eRA
lIIent
de ' rotatioo da point
B
autour de
A, Y
le mou–
vement de rotatioo du point
C
dutour de
B:
on aura
pour la force totale ?u
qU~Dtité
de
mouv~mellt
du
eha–
riae B C,
(abaraéboo f3.lte de la
quantl~é.
de mouve–
meot de la roüe, que
DOUS
négligeons
ICI)
C B
X
x
...
C B
X
~
&
cette quantité doit
ew;
=
a
P .
De
plus, la fomme des momens de tous les poiots du
eha–
riae
B
C,
par rapport au poim
A,
doi! étre égale au
momem de la puillance
P,
par rappor! au meme point .
(Vayez.
DVNA MI Q-uE, LEvIER, E'QU ILIBRE,
C E NT RED E
G
R A
V
I T E' .) Or, un point que1cou–
que du
ehariae,
don! la di(lance
au
poiD[
C
feroit
z,
suroit POU! quam¡té de mouvement ( )(
+
z=
)
d
z ;
&
pour moment ( )(
+
7b~ )
d
z
X
("z
+
a),
done
,.
{\ oH
y'¡
7'"
r'r
1
IIltégrale eu ....
+
x
ti
b
+
3
b
+
~
:
,allant
donc ceue 'luantitc égale au momem
P
X (8.
O
+
B .A ),
on aura fes deux équatious:
P=bx+ ~ ,
. .
.
P
,
+
P
a
=
~
+
x a
lf
+
.ti3
+
~
:lo
. 3"
1.'
par le moyen defquelles on trouvera facHement les in–
connues
x.
&
y.
(O)
• C
H A
R
1
o T.
(HijI.
ane.)
Les
,hariaes
foot d'un
lems ton reculé; les hifloires les plus aneiennes fom
mcmioo de
celle
voiture; les
ROlnains
en avoient un
gralld nombre de difieremes fones: le
ebariae
¡,
deux
Ioues, .ppell é
biratum
ou
birota:
ceux fur lefquels on
promenoit les images des dieux ,
ehtnf",:
le
earpentum
a
l'ufagc des matrOlles
&
des impératrices; il étoit
¡\
deux
roucs,
&
étoit tiré
p3C
des mules : la.
carru'Iue,
Le
pi/~lI~lIm,
la
rheáa,
le
clavuJare,
le
f;ov;nllI,
la
benna,
le
p-'ox",,,m, lajirpea flereararia,
l¡,
plauflr,.,1'
,
l'e!fedum.,
&c.
qu' on trouvera
a
leurs anicles, qu. nd on laura
fur ces voitures quelque chofe de plus. que le nom.
La phlpart, telles que les
e!f,d<s
&
les
petorriea ,
étoienr confhuites avee magni6ccllce. Pline, parlam du
poim oü le lu xe avoit été poné de ce coté, die:
On
hlaxehie le m;vre au ftl<, on
le
faie devenir
ji.
bri/–
Jant qlt'on a peine
ti
le diftinguer de
J'argene;
on
f/–
-mai".
&
on
en
orn. les
ekariors.
Voycz
C
H _'\. R.
e
1yA R 1 o T,
en Aftronomie.
L t! graod
c/'ar;ot
efl:
une eon.llellation qu'oll appdle auffi
la grande o"rfe.
V0:t.~
GRANDE OURSE.
(O)
C
H
A R I OT,
(p
ET
I
T )
en Aflronomie.
Ce font
{ept étoiles dans la cOllflellation de la pelito ourfe .
Vo)":
PETITE OURSE .
(O)
.
C
H
A R
I
OT,
en bá&imene,
efl une efpece de perite
eharrette, fans ·arid",les ou élcvations aux cotés, mon–
tée
Cur de tres-petites roues, avee un timon fort long
dans lequel, de dillance en diflanec, font pafTés de pe–
tits bStolls en maniere d' échellons ,. pour
ana~her
des
bretelles,
&
tirer
a
plufieurs hommes les pierees tail–
Ues, pour les tranCponer du chamier au
b~timem .
(P)
C
H
A
R I
OT A'
e
A
N
ON , e' ea un
eharioe
qui fen
·uniquemem
a
poner le corps d'une piece de canon.
II
tonll(le en une fleche, deux braneards, deux e.ffieux,
quatre roues,
&
deux limonnieres.
(Q)
CUARIOT
01<
CARROS SE,
(Cordtrie)
afTem–
~lage
de charpeme qui fen
¡,
fupponer
&
a conduire
le tonpin.
II Y
a des
eharioes
qui ont des roues,
&
d'nutres qui font eo
tralneau~ .
Voy. ¡'areide
C o R
D
E-
A
lE .
•
• C H
A R
[S [
E
S,
f.
f.
pI.
(Myeb%gic)
fetes in–
/limécs en l'honueur des Graces que les Grecs nom–
moient
e
baritu.
U
nc des panicularités de ces fetes ,
c'étoit de danfer pendan\ toute la ouit; celui qui ré–
filloir le plus long-tems
a
ceue fatigue
&
ao. Commeil,
'Iome Ul.
(1) La regle plw
I~r.e
(Uf
«ue matiére a ér¿ donnie
:lOS:
Chréticn.
par
~cs
p;\pc..s Pie V .
&:
.Gregoire XII 1 qni om condamné ceUe! pro.
pofiuon de Balu•.
O""JlI
......
r
crUl"'. '.tiUAIiJ . •
.u
vitis{.
,ji
,.,;~~·I.J
..
'l'-
~fIJIJ..J
,Jili,;,.,.
, ....
1~.:
pnJII'lm. ';
ul
l••.
J.'"''
,11.
eJ..,,,.,
,tu ""
Spir;""". Slut{/""n
;11
n,(¡'
Jjl-f.
D~J
,",Hit·
Alu:andc:.r VIII conJamn3
du
JOémc la prOf'OGooD 3U Romb.
.. 11.
OI'!f~iJ
b ..
u
.Si. d,¡",,..,.
,JI .
D,; Jil,fU,
vd M .1r1i;
Ji
D,¡.
ÚtU;t.J
Jt'¡riJ
tj;
ji
M."Ji
cH'.pi!cn:".
C,IU1JlI .
14:
1ft
.....
,. . rureo[ auffi conJarnnéc:s
1
prop.
xx.' 6::
X't:X,' 11
du mt:rae
RaIuJ;
' laUIi..
'P".<I
l. fid,1i1U»
fu,
,t~Ifl
• •
~
Pbil.[" /ur"..
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viti.
==
Oc.
PtllIli, {OSIi,
,.i
",,,i
.Jh"u'¡
JUt."'¡'-'
,
hec
J
,.,d
IX A4l1l,.
{.'is vi, ifaJ
In...
~it
.
•
Ja.f,;, .
I n~nt
XI
u nl a
Copf\. .
..A4
t''fff"~ corubmn~
u
nomb. vu;
" ·If
4tÑf
ui.
eRA
169
obtenoit pour pri! un
g~teau
de miel
&
d'nuree, frian–
diles que l'on nOIDmoit
eharijia .
• CHAR[STERIES,
r.
m. pI.
(Hift. ane.
&
Myeh% g .
)
c'éto;t des fe tes qui fe célébrnient
a
Athc–
nes le
12
du moi; de Boedromion , eo mémoire de la
}ibéné que Trafibule .
avo.itrendue 3UX Ath¿niens , eo
chaffant les trente tyrans. O" nommoit en Grece ces
fe
res
x.~,~pu
..
i.uu8'r;~("
charifieria libertatis .
• CfI.·A R 1ST l CA [R E,
r.
m.
(Hifl.
wllj. )
commendataires ou donataires ,
a
qui on avoit aceordé
par une formule paniculiere que Jean d' Anüoehe a eon–
fervée la joüi llance des revenus des hOplt.u-x
&
mo–
naflere; tam d'hommes que de femmes. Ces eonceC–
(jons ioluaes. fe fom faites indiainaement
a
des ecclé–
fiafliques. ,
3
des la"lcs,
~
meme a des perConnes ma–
riées: on les a quelquefolS a(J lIrée. fm deux tetes .
00
eu rranfpone l'origine jufqu'au tems de Conl1alllin Co–
pronyme .
11
paroit que les emporeues
&
les. patriarches
de l' ég·liCe grecque, dans l' imentiOlI de réparer
&
de
conferver les monaaetes, continuerem une dignité que
la haine de Copronyme avoit inflituée dans le deHéin,
de les détruire, malS que les fucceffeurs des premiers.
,harijlicaires,
mieux autori[és dans la perceptioll des
revenus monafliques, n'en furent pas toOjours plus équi–
tables dans leur adminiaration.
11
efl fingulier qu'atl ait
cru que le memo moyen pourroit [ervir
a
deux fins
emicremel1t oppofés ,
&
que les revenus des momes
[eroient mieux entre les mains des é trangers qu'entre les
leues.
Voy. Bingh. anei'l.
Hift.
"e/lf. Eed/f. gr,ec.
m fJnllm. C01Jt .
• e
H -\
R 1S T I E
S,
r.
f. pI.
(Myehologie,
)
fete,
que les R 'H1mins célébroient le
19
F évrier en l' hon–
neur de la
déclIe
Cuneorde.
011 fe
vilitoit pendallt ces
ft[es; on fe
dOllnoit
des repas ;
0 0
fe faiCui[ des pré–
feos ; les amis diviCés ft: "reconcilir)iem:
U.1e
particlllari–
té de ces repas,
e'
efl q.u' On
11'
y ad11letloit aueun é–
tranger.
11
[emble qu'il fe Coit confcrvé
qu~i ques
vefl i-.
ges des
,hariflies.
dans
110<
repas
&
feains
de
fa millos ,.
qui ne [ont jamais fi fréquens qu' a-peu-pres dalls le
meme tems ou ces fe tes étoient célébrécs par les Ro–
tnains.
C H A
R
[T A T
[ F ,
adj.
(Jurifprud. )
terme de
droit canonique, ne fe dit poi.llt Ceul, mais en ordinai–
remem Joint a vec
le
terlne de
don
ou
de
fubjide .
11
fi gnifie une
eontribution
11I0d éré" que les canolls per–
menelll
a
l' éveque de lever rur res diocélaills en cas
d'urgente nécemté; par exemple
(j
fes revenus l1e lui
fournifrcnt
pa~
de quoi faire la dépenCe nécefTaire pour
am(ler
:i
UI1 conci le auquel il ea appellé.
(A)
• C
HA
R
[:r
E' ,
r.
f.
(Thlologil»
on la dé6uit
u–
ne
verere ehéologale
,
par laquelle nous aimons D ieu de.
tout notre creur,
&
notre prochain comme nous-m"·.
mes. Ainfi la
,harid
a
deux objots materiels,
D ieu
&
le
proehain. Voyez
O
B
JET
&
M
ATER I EL.
( 1)
La quellion · de la
,háriel
ou de
I'amaur de
Die"
a excité bien des diCputes dans les éeoles. Les uns
on~
prétendu
qu~il
n'y avoit de véritable. amOur de Dieu que
la
,baneé;
&
que toute aalon q.lll n' ea pas faite par
ce motif , efl nn péché.
D'autres plus catholiques , qui
n'
admettent pareille–
ment l'amour de D ieu que celui de
ehariel,
mais. qui
ne taxem point de péchés les aaions faites par d' au–
tres morifs
~
demandent
fi
cette
,harieé
Cuppofe, ou ne
fuppofe point de retour vers foi. A la rs ils Ce partagent,
les uns admettent ce
re
tour , les autres le reJenem.
Ceux qui \'admettem diainguenr
la
,harité
en parfai–
te
&
imparfaite. La parfaite , fdon eux, ne difiere de
l'imparfaite que par I'imenlité des degrés ,
&
non par
la diverfité des morifs, comme le penCent lenes adver–
faires . l is citent en faveur de leurs femi mens ce paf–
fa!le de faint Paul,
<upio di!folv i
&
e!fe <um Chrifta,
ou le cefir de la pofre(fion
~a
joiot
a
la
charitlla
plae
vive .
y
Les
U~it."
1fte
d.
prltm;, .
~c tilltUSJ·';'1f~.
tUe
dc
I'.r.t/.;{•. II,e
tic
¡,.f,,.,,• .
tUC
ti, m.,u.
lite
tic
If",,;t,ul.
lnDocem 1 ll condamna
leJ
propoGuons
(a¡unte, extrait!!..
du
"vre de M de
Fenelon
¡ntiro.
lé
E:cp/
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do mtu,;mo Jo
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p.'"
fi.11t
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