins d'ull ordre inférieur .
Voyez. <t-ap.
eHEMIN R OYA L.
CHE
M 1
N D U HA LAG
E,
en uo e(pace de viogt–
quatr. piés de large, que les riverains des rivieres n.–
vigables (0111 obligés de I.ilfer fur les bords , pour le
palrage des ehevau! qui halent on tireOl les bateaux .
l/oJez. {'ordo"". des .allx
&
[oril: , til . xxv ;;j . arto 7.
.. H E M I N
pOlir ijfuc
de
1JiJ/e
volontn;rt ,
d311S
1:1
coGlume de
Boul~nois,
arl .
•
6".
en
eel.uiqui (on d'nn
village ; ce
eh.mi"doit avoir onu piés .
VO)'U. le eom–
melltal.
¡bid.
e
H
E MI N PE'A
G
E A
U ,
en nn
eh.m;II
public fur
lequel en élabli le péage . Suivant l. coOtume d'An–
jou,
arto
60.
&
celle du Maine,
arto
69.
il doit coo–
tenir quatone piés de large pour le moins.
HE" I N, appellé
pil-!"'t.
en Artois, en le moin–
dre des
.h.m;",
publies , qui n'a que qu. tre piés de lar–
ge .
VOJez. ei-apr.
e H
E M
I N DE TER ROl R .
e
HE"
I N P R I
V
E' , en celui qlli n'en é tabli que
pour certaines per(oones,
&
oon pour le public .
Vo)'.~
&i-á~v.
au
mo&
e
H E M 1 N.
e HE" I N
P
U
n
L le, en celui qui en établi pour
)'ur:'ge de touS,
3
la
différence des chemios privés
&
pallages, qui ne foOl que pour certaines per(oones.
f/o,ln ei-dev.
e
H E M
IN .
e
H
E
M
I N
R
E'A L, daos la coOtome de Boulenois,
tigoifie
eh.m;" r.)'al . f/oy . ei-apr.
e H E
M
I N R
o
YAL.
H E M• N R o YAL, que I'on appelle auITI
grand
eh, m;",
en celui qui communique d'une grande vi/le
a
une autre grande ville . La largeur de ces
eh.m;nl:1
va–
rié felon les tem s
&
les coOtumes. Suivanl une tran(:1-
éHoD de I'ao
uu,
appellée
eharta pae;s,
le
eb,mi"
CHE
231
'.YII
D'a\'oil
21015
que d!. ·nuil p..
!s.
Boot!" , I r, eo fa
fomm.
",~"I.,
p.
'197·.
~"
que
\le
(00
1
nI>
le
t cm".
,..yal
a\Tott
q uar311
\!
plt:~.
L a
cou,um
du
¿uch~
de
&ulgogne ,
~b. d~J
w
JMru , ," Jlne
1 Uf! Cul1llC: que
Irente piés
ce
I..geur .u gund. Chel11
D,
qui
ell
le
t
h. –
mi"
r
_
al:
~
lIe
~e
1
01
m~f¡dle, ~rt.
623.
dit qu'il oe
doit
~s
avolr molOs de q uatre
101/.. :
« tic
de
~elllis
&
eelle de
Va
oís
v
01
n~
que les
" ra"J, , h""ills
0 -
yent
an
moios qua••
OIe
p,e, de larg. daus le, bois
&
forets
&
treo te poor le moios dall> les lerfL'S hurs des
forlts
~
celles d'./\ miem, de Boulenois,
&
de Saint·
0-
mer
\ 'eulenr
que taus
,htmuiJ
rQ)'aNx
ayeot
loi\:ultc
piés 'de Jorge: celle de
~I
rmODl en
~cau,'aifis
donne
8U chemin plOpremeut dll Irellle-deux p:€\,
&
ao
gran¿
eh.",i" rOjal
(oiunte·quatre pít's d lalgtur.
L 'ordonoance des eaux
&
tor~ts ,
tit.
do r Ollto
&
eh.mills r0Y"ux,
porte que
d.anI~s for~ts
le,
g~u"ds
~b(miIlJ
r o)'oux
auronl :1U tnOInS COI
aute·douze
l
~
de:
largeur;
&
que
d.nsfi1 '!I0is ,
tou~
bois , épi!lts
&
brouffailles qui (e trouveroleot
d.osI e(pa;e de loi..o–
les piés
es
gra>Jds eh.mill'
fervanl 3U panage des co–
ches
&
carrolfes publics ,. tant des forets du roi que de
celles des eccléfi.niques , communautés , reign urs ,
&
partieul iers, (e,oient offarté
&
coupé" en lorte que le
eh.m;"
(oit plus libre
&
plus rúr.
t Ue mé me ordonnance veut que les propriéta;res
des héritages aboutilfal1s aux rivieres navigables , laillene
le loog
efes
bords v
ingt'qu~tre
piés nu moms de place
eo
lorg~ur ,
pour
eh,m;" royal
~
tra5t de che ,'aux. ,
(ans qu'ils puilfent planter arbres
111
teOlr clOture
011
hale
plus prcs que trente piés du
eOt~
que le.s baleau> fe ti–
rell(
&
dix pié. de ¡'3Ulre bord,
a
pemo de
feo
li v_
d'an;ende confifcation des arbres,
&
d\!rcc les
Contra–
vcnans
c~n(r3in[s
a
réparcr
&
rcm~ure
Jcs
chcminJ
en
état
:l
leurs frais.
L a
largeur des autres
ehem ;ns ro)'al!x
oors les for" ts
&
bords des rivieres a été reglée
oltlérel11m~m,
par di–
verfes leures patentes
&
arrelS,
julql1'~
¡'anét du con–
reil du
3
M .i
1720,
qui
3
61é
la largeur des
grr."ds
eh,mins
ii
roiunte piés,
&
c<,lI. des autre' ChellllllS
pU–
blics
:l
trel1te-fi~
piés ; ce qui s'obrerve depuis Ce tems
amam
qu'il en poffible: on a meme dODné plus
de
lar–
geue :\ quelques·ulls des
cht mi'11
Tuyallx
aux env irons de
París,
&
ce la pOllr la décoration de I'abu rd de la ca–
pilale du rol'aume .
f/o)'ez. e;-de'V.
e H E
M
IN .
e H E MI" DE
TE"
R Ol R
011
V o
l E,
(Jttrifp . )
en une des cinq erpeees de chcm ins puhlics que I o n
diningue en Artois: la premiere s'appclle , co mme par–
lOut
ailleurs
grond eh, mi" royal,
qui doit aV(lir lohan–
te'quatre piés de largeur me(ure du p')'s , (uivam les
reglemens. La (econde e(pece de chem ills
:i
laquelle les
coOtumes du royau me donnent divers nums , elt connue
en A rtois faus le nom de
chemin 'l.·j,omt;er,
lequel
doit avoir trente-deuJ piés de largeur. L a troi/ieme e–
(pece en celle qu'on "ppelle
'lJoie
o u
eh.m;" de turo;r
c'en·'-dire qu i (ert :\ commuoiquer d'ull terroir :l
l 'au~
tre; ce
eh.mi"
n'a que feize piés de largeur . L a qua–
Hieme e(pece en le chemin appellé
eorriae
,
qui
n'a
que huit piés. E t la cinquieme enfin, appdlée
font ;.r
ou
pil·[ent.,
qui n'a que quatre piés de large.
CHE~!I N
DE TRA VER3E , eO cel ui q ui commu–
nique d'uo grand chemin
a
un antre; c'.n ce q ue le.
R omains appel loiellt
tram".
Bouthillier, en
(a
fomm•
rllral., p.
497
I'appelle
"avtrs ,
&
dit qu'i1 doit 3\'oir
ju(qu'¡¡ vingt ou ving t· deux piés.
,
eHEMI N vleoMT I ER, en Artois, en celu i qui
• treote-deux--!,iés de
lar~eur.
V oy. ei·d.v .
e
1I E M •
!{
DE TER RO l R. L a coutume de Boulenols,
arto
' f9.
l1e donn.
ii
ce
ehemi"
que trellte piés. L a coOlUme de
Sa im-Omer,
arto
lío
I'appelle
eh. mi" de tcaver[.,
o u
vÍ<ornti.r,
&
dit qu'il doit 'avoir dix piés .
e
H
E
M
I N
S
V o I
S
I N
A
U X, que les R " m3ins appel–
loiem
v;.c v;';"ol"
,
fo m ceux qui lervem pour la com–
munieatÍoo des héritages entre voilins.
La
coOtume de
Tours,
art o
f 9.
&
celle de L odunois ,
.h.
V.
arto
l.
veulem que ces
ehemins
ayent huit piés de largeur.
e
H
E
M •
N, appellé
'Voie,
en l. m<:me chofe eo Ar–
tois que
eh.min d. terro;r. Vo)'.z.
ei
d.v .
e H
E
MI
!{
DE TI!R RO IR .
( 11 )
CHEM I NeO
l'
VE R T,
( IIrl
m;lit.)
appellé autre–
fo is
earridor,
en dans la Fonirication uo erpace de cinq
:l
fix toi(es de I3rgeur, terminé par une Iigne parallele
a
la cOIltrefcarpe:
iI
en ceuven
ou
caché
i\
l' ennemí
par une élév2tion de terre d'eDviron fix piés de hauteur,
qui lui fen de parapet, laquelle va
(e
perdre en peme
dans 1:1 campagoe,
i\
vingt ou ving¡-cinq toifes de la
Iigne qui le termine; ce[(c peme
(e
Domme
le glacis,
V O)'.z.
G
L A
e
I
s .
L e