Table of Contents Table of Contents
Previous Page  282 / 864 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 282 / 864 Next Page
Page Background

~9t

ALA

!lutre vaíffeau

appel)~ r~eipitnf·

!7oy!!:.

R

E'q Pa 'N

1 .

Le chapíreau de )'

alail'lbif

dI

Auelquefoi~

envir.ooné

p'un yaíffea!l pleill d'eau froide,

&

<¡u'on nomme un

,-éfrigérmt,

quoique dalls cene YUe on

f~

ferve aujourd'–

llUí

plu~ cOIP,~unément <!'u~ Cerp'en~in ,

Va)'.

Jl

E'F

R

!–

!?!"j{!'NT,

SERPpnll',

&f r

l

11

y

..a

ditférentes (ortes

d',,la"1bip;

¡l

Y

en a un on

}e cháplteau

&

le matras en cucurbite fon!

d~ux

pieccs fé–

paré~s

i

&

un .amre 011 le chapíteau el! joint herméti–

.quement

3.

la cucurbite.

&e. Vo)'e>;

e

u

c

U

R

B IT

E,

M

A 'T

R

A S;

R

ú

!

PIE

N T • (

M)

"

,

~

Voye>; Planche

IlI.

.de

e

himie, fig,

J, un

alambi,

d~ verr~,

compofé d'un malras

,1

~

d'ul) cjJapiJeau

~ .

flg,

L

un

ola"1b;c

de v.erre, compofé d'un!! cucurbl–

~e

1,

d'un chapíteau

lubul~

B,

e

tube du chapiteau ,

p

bquehc:m

9l!

.tu~e.

Fig.

3,

un

alombic

de

m~ta¡;

d

1

a

cucurbl~e;

.e

le chapiteall avee foo réfrigérem;

f

le

récipient ,

Fig"r:

4.

alambiCJ

au bail)-marie, on fe font

!!n meme tet]1S plurteurs dil!illations;

i

petit fourneau de

fer;

!

pain-¡:parie;

m

puverture

p~.r

laquelle on me! de

l'eau dans l!!

b~in=rnarie

¡¡ mefure qn'elle

~'}'

confume ;

mm

ehapiteaux des

alempip,

Q

oo

réeipiens .

Fit.

5'

alam–

bie

au bain

d~ fabl~

on

d~

cend're ;

a

por~e

du cendríer;

b

porte du foyer

i

e

capCnle de la eueurbite;

fI

le fa-

ble;

e

chapítean de

l'alcmbíe .

' ,

· A!--

f\

¡Yl

O

~

1' ,

~

H

¡

'E N S,

(,ri de ehaffe . )

on

parle am{j a un chien lor[que le cerf cfl pris

1

· A L A

N" .,

f. m.

en

V~ncrie

1 e'efl un gros chien de

l'efpece

d~s

dogues .

-.

· ,. A

L

A

N,

(G /Pg . )

ville de Perfe daDs

l~

provinee

d' Alan dans le Turquel!an.

" ,. 'ff

L A

N

D,

(Glog :)

'¡le de la mer Baltique, en–

tre

la

Suede

&

la Finlande ,

" ,. ff

~

A

l'f G U E R, (

G/ag.)

ville de Portugal dans

l'Eflrernadoure .

.

AL .-\

N

1

E R,

r.

m.

(Jllri{prttdence

. )

élan~

quel–

"lues aociennes couturncs, e[l le nom qu'on donnoit ii

~es

gens qui formoienr

&

élevoienr pour la chaffe

des

~ogues

venus d'ECpagne, qu'on nommoit

" Ians.

( H )

,. A LAQU E, f. f.

po)'e>;

PLINTH~

011

OR-

LJ;T ,

-

.

, tA L A Q U E CA, pierrc qui fe trouve

a

Balaga–

te aux

lqde~,

en petits fragmens polis, au xquels on at–

tríbue la vertu d'arreter le [ang, quand ils font appli–

gués ¡!xtérieurerncnt.

~

fe

L 'A

R

BE

S,

c'el! [elon Marmol, )e nom qu'

pn

dó~ñe

llUX

p.r~bes

voleurs établis en Barbarie .

,1

L

/1

R E S,

f,

m,

(Hift.

ane.)

felon quelques an–

cieos .Amellrs,

~wient

!lne cCpece de milice che? les

R ornains; aín{j appellée du f110t latin

ala,

a caufe de

leur agilité

&

de leur légercté dans les combats.

· - Qudqucs-uns yeulent que y'ait éré un peuple de Pan–

poni!:': '

ln~is d'~utres,

avec plus d'apparence de rai(on,

ne prennellt

piares

que

pqur

nD

adJe~if

ou une épi–

fhete qu'ou' donnoit ¡¡ la

C~va lerie,

paree qu'elle éroir

~ollJours 'plac~e ~ux d~u?l ~tles d~ l'arm~e;

'rai/a n pour

J~quepe

On appellQit un cnfps de

c~va,ene

ala.

V,

A

¡–

LE, CAVALER I E,

&, ." (G)

· 'M';¡dr/

1\

i.

A

t

R E S,-

mufr"l! AL.A1\..ES ,

en Anato:

mie.

{/oyn

P

TER Y

GOl

DE.

" · AL fl. RGUER, v. n,

terme de Marine,

qui {j–

gnifie

s'éloigner

d'flne

cate

Ol}

1'on

craint

d'/,hofffr

Ol/.

de

demeurer

alra¡";

In.ti!

)

il

ne lígni6e pas

avancer

en

YIltr

&

prendr. le large en fortant d'"n pore . L a ehalo,,–

pe s'efo alargué. du navire.

(Z)

•. AL

i)'

WM

E,

r.

f. ce mot vient de l'Italien

al/'ar-

YI.Je

,

aux :lrrpes

.

.

.

...

P ojie d'dlarme

el! un efpace de terrein qne le Quar–

tier-M,E'tlre Mn.éral ou Mqréchal gélléral

d~s

Logis af–

figne a un régllnCnt, pour

y

marcher en cas

d'

alarme.

, .

P ofo. "J'alarm.

dans une garnifon, el! le lieu on cha–

gue

r~gírn~.ut .

a ordre de

v~nir

fe

~endre

dans des oe–

calions ord1l1alres .

_.

f'iece~

d'

q!lrr¡ne

~

e'el! ordiqairement 8uelques pieees

de canon plaeécs a la t¿te du champ,

&

qui Com toll–

jours

pr~tc~

a

etre, tirécs au premier <;oqunande¡:pem,

foit pour qonncr 1alarme

~ux

troupes on les rappeller

dn fourrage

¡

en

cas

que l'ennemi fe tnette en <.Ievoir

d'avancer poui attnquer l'année .

(Q)

, !

A L

A

S TP

R,

c'cl!, felon Claudien

1

nn

tre chevaljx cjui tiroient le char de Pl¡non lor

leva Proferpíne. Le

!n~m~

Po;!te nous apprend que

trois autres s'appelloient

Orphn/us, JEthon,

IX

Nyélhltu,

oorns quí marouelH tOUS quclque crofe de Combre

&

de

funefle. On dónne

~ncor\!

le nom d'

olajior

:\

certains

eCprits qui ne cherchent qu'a nuire.

, !'

L A

T

Ji:

R N E, f. m. en Latin

"Iaterntu

"

arbrif-

>

ALlf.

reaQ. .dont ¡es

~eurs

font .d'une feule feuille en forme

,d'entonnqir,

&

découpées en étoile

a

cillq pointes.

l1e

pillil qui fort du fond de ces fleurs devient dans la fui–

te un fruit QU une paie ' molle, remplie ordinairement

de

~rois

femences , qui Ont d'ur¡ c6té une boffé,

&

de

l:gutre des 'l-ngles. Tourl)efor¡ 1

!n/l.

rei herb. Voyez:.

.PLANTE.

(l)

. ,. 01)

en fait des

~aies

i

on le met en buiffon dans

Jes plates-bandes des parterres.

on le veut encailfer,

on ¡ui dOll'ler'l- un tiers de terre

a

potager

&

un tiers

de terreau de couche. On employe fes feuilles en gar–

garíline

~~lIS

les inflan¡matioos de la

boueh~

IX

de la

gorge.

~

1\

L

ff

T

E.

1,

(G /og. )

ancienn¡: vil'e d'ltalie, dans

la Campagne de Rome,

L ong.

39, f8.

11ft.

41. 44.

,. AI.¡AVA

ou

A,I.¡ABA,

( Géog,)

peúteprovin–

ce d'Efpagne; Viétoria en el! la ¡:apitale.

,. ALAULT

ou

AI.¡T,

(fIéog.)

riviere de

l~

Turquie en Europe; elle fort des momagnes qui fépa–

ren t la

Mold~vie

de la

Tqnfy lv~ni!!1 ~

fe jette dans

le D anube.

A· I.¡

A

U T

~

E,

terme de M arine;

ce mot efl pro–

noneé a haute voix

p~r

l'équipage qui el! de quart ,

lorfqu'on COllne

l~

clQcne! pour marquer le nombre des

horl q¡¡e~

du

qu~rt;

&

ce la fait connottre qu'ils veillent

&

qu ils entendent !?ien les coups de la cloehe .

Vo)'e>;

QUART.(Z)

A

I.¡ B

A-,

r.

f.

( e ommace )

petite monnoie d' Alle–

magne, en

fran~ois

d,mi-piece;

¡:lle vaut huit fenins du

pays ,

&

le fenin vaut deux denlers; ain/i

l'fllba

vaut

fci7.e denícrs· de France ,

Voye>;

D

E N I E R •

• A LB A DAR A, e'efl le nom que les

Arab~s

don–

nent

i

l'os féfamoide de la premiere phalange du gros

ortei l,

11

ell

environ de la grefreur d'un pois . L es

,Ma~

gícicns lui amibuent des propriétés furprenantes, com–

me d'¿tre índeflruétible, foit par J'eau, foit par le feu,

C'cl!

lii qu'en le gerrne de l'homme que Dieu doit taire

.éclorre un jour, quand

il

lui plaira de le reffuCcicer .

M~íS

laiffons ces contes ¡¡ ceux qui les aifIJent,

<\

ve–

nons ¡¡

p~u~

faits qU'pn peut ¡¡re p¡us CérieuCement .

u–

re

)eune (emme étoit Cujette

a

de fréquens acds d'n.;

ne maladie conVlillive contre laquelle IOUS les remedes

avoicnt éehoüé. Elle s'adreffa

a

un ¡nedeein d'O xfort

qui avoit de la répotation,

&

qui lui ayant annoneé

que le petit os dont il s'agit ici étoit 1 par fa disloca–

tioo, la

vérit~ble

caufe de fa maladie, oe balan"a pas

a

lui propofer l'amputatíon du gros 0rteil. La malade

y

¡:onfentit

&

rccouvra

la

fanté, Ce fait, dit M . Ja–

mes, a été éor¡ffimé par des

t~mo¡gnages,

&

n'a jamais

été

r~voqué

en doute.

M~is

i1

y a plus:

il

dit !lue lui–

m~me

fut appel¡é en

1737

che? un fermier de Hen–

wood-Hall pres de Solíhull dªns le Warw iekshire,

&

qu'il le trolJva affis fur le bord de fon lit, on

il

di–

foit avoir paffé le jour

&

la nuit qui avoit précédé- ,

Cans ofer remuer, parce que le

moilldr~

mouvement du

pié lui donnoit des eonvulfiQns, I.¡e fermier ajol\ta qu'il

y

avoi~

qljclques jours .qu'ils s'étoit

bleff~

an gros orteil de

ce pié,

qp~

cene b)effure lui avoit donné des convullions,

&

qu'elles avoient

con~inué

depuis

I

Comme

~es

fl'mpto–

mes .avoiem

qu~lque'

rap¡>ort ayec ceux de l'épileptie,

M. James l'interroge¡l,

&

n'en apprit autre chofe lioon

qu'il ' s'étoít t011Jours ' bien porfcí

1

S ur cene r¿ponfe il

lui

apport~

des rerl}edes qui furen t tOIjS ¡nutiles ,

&

cet

hOl1}rne nlourut au bou¡ d'une

feflJaln~.

L B A N 1

( S.)

Géog.

petite ville de France daDs

le bas Languedoe, diodfe de M ende.

,. A L B A N

1E,

( Glog. )

province de la Turquie

Européenne fur le golphe de Veni[e.

Long.

36. ] 8.

39.

too

lat.

39-43· 30.

.

,. AL

n

A N 1

E, (

Géog, (I"c.

)

c'étoit une province

d'Arte

{jcu~e

(ur la mer Cafpicnne

1

Elle avoír cene mer

a

rorient, l'lbérie ii l'occícjenr,

Ot

l'4tropatie au n:idi.

On prétend que la Géorgie orienrale ou

l~

Gurglltall

e[l

1 '~ncienl]e

Albanie

artatíque.

.

La partie

d~

la Grece quj portoít au¡refois le

110m

d'Epire ,

ou la

parti~

occidentale de la

M.ac

~doine,

s'ap–

pelle

A/banif .

. 11 Y

a une provinee de l'Ecoffe feptentrionale qui por–

te éncore aUJourd'hui le n9rn

d'Albanie,

qu'on a quel-

quefois donné

a

l'EeolTe entiere. .

.

• I\LBAN

I

N

ou ' BA~BANUf,

f. m. peuple

qui, [elon M . d'Herbelot

1

n'a aueune demeure tixe,

f\lblil!e de fes cour[es fur la l'fubie

&

l' AbylIinie,

a

lme

lan~ue

qui n'el! ,!i l'lI,rabe, ni le Cophte, ni l'A–

pylIin,

&

fe prétend defceqdl! des anciens Grees qui

Ont poJléd¿ l'Egypte depuis A lexanare. '

. '!'

ALBANO,(G/og.) villed'ltalie Curun lac de

rnemc