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ALB

tnt!me

"Qm, dans la

Campagnde

Rome.

LDHg.

30' Tf.

I"t.

4 ' . 43·

• r\

r..B

A N

O,

(Géog.)

ville dal\s la Balilicate au Ro"

yaume de Napks.

ALBANOIS, adj. pris [ubfl.

('['bé%g.

)

héré.

tiques qui troublerent dan' le viJ . tieele la paix de I'E–

glil;:. lis renouvellerem la plpparr des erreurs des Ma–

n ichéens

&

des anues héréciques qui 3\'oiem vécu de–

pui; plus de trois cens ans.

L~ur

premiere

I

éveric Gon·

linoir

ii

é<ablir deux principes, I'un bon, pere de jerus–

Chrill, auteur du bien

&

du nouveau Tullamcllt;

&.

I'autre mauvals , auteur de I'aneien

1

ellament, qu'ils re–

jcnoiem e'1 s'inrc"¡vam en f.'\ux , ontre tout ce qu'A–

brahnm

&

Moyl\: ollr pu dire. lis ajoutOiem

qu~

le mon–

de

eH

de toute é¡ernité; que le Fili de Oku avoir ap–

porté un eorps 4u ciel; ql\e les Sacromens,

a

la re–

ferve du Baprtme, (Ouf des Cuperlli¡ions inntiles; que

J'homme a la pnilfance de donner le Saint ECprit; qUe

l'Eglile n'a poin¡ le pouvoir d'excommunier,

&

que I'en–

fer ell un conte fait

ii

plaifir. Prateole Gllutier,

dan¡

fll ehro1/. (G'

.

• ALBANOISE, adj , f. e'efl,

pllrmi les Fler¡–

rifles,

une anemone qui (eroir {¡oute blanche, Cans un

peu d'incarnat qu'elle a

au

fond de Ces grandes fcuilles

&.

de

r.'\

pinche.

• AL

t3

A

N

O

P

O L

1, (

G/ag.

)

ville de la Tur–

quie Européenne da)1s l'Albanie.

Longie.

38. 4.

/atit.

fl.

48.

• ALBANS,

(Géog.)

ville d'Angleterre.

L ong.

n.

) 0.

141 .

p.

40.

• AL13

A R

A

Z

IN,

(Glog.

)

ville d'Efpagnc au

Roynume d'Arragon, Júr le Guadalabiar.

Long.

r6. r2..

lato

40. 32.

.

/1

[.

BAR 1U.M OP

l!

$,

terme d'Architeélure.

V.

ST U¡:.

• A

LB

A ST R E

(on prQnQn"

l'S)

0\1

A L A B A–

S T

R

A,

r.

F.

ancienne ville d'Egypte du c6té de l'

A–

rabie

&-

c;jpns la parrie orientale de ce royaume. Les

habitans [Oll! alPellés dans S. Epiphane ,

Ala/¡,,(1rides.

A

LB

A

S T

RE,

C

m

Alab,,[frtlm (Hi(1. nato

)

matiere calcinable moins dure que le marbre Elle a

différentes cou leurs: on en voit de blanche ou blancha–

tre; elle

eH

le plus [ouvem d'un blanc Cale iaunhre,

ou jnune routTlltre, ou roux; il

Y

en a de rougea tre ;

on en trouve qlli efl variée de ce differenttl! cou leurs

avec du brun, du

gri~,

&c.

On y voi¡ des veines ou

. bandes

qu~

I'on pourroit cOlllparer

a

celles des p;errcs

fines que I'on appelle

oniael

.

Voya.

O N

Y

X •

C'ell dans

ce fens que I'on pourroit dire qu'il y a de

I'a/bótre

0 -

nyce,

&

il s'en rrouve avec des .taches noires qui Cont

diCpor.;es de fa90n qu'elles reffembrent a de peti¡es mouC–

fes,

Ilr

qu'clles reprércntem des banáes de galon; o'ell

pourquoi ou pomroir I'appeller

a¡bitre

Itedíorir¿

a

I'i–

mitarion des pierres fines

~nxquel1es

on a dOl\né cet–

te dénominªtior¡.

Voye>:.

O

E N D R I T

E

S.

V albóere

¡:ll un pcu tran[parent,

&

Ca tran[p.arence elt d' au–

tant

plus

fenlipl~

que Ca eouleur

appro~he

le plus du

~Ianc.

On le polit, mais OL! ne peut pas lui douner un

poliment aum bc;au'

&

au!fi vif que cdui dollt le mar–

bre

di

Cu lceptible, parce qu'¡¡ .ell plus

t~ndre

')ue le

marbre. D'allleurs

10~Cqu<!

r.'\

(urface a elé

poli~.

00

croiroit qu'elle auroit ét'é frotée

av~c

de la graiffe. Certe

apparence oCcureit COn poliment;

&

comme cene ma–

tiere ell

Ull

peu tranCpareme, elle reffemble

en

quelque

fayon a de la cire. Sa co\11

~ur

comribue

a

le rendre

fel; car on ne voit pas la

m~me

chQCe

dal~s

le iade ,

q ui malgré ra durelé, a aulh un poltment

matt~

&.

gra;. Quoique

1'"lbitre

n'alt pas un beau poli

~

qu'il

foir tendre, on I'a to{\JQurs recherehé pour l'eP1ployer

a

diflerens uCages

i

011 en fait des tabks, des chemi–

nées, de perites

colonn~s,

des, va[es,'

~es

llames,

&

~,

On

dillingue deux rortes

d'a/b at",

I onental

&

le coll1'

,"un .

L'"lbit" orimMI

en celui dont la mariere ellla

plus fine, la plus

nene,

&

pOUt ain(i .dire. la plus pure;

elle ell plus dure,

Ces

couleurs Cont plus vives; aum cet

albie"

en-il beaucoup plus reeherché

&

d'un plus grand

prix que

I'a/bitre

ordillaire . Ccllji-ci n'ell pas rare: on

en trou've el1 Franee : on conooir celui des enviroll.s de

Cluny dans le IVHconnois ,

n

y en a en -4orrainl¡, en

Allemagne ,

&

[unout en Itali

y

aux en virons de Rome,

&.

il eff encore p.lus comwun qu'on oc le croit.

f/oy'>:,

STALACTITE . (l)

.

A LB

A S T RE. '

(Méderine.)

~'a/bótr.

étaar calci–

&

appliqué avec de la poix (¡U de la réline, 3JIl01-

lit

&

réCout his rumeurs skirrheu:es , appaife les douleurs

de I'cllomac ,

&

raffermit les dems

~

les gel:\cives, ft;-

Ion pio[coFide .

~

N

~

... .

~

ALE

~os

!t

LB A T R O S S,

albatrofa mllxima,

olieau aqna–

tique du . cap de Bonnc-Erp';rance ; e'dl un des plUi

grands OICcaux de ce genre. il a le corps 10r! gros

&

ks••'Ies

t:cs- I.~ngues ~orCqu'elles

f(¡nt éter,dues; il

Y

Jl

pres

~~

d,x

pl~S

de

dln~nce

entre I'extrélnité de I une

des a! ks

&

celle de I'autre . .l..;e premie\" os de I'alle

ell aulji long que le corps de I'oifeau. Le bec ell d'u–

De couleuf

jaun~tre t~rlle;

iI

Y

a

el1viron li x pouces de

longueur

d~ns

l'OlCeau rur lequel cene dereripdon

!l

é¡é

faite; car Jes oifeaux de cette eCpece ne Com p.; tous

de la meme grandem:

iI y

en a de bea\lCOUp plus pe–

titS que celui dom il s'agit. 1;es narines COIlt fort ap–

paremes; le bec en un peu rellerré par les C6lé, :\ I'ex–

trémit<l" qui rien!

3

Iª tete ,

&

il elt encore plus étroit

:\

I'~utre extrQmit~

qui ell terminée

p~r

une poinre cro–

chue. L e Coml]1er de la tele ell d' un brun elair

&

ce

n–

,:lré; le relle de la téte. le cou, la po itrine, -le ventre,

les cuilfes, le deJfous de la \llleue,

&

III

fa

ce interne

des a'les, [on¡ de couleur

bl~nehe.

Le deniere du cou,

les

c{\t~S

du eorps CQnr traver[és par

des

lignes de cou–

leur obCeure Cur un fond blnoc. Le dos ell 9'un brun

f~le Plltrcm~

de pelites li!\"lH;s

&

de quclques taches noi–

res ou de couleur plol11pée, Le croupiol1 ell d'un brua

e1alr; la queue d'une couleur pleuarre tiram fur

1<;

noir .

Les a11es rOn!

eje

la meme couleur que

1;\

queue,

a

I'ex–

ceprioll des grandes plumes <jui ront

pr~[qu~

tout'-a-fait

noires. L es bords Cupérieurs des a1!cs [on¡ blancs; les

jambes

&

les piés [om de coulem de chair.

~I

n'a que

trois doigts qui rom tous

diri~és

en avant

&.

joints en·

fembl e par une membrane: il y a aum nne portion de

membrane C\lr les cOtés .;xtérlcurs du doigt imetlle

&

de I'ex¡crne

Les

alblliroji

«'nt en grand nombre au cap de Bon–

ne,Erp~rance.

Albin les confond avec d'autres

oil~aux

que 1'00 appclle dnns les Indes Qrientales

'lJlliffta1lx d,

g"erre,

Edwards

prét~l)d

qu

1

11

(e

trompe, parce ,qu'au

rapport des I'oy:¡geurs les yaiffeaux de guerre

[on~

des

oileaux beaucoup plus petits que les

albaeroji . i:iifl. na–

turel/e del oifca1lx p'ir-

Georges E,dwards.

Voye>:.

01-

SEAU ,

(1)

-

.

• A

L

B A

~

!\

R

I

N

0[<

1\

L

BAR

1\

Z 1

N,

f.

m.

Corte de lain\, d'ECpagne.

Voye>:.

LAINE.

• AL

B A '41 N,

(Géog.)

ville de la grande Tar-.

tarie ,

L o>:g.

H~.

IIIt.

H . .

A L

J:l

E

ou

.A

LB E

T TE, petit polffon de riviere,

mi~ux

COl1nu fous le !19m

d'"b/,tte , Voye>:.

ABLET–

TE.(/)

• AL

8

t::,

(Géog,l

ville d'ltalie dans le !\I1oorferrat.

fur la rive droitc du

1

anaro.

L ong.

1.5". 40.

lat.

44· 36.

*

A

LB

E -

J

U

1;

I E

01/

W E I S

~

E

M

B O U K G.

(Gé"g . )

ville d.; TmnCylvani«, pres

de~

rivieres d'Qm–

pay

&.

de M6rish .

L.O>1g_.

4~·

lat.

46. 30.

. • ALBE·I.,QN:GUE,

(G lolf. )

ancienne ville

d'L!a!ie : on c;n attnb,ue la f0f1dati.H1 a l\[cagne fils d'E–

né" ,nviron

1! O::>

~ni

avant ]e[us-Cltrilt .

• A

L

B E - R O Y A

~

E

01/

S

TUL -

W E

r

S–

S E

M 13 O

Q.

R G,

(G¡{og.)

viII, de

I~

balfe H ongrie

[ur le RauliLa.

L qng.

36.

lat. 47.

• i\J,...:eENGUE

ou

ALBENGUA,

( GéQg.)

v!lIe q'ltalie dans

I'~\~t

de Ge[les .

L On$'t.

25". 45".

la–

tIt.

44. '\.:

.A

i,,!3

E R G

A

I M

E,

>:.oophyt,.

aum appellé

a/ber-

game,

V.ye>

:.

A

LB

E R G

11,

M E "

..

AL

B E

R,

G AM E

de mor,

[,

m,

malum infanta,..

zoophyle que; R ondelet a ainl!' nommé

~

cauCe de fa,

reJle{T1QI~nce

avec I'erp.ece de pOm{T1eS d'amour lungues,

auxquelles on

a

don

lié

le nomo

d'IIlb

"ga.me

¡¡

Mompel–

,tier, On voit

CU!;

I'a!bcrga~e

eles

app~rences d~

feuil–

I~s

oq de plumes ..

C'~lt ~11

quoi ce '

~09phyre

difft:re

de la grappe d<; mc;r.

11 Y

a 'aufli quelque différence

dans leur

p~dicqlc:

..

Voy,>:.

Ci

R

11,

P P

¡;;

de mer,

Z

O0-

P H

Y

TE . (/)

.

AL!l~RG~_ ,

AL.BE

;R,GIER,

r.

m.

('Ja,.d. )

erpece de pe"her dom

I~

fruit [Of1t des p';ch.·s préeoces

qui otlJ

Ul1~

chair jaune,. ferme,

&

fe; nomment

alb,,–

gu .

C«}

A

Lj3'E

R

Ci

~

M E N T, C_

m ..

OrtriJpr. )

en O au–

phiné, ell I.a

m~me

choCe que ce que nou; app'cllons

emphJtlof'

ou

bll'¡ emphytéoti'f[<e , Voye>:.

E

M

f

H Y-

TE'QSE.

EH,)

...

~

A

J"

B E

R

N

1;.7

s.,

eCpece; de. eamelot

,?q

bouracan '

qUi vien\ du L evan¡ par la voie de

Mª~Ce~\Ie .

1

~

LB E R TU .'>,

C:

m

(C;:omm)

aOGlenoe mon–

nOle d'or qu'Albert, archiduc d'

Aumc~c, ~~

frapper ea

flandre.

¡¡

laquelle il donna. ron

n.Oq

!,.

.

Certc; mon¡lOie ell au

~itr"

de; vjogt-ul\.

carrat~ ~

. On

3'

la