CHE
U "¡IIJ,
en
1:1
méme chofe que
prímiurittl;
ce qui
" ¡cm de ce que le
ebefeltr
éloil
le
premier marqué
chns la rab.e ou.
=alog~e
.de o,:,m.s
?CS
eecléliafliques,
eomme le premler en d'gDllé: alOll e
dI
eomme li
1'00
eQ,
di, P'''''NI
jiJ
,~rá,
paree qu'on fcrivoit ancienne–
ment fur des ubles de eire•. On nomme eoeore aUJoO[–
d'hui le chrf de quelques églifes collégi,les
cbefeur:
par eIomple on dil,
le cbefei.r de faintc El"",,. des
<;r/¡
Le
aom de
prim"eriuJ
déllgnoil ao lems de
S .Grégoire l.
gran~
, uoe digoilé
e~clé1iafiiqoc,
a Ja–
'l0elle
ce pape allnboa plolieuls drollS fur
I~s
eleres in–
férkors
&
la di..a ioo du chreur, afin que le ferY iee
s' y
tll felon la bienfúnee . II avoil auffi droil de eM–
li.. 1.. ekres qu'iI Irouvo¡! ca flUle,
&
i1
dénon~oit
a
l'éY<'que eeux qui é!oienr iaeorrigibles. Celui qui é.
loi! marqué le recond dans la rabie s'appelloil
fceondj –
~e"';IH,
eomme
qui
diroit
fec/lndltl in
c~,.á.
M.
SimtJlI .
(G)
e
H
E G
E,
( Glog. )
ville
&
eom!é de la hau!e
H ongrie, fur la Theilre.
CHEGO
OH
KECIO,
( Gtog.)
grande villed' A–
fie,
capil.ledu roy3ume de Tunquio,
&
la rélideoce
du roi.
L ong.
/23.
30.
lat.
22..
e HE G
o
S,
r.
m.
( C omm<r«)
poids pour les
perles
¡,
l'ufage des
Ponug.isaux Indes. C'ell le quarl
d'un cara! .
Voyez.
C A R
A
T;
voyez
les
diélioJln. d"
e omm<r«, de 'írlv.
&
de Disb.
.. e H E GRO S,
r.
1)1.
Cordo"" . Bourrel.
S~Jli<rJ,
&
tll(tr~J
olwriers
'llti
empJoy~nt
d lt
eHir;
c
t
ell uu
boul de file! plus ou moins long, eompofé d'ua nom–
bre plus ou moias graad de tils panieuliers eordelés
enfemble,
&
unis avee de la poix ou de la dre. POli;
eel elfel, on prend un moreeau de eire bJanebe ou Jau–
ne, ou de POI!;
&
lorfque
l.estils
001
élé cordelés
&
cornmis
3
la main, on
(~i(jr
le 61e[ qui en
réru!re,
&
on le prcffe
foncmenr
contre le morceau de cire ou de
poi~,
qu'on fail glilTer plu"eurs fois fur lOute fa lon–
gueur, atin qu'il en foil bien enduil. Quaad le
ehegro"
ou
chigroJ,
ou
Iign",1
(
ear les Cordonniers appd lem
Jignutl,
ce que la piOparl des autres appellem
ehegroJ
ou
.higroJ
)
ell bien préparé, on en arme les exrré–
m i!és avee de la foie de 130glier, dom
les
poimcs tres–
menues palTent facilemenl dans les IrOUS pratiqués avee
J'alene, lorfqu'il s'agil d'employer le
ehegr.os•
la eou,
!ure des ouvrages.
V oyez.
SELLE, SOULIER,
&,.
• CHE IROBALISTE
011
CH IRO BA LI–
S
TE,
r.
f.
t
Hifl.
an•.
ti'
Art
milit.)
ou
balifle
J
>nai,,:
elle ell eompofée d' une planche ronde par un
bou!, éehanerée eireulairemem par l' autre bow. Le
bois de I'are en Ihé vers l'exrrémi!é roade ; fUI une
Jigne eonefpondallle au milieu dn bois de l'are
&
.u
m iliou de l'éehanerure, on a tixé fur la planche uoe Irin–
gle de bois, précifémenl de la hauteur du bois de I'are:
eelle lringle en cannelée femi-circ.ulairemCllt
fUI
lO",e
fa longueur. Aux c61és de l'éehancrure d'un des bOUIS,
on a ménagé en f.illie dans " pl.nehe, denx éminell–
ces de bois qui fervenl de poignée
a
la balille.
1
l pa–
ro't qu'on élevoil ou qu' on ba¡lToi! la balille par
c.espoignées; qu'on en appuyoil
te
bout road eonrre !er–
re, qu'oll
pla~oit
le eorps daRs l' échaoerure de l'all–
rre bOUI, qu'
0 11
prenoit la eorde de l' are ayee les
mains , qu'on l'ameno;t jurqu'¡j l'eXlrémilé de la rrin–
gle eannelée qui la retenoi!, qu' on relevoil la balille
avee les mains ou poignées de bois qui fOil! aux clhés
de l'"ehanerore, qu'oll
pla~oi!
la fleche dans la eanlle–
lure de la !lingle, qu'avee la main ou aUlremem pn
[.1ifoil éehapper la eorde de l'are du bou! de la tringle
eannelée ,
&
que la fleche élOil ehalTée pu ce moyeo
fans pouvoir
~rre
anclée par le bois de l'are; p",ee
que la eanoelure femi-circulaire de la rringle élOil pré–
cifémenl .u-delTus de ce bois, dOIll I'épaitleur étoil ap–
pliquéc
&
eonefpondoil a l'épailTeur du bois qui refioil
a
la rringle, au-delTous de la eannelure .
Voyez.
B
A
L 1- -
STE.
e
H E l
T - A'- 13 U
N D,
(Oomm.)
la feeonde fOrle
des tix efpeees de foie qui fe fabriquen! aH Mogol.
V.
les
diélion".
de
'írlv.
4"
Comm.
&
DiJh .
CHE
IC
A O,
f.
m. ' (
H ifl. nat.)
cfpeee
de
piene
que les Chinois fOn! ehtrer dans la compor. lion de
I~
eorrverte de la poree!!iine. Les relalions de la Chine
failes par des gens qui n'3\'oien! qu'une légere connoif–
fanee dans I'H illoire na!urelle, IIOUS onl déeril ce fof–
file eomme re(lemblan! a du borax, quoiqu'
iI
n' y ai!
réellemenl poilll d'aulle re(lemblanee enlre ce fel
&
le
.heklfo ,
que par la eouleur qui en blanehe
&
demi–
rranfparente . Comme nous avons eu ocealion de voir
du
c/,./;"o
de la Chine, nOUi le délinirons une efpeee
'í0111e IJ[.
CHE
227
de fpalh 31ka1io, compofé de filamens
&
de Ud.s
,úlh
femblablC5 a eelles de I'amiallle; elle fe diOoul . \tc
efrervefeeocc: daos refp
'1
de nilre;
&
ealdote elle
te
r':du;1 en plóue.
V"Y.
BOIl.AX&
PORC E.L'A1SE .
(-)
C
1:1
E
K 1 A
N G ,
( GI.g . )
proyiaee mari!ime de
la
C hioe,
i
rceddeDl de P.k,o; elle ell u es - peuplée
&
ues·fenile: on
y
aourril grande quaDlilé de Yers
:i
foie.
Ceue proviaee eU tilUée eaue eelles de aokiag
&
d~
Fokien.
CHE LID O
IN E,
voyez.
E C LA IR E .
CHE L
1 G U E,
vo)ez.
C HAL I N
G
UE.
CHE L L
E
S,
f.
f. (
c.:ommerce
)
!Oile de eo!oo
a
carreau de difl:treDles eouleurs, qui vico! des Indes
0 -
riemales.
V .yez.
les
diél. d" Comm.
ti'
de D iJh .
CHE LLE,
(G/og . )
pelile ville
&
abbaye de Fran–
ce dans rile de Fronee, fu r la Maroe .
CHELM
011
CHELMYCK,
( G /og . )
ville de
Pologoe dans la Rume rouge , eapilale du pala!ioal de
C helm. L .ng.
41.
4~.
1m.
p .
10.
CHE L
M
E
R , (
G/oj{,.
)
riy iere d' Angle!ene dans
le eorn!l d'Ellex, qui fe méle 3 etlle de "Blaek;"aler.
CHELMESFORT,
( Glog.)
petile ville d'Ao–
gle!ene daos la pro" inee d'Ellex, fur le ehelmcr.
CHE LMNITZ,
(G /og . )
pelile ville d'Allema–
gne en Silélie, daos la prineipauté d'Opp In .
• C H E .LO
N
E,
r.
f.
( Hifl. nato
bot_)
planle dont
le ealiee ell eOUII, verd, c!cailleux, la fleur monopéla–
le
&
:i
deux levres,
&
le eafque femblablc:l l'éeaille
de lortue , fendu en
deu~
au fommel
3\
ee une blrbe
.déeoup(e en lcois parties,
&
s'élendanl au-dela du ea–
fque.
11
s'!!leve .de la parrie imeroe
&
inférieurc de la
Heur qu!:nre é tam ines, done les Commets om In fig
u.red'un teClicule. L'ovaire cro'h fur
le
placenta, dan& le
food du calice , au -dedans de la fleur;
iI
ell g.rni d'un
long tube ,
&
le
ehange en un fruil IOUI-
3-f.ilre(lem–
bl.OI:l
eelui de la gante l':e, rood, oblong, parlagé en
deux loges,
&
rempli de femenees doO! les bords ont
de pe!i!cs franges foliées.
Voy. les Mlmoires de I'aead.
an. 1706.
• e
H E L O
N
E',
f.
f. nymphe qui fu! mélamor–
phofée en IOrtue par Mereure, qui la punil ainli du
mépris
&
des raillcries qu'elle avoÍ! faites des noetS de
] upiler.
Vo)'n l'
article
T
°
R T
U E .
CHE L TO N H AM,
(Glog
)
ville d'Aagleterre
dans la proy inee de Gloceller .
CHE L
V
E T,
f.
m. (
Hifl.
I>/od.
)
e'ell-a-dire
re–
tirez.-votlJ, faitu place;
formule du eri ulilé dan. le
[errail lorfque le grand-feigneur a !émoigné qu'il veut
aller dans le jardin des fultanes.
A
ce eri,
1001
le mon–
de fe retire,
&
les eunuques oeeupen! les avenues .
11
n'y va pas moins que de la yk d' approeher dans ces
momens-la des murailles de ce jardin . R
ic.uI,
de
I'cmp.
Ott.
C HELY-D'APCHER, (SAINT)
Glog.
pe!i–
te
ville de Franee dans le Gévaudan.
• CHE M A, f. m .
mefure aneienne.
Les A thé–
ojens en avoient deux, )'un pefoit trois gros,
}1
autre
deux ; ce dernier équivaloil a la "enrieme parlie d' un
eotyle . Celui des R omaius appellé
eheme,
eODlcnoil u–
ne livre
&
demie: e'ell une mefure de Huides.
V oyez.
L
IV RE,
voyez. atljfi
C
O
T
Y
LE. Mais remarque? qu'
il ell alTe'¿ dlfficile de délerminer la capacité des me–
furcs par le poids des fluides ou liquides, a moins qu'
on lle eonlloilre indiwidu.ellement le fluide meme qu'on
mefuroit ; ear
iI
ell
¡¡
pré(iJmer que ce fluide ne pefe
aujourd'bui ni plus ni moins eo pareil volume qu'il pe–
fuil jadis.
CHE M A G E
ou
C HIN A G E,
r.
m. (
Jurif )
ell un droi! de péage qui fe paye
a
Sens pour les ehar–
relles qui palTenl dalls les bois. Ce droil dpil elre fort
aneien, puifque l'on trouve
d~s
l'an
1 3~7.,
un !ln';l du
18
Avril qui en exempte
l'
abbaye de falOl p,ene de
Sens.
Glo!¡: de
L auriere
art
mOl
chenJage.
11
en en
auifi parlé dans les
loís
d'
A"gleeerre, .hart. de
fo~eft ,
a>1.
9.
H enri
lIJ.
ej¡.
x}".
ou
i1
ell appclté
ehtma-
gittm.
(A)
.
CHEMBA LIS
.r.
m .
( Comm.)
for!e de eUllS
qui vienoent du L'ev¡nl par la vpie de Marfeille.
Vo)'.
les
diél. drt COmlJ' .
&
de
7'rév.
CHE
M
E R
A
G E, f. m.
(JttriJpr,)
efl le droit
qui apparliem
¡¡
l' a,oé dans les
eopt~1J1es
appel.lées
de
paragr
que fes pu'nés lÍenneO! de lui leur porllon des
tiefs e; parage, c'ell-a-dire
~ous
fon hc;>mmag:. Ce ler–
me
chemerage
vieal de eelul de
,hemttr,
qUI dalls ces
eoQlumes fignifie
ai"l ;
le
ehemerage
e~.
un des avaa–
rages du droit d'aioelJ'e. C'e!l une queilIOn fon eoo-
Ff~
Ir~