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Extrait mou • • • • • .
,ibre¡ fé.hées avec les os
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Jimpl, .haiy
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faiJall.
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on<eS.
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Efprit
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huile . . . . . . . . . .
Sel volatil . .••. .... .
T~re-morte
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IInllfyfo ,It /",IIly"il d, faifan
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s6lyains ,
Efprit
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huile • •
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volatil . . . .
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Tete-morte .
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~te-morte
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10
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I'trdrirr: dtux "itil/tI ?trdYilf, fefanl
J
livr,
~
on<tI
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gros.
EItrait huileux Oll gras
&
humide , , .
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1'0NI(1
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po"lel J'[n4t.
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¡''!IreE
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~xtrait
gras
&
huil~UI,
guoiqu'Cp tablet-
res . . . .. .• . ... , •.. . ·...
I2.
--.------~~~-------~~
CrrNYS d, ",au ,
Deux creurs de veau, pefant onu onces
quatre gros , ont rendu d'extrait qui
n'a pú fe mettre en gelée, ni fe f¿-
c:ller . , ..•• . , .. • . •• .. . • •
3
60
-----~-~--.--!"!I!"-_~----
Foie Je 'l/eau: Nn ¡oi, p.fant
d.uxlivr(s
7
gros.
Extrait
q~i
s'humeétoit . ... . . . .. .
2.
t
60
--~------~~---~'------. ---
I'il d.
V'"U:
huit pils
p.fa", Ji"j livrts
~
on<ts .
Eau . • • . . . . . . • •. .. 3 Jiv.
f
4
4f
Extrait ll'0mmeux
&
fec . . . .
8
Os humldes au forrir du pouil-
3
2
7
¡oo, avec
carlill~ges
• .•• ,
2
10
Total , , •
T--8--
.tflla!Yfe á'une onte á'exlrail
gomm.ux&
fef de pils
¡l.
veal' .
~fprit
&
huile . . • , . . . . • •
~
ALI
~el
volatil . . . .
Olle" . Gfll .
Grlon'ÍJ .
lo
, 8
Téte·morte
,Perte
2
2)
29
-------
Total .... ,
.1
-.-------------------------.------
MacrmftI: dmx ma<rtNfes d,. foids de
.
~
livres
7
optes.
Extrait folide qui s'humeéte au
ehangemeot des
t~JllS
. . . . .
l.
li
v.
fO
~------~~~--------------------
Les dofes d'extraits marquc;es dans ces tables mettent
en érar de ne plus
fair~
au
~afard d~s
melat1ges
d~
différentes viandes fans favoir précif¿ment ce qu'on
'1
donne ou ce qu'on y prend de nourriture .
Ces
dof~s
fun¡ les dofes
~xtrelJles,
c'ell-a-dire qu'
elles fuppofent qu'on a tiré de la viande tout
c~
q\li
pouvoit s'en tirer par I'élmllition . lVlais les bouillons
ordinair~s
De VOn! pas jufque·la,
&
les eXlmils qui en
viendroient
feroien~
lJloins fons. M . Gcoltroy en
I~s
réduifant
a
ce pié ordinaire,
trouv~
qu'on a encore
bc~u'
coup de tort de crainQre, coml1le on fait cOl1lmunó–
ment, gue les bouillons ne nourilfenl pas
alfe~
les
m~lades . La Medecinc ,!'anjourd'hui lend alfc1.
:l
rélatllir
la diete auflere Qes anciens, I)lais elle a bien de
la
pei–
ne 11 obtenir fur ce point une g,ran<k foúmiffiull .
.
AL
I M E
N
T
.' f.
m.
(Phyfz% gte . )
~It
10Ul
e~
'lUI
peut fe dilfoudre
\!t
fe changer en
e~yle
par le moyen
de la liqueur llomacale
6¡
dI! la
ch~leur
nalUrelle, pour
~tre
eofuite converti ea fang,
&
ferv ir 11
I'augmcnra–
rion du corps ou a en réparer les perteS eontinuelles .
f7oy,z.
N o
U
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1
T
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RE, C
H y
LE, S
A N G,
N u–
TRI T
J
o
N,
&<.
Cc mOl ell
I~lin,
&
viCllt cju veroe
alert,
nourrir.
Les premiers hommes ignor<?ient les verlUS des vian–
des, des fruits, des plantes, des beleS lauvages, de I'oau
froide,
&<.
ils ont par conféquent dú faire bien dcs
tentativ~s
a
leurs p¿pens.
T~I
alim"'t
qui convieot ..
un corps robulte, dérange, délruil un fujel foible
&
délieat: ce qui ell faio 4,ans un c;li¡nal froid, ne I'ell
pas daos un pays
~l¡ª"d.
SaVOil-on tom cda aurrefoi.?
~o
ufoit de chofes da!lgereufes, paree qu'elles étoient
mconnues ' .
&.
cel~
arnY$!
en<;or~
a\lX oaviguteur. gaos
les pays 101OtJ¡IllS. On fait que les Soldars d' Amoine
furent ob!igc's
~n
Alfyrie de manger les racines qui fe
rencontrOJent; 1I s'eo rrouva de \'cnimeufes qui
k~
IirC:llt
ro~ber
dans .Ie. Mlire,
BU
rapporl de Plularque ;
c5r:
DlOdore
d~
Slclle racome que leS Grees
a
leur rClour
de l'eIpédition de Cyrus, fe Jlourrirem pél1dalll
H
l¡cll–
re~
dlj ¡piel qe la Colcpiqe. aoerh.
com>1jent. (L)
1\
L.I
M
E
~
T D
U .
FE
U ,
P4b"I¡,m ignis,
I!gnifie tout
ce
qUl
fert a nournr le feu, comme le bOls <es hui–
les,
&
en géné:al toutes ,les malieres gralfes
&
fulphu–
rcufes .
f70yn
¡.
EU
&
e
H A L
E U R ..
(e))
ALIMENTAIRE, adj .
(l'h)'fi.1ogie.)
ce qui
11
r~pport
aux alimens ou
a
la
nourmure.
f7.
~
o
V
¡¡,-
¡qTU¡q:,
&<.
.
~es
anciens medJ!c;ins tenoient que chaque humeur
étolt
¡:Dmpofé~
de deux parties; une
alimentaire,
&
une
excrl¡ne1ltttllc .
f7oyq,
H
u M
~
UR
&
E x e
R
E'-
M ~ NT.
..
Cotld"it
ALIMENTAl RE, ell UD nomque Tyfoo
&,
quelques
~ureurs
donnent
a
celle panie dll corps, par
ou la no.urnture palfe depuis qu'elle ell el1trée dans la
bouche, jufqu'a la fortie par
I'anu~,
&
¡¡ul compre nd
~:,
goner, l'ellomac, les
in~eflios .
f/O)'e..
E s T o
~I
A
<; ,
.,., <.
Morgagni regardc tout
I~
conduit
4/immtai"
(qui
comprend l'ellolT!ac, les intellins,
&
les veiues laét¿es )
comme formanr ljne feule glande, qui ell de la meme
nature, qui
a
la !T¡éme Ilrué1ure
&
les
m~mes
ulages
Ijue les aurres
gj~n<te~
du corps.
f7oycz.
G
LA N
DE.
Chaq.uegl~ncjl' ~
Ces
vªilreau~
diflercns , feerétoir<s
&
exerétOlr~s,
&
~u1li
fon réfevolf commun 011 la ma–
ticre qui y ell apportéc
re~oit
fa premiere' préparalion
par voie de digellioo,
& f,
Pa~s
cene valle
&
Í111portante glande que forme le
Fondu,t "/,mtntazr.
, ·le gofier
&
I'<l!fophage font le vaif–
fe~u
déférent ; l'cllolTlac ell le réfervoir commun' les
vemes
la~l:ées
fonl les. vai!feaux fecréloires ,
autre~ent
I;s coulOJrs ;
4
les
mteího~
depu!s le pylore jufqu':l
I anus, fOD! le canal exerétOJre . Amli les fonéHons de
celte glande, comme de toutes les autres-
l
fOllt princi-
palc-