~9t
ALA
!lutre vaíffeau
appel)~ r~eipitnf·
!7oy!!:.
R
E'q Pa 'N
1 .
Le chapíreau de )'
alail'lbif
dI
Auelquefoi~
envir.ooné
p'un yaíffea!l pleill d'eau froide,
&
<¡u'on nomme un
,-éfrigérmt,
quoique dalls cene YUe on
f~
ferve aujourd'–
llUí
plu~ cOIP,~unément <!'u~ Cerp'en~in ,
Va)'.
Jl
E'F
R
!–
!?!"j{!'NT,
SERPpnll',
&f r
l
11
y
..a
ditférentes (ortes
d',,la"1bip;
¡l
Y
en a un on
}e cháplteau
&
le matras en cucurbite fon!
d~ux
pieccs fé–
paré~s
i
&
un .amre 011 le chapíteau el! joint herméti–
.quement
3.
la cucurbite.
&e. Vo)'e>;
e
u
c
U
R
B IT
E,
M
A 'T
R
A S;
R
ú
!
PIE
N T • (
M)
"
,
~
Voye>; Planche
IlI.
.de
e
himie, fig,
J, un
alambi,
d~ verr~,
compofé d'un malras
,1
~
d'ul) cjJapiJeau
~ .
flg,
L
un
ola"1b;c
de v.erre, compofé d'un!! cucurbl–
~e
1,
d'un chapíteau
lubul~
B,
e
tube du chapiteau ,
p
bquehc:m
9l!
.tu~e.
Fig.
3,
un
alombic
de
m~ta¡;
d
1
a
cucurbl~e;
.e
le chapiteall avee foo réfrigérem;
f
le
récipient ,
Fig"r:
4.
alambiCJ
au bail)-marie, on fe font
!!n meme tet]1S plurteurs dil!illations;
i
petit fourneau de
fer;
!
pain-¡:parie;
m
puverture
p~.r
laquelle on me! de
l'eau dans l!!
b~in=rnarie
¡¡ mefure qn'elle
~'}'
confume ;
mm
ehapiteaux des
alempip,
Q
oo
réeipiens .
Fit.
5'
alam–
bie
au bain
d~ fabl~
on
d~
cend're ;
a
por~e
du cendríer;
b
porte du foyer
i
e
capCnle de la eueurbite;
fI
le fa-
ble;
e
chapítean de
l'alcmbíe .
' ,
•
· A!--
f\
¡Yl
O
~
1' ,
~
H
¡
'E N S,
(,ri de ehaffe . )
on
parle am{j a un chien lor[que le cerf cfl pris
1
· A L A
N" .,
f. m.
en
V~ncrie
1 e'efl un gros chien de
l'efpece
d~s
dogues .
-.
· ,. A
L
A
N,
(G /Pg . )
ville de Perfe daDs
l~
provinee
d' Alan dans le Turquel!an.
" ,. 'ff
L A
N
D,
(Glog :)
'¡le de la mer Baltique, en–
tre
la
Suede
&
la Finlande ,
" ,. ff
~
A
l'f G U E R, (
G/ag.)
ville de Portugal dans
l'Eflrernadoure .
.
AL .-\
N
1
E R,
r.
m.
(Jllri{prttdence
. )
élan~
quel–
"lues aociennes couturncs, e[l le nom qu'on donnoit ii
~es
gens qui formoienr
&
élevoienr pour la chaffe
des
~ogues
venus d'ECpagne, qu'on nommoit
" Ians.
( H )
,. A LAQU E, f. f.
po)'e>;
PLINTH~
011
OR-
LJ;T ,
-
.
, tA L A Q U E CA, pierrc qui fe trouve
a
Balaga–
te aux
lqde~,
en petits fragmens polis, au xquels on at–
tríbue la vertu d'arreter le [ang, quand ils font appli–
gués ¡!xtérieurerncnt.
~
fe
L 'A
R
BE
S,
c'el! [elon Marmol, )e nom qu'
pn
dó~ñe
llUX
p.r~bes
voleurs établis en Barbarie .
,1
L
/1
R E S,
f,
m,
(Hift.
ane.)
felon quelques an–
cieos .Amellrs,
~wient
!lne cCpece de milice che? les
R ornains; aín{j appellée du f110t latin
ala,
a caufe de
leur agilité
&
de leur légercté dans les combats.
· - Qudqucs-uns yeulent que y'ait éré un peuple de Pan–
poni!:': '
ln~is d'~utres,
avec plus d'apparence de rai(on,
ne prennellt
piares
que
pqur
nD
adJe~if
ou une épi–
fhete qu'ou' donnoit ¡¡ la
C~va lerie,
paree qu'elle éroir
~ollJours 'plac~e ~ux d~u?l ~tles d~ l'arm~e;
'rai/a n pour
J~quepe
On appellQit un cnfps de
c~va,ene
ala.
V,
A
¡–
LE, CAVALER I E,
&, ." (G)
· 'M';¡dr/
1\
i.
A
t
R E S,-
mufr"l! AL.A1\..ES ,
en Anato:
mie.
{/oyn
P
TER Y
GOl
DE.
" · AL fl. RGUER, v. n,
terme de Marine,
qui {j–
gnifie
s'éloigner
d'flne
cate
Ol}
1'on
craint
d'/,hofffr
Ol/.
de
demeurer
alra¡";
In.ti!)
il
ne lígni6e pas
avancer
en
YIltr
&
prendr. le large en fortant d'"n pore . L a ehalo,,–
pe s'efo alargué. du navire.
(Z)
•. AL
i)'
WM
E,
r.
f. ce mot vient de l'Italien
al/'ar-
YI.Je,
aux :lrrpes
.
.
.
...
P ojie d'dlarme
el! un efpace de terrein qne le Quar–
tier-M,E'tlre Mn.éral ou Mqréchal gélléral
d~s
Logis af–
figne a un régllnCnt, pour
y
marcher en cas
d'
alarme.
, .
P ofo. "J'alarm.
dans une garnifon, el! le lieu on cha–
gue
r~gírn~.ut .
a ordre de
v~nir
fe
~endre
dans des oe–
calions ord1l1alres .
_.
f'iece~
d'
q!lrr¡ne
~
e'el! ordiqairement 8uelques pieees
de canon plaeécs a la t¿te du champ,
&
qui Com toll–
jours
pr~tc~
a
etre, tirécs au premier <;oqunande¡:pem,
foit pour qonncr 1alarme
~ux
troupes on les rappeller
dn fourrage
¡
en
cas
que l'ennemi fe tnette en <.Ievoir
d'avancer poui attnquer l'année .
(Q)
, !
A L
A
S TP
R,
c'cl!, felon Claudien
1
nn
tre chevaljx cjui tiroient le char de Pl¡non lor
leva Proferpíne. Le
!n~m~
Po;!te nous apprend que
trois autres s'appelloient
Orphn/us, JEthon,
IX
Nyélhltu,
oorns quí marouelH tOUS quclque crofe de Combre
&
de
funefle. On dónne
~ncor\!
le nom d'
olajior
:\
certains
eCprits qui ne cherchent qu'a nuire.
, !'
L A
T
Ji:
R N E, f. m. en Latin
"Iaterntu
"
arbrif-
>
ALlf.
reaQ. .dont ¡es
~eurs
font .d'une feule feuille en forme
,d'entonnqir,
&
découpées en étoile
a
cillq pointes.
l1e
pillil qui fort du fond de ces fleurs devient dans la fui–
te un fruit QU une paie ' molle, remplie ordinairement
de
~rois
femences , qui Ont d'ur¡ c6té une boffé,
&
de
l:gutre des 'l-ngles. Tourl)efor¡ 1
!n/l.
rei herb. Voyez:.
.PLANTE.
(l)
. ,. 01)
en fait des
~aies
i
on le met en buiffon dans
Jes plates-bandes des parterres.
Sí
on le veut encailfer,
on ¡ui dOll'ler'l- un tiers de terre
a
potager
&
un tiers
de terreau de couche. On employe fes feuilles en gar–
garíline
~~lIS
les inflan¡matioos de la
boueh~
IX
de la
gorge.
~
1\
L
ff
T
E.
1,
(G /og. )
ancienn¡: vil'e d'ltalie, dans
la Campagne de Rome,
L ong.
39, f8.
11ft.
41. 44.
,. AI.¡AVA
ou
A,I.¡ABA,
( Géog,)
peúteprovin–
ce d'Efpagne; Viétoria en el! la ¡:apitale.
,. ALAULT
ou
AI.¡T,
(fIéog.)
riviere de
l~
Turquie en Europe; elle fort des momagnes qui fépa–
ren t la
Mold~vie
de la
Tqnfy lv~ni!!1 ~
fe jette dans
le D anube.
A· I.¡
A
U T
~
E,
terme de M arine;
ce mot efl pro–
noneé a haute voix
p~r
l'équipage qui el! de quart ,
lorfqu'on COllne
l~
clQcne! pour marquer le nombre des
horl q¡¡e~
du
qu~rt;
&
ce la fait connottre qu'ils veillent
&
qu ils entendent !?ien les coups de la cloehe .
Vo)'e>;
QUART.(Z)
A
I.¡ B
A-,
r.
f.
( e ommace )
petite monnoie d' Alle–
magne, en
fran~ois
d,mi-piece;
¡:lle vaut huit fenins du
pays ,
&
le fenin vaut deux denlers; ain/i
l'fllba
vaut
fci7.e denícrs· de France ,
Voye>;
D
E N I E R •
• A LB A DAR A, e'efl le nom que les
Arab~s
don–
nent
i
l'os féfamoide de la premiere phalange du gros
ortei l,
11
ell
environ de la grefreur d'un pois . L es
,Ma~
gícicns lui amibuent des propriétés furprenantes, com–
me d'¿tre índeflruétible, foit par J'eau, foit par le feu,
C'cl!
lii qu'en le gerrne de l'homme que Dieu doit taire
.éclorre un jour, quand
il
lui plaira de le reffuCcicer .
M~íS
laiffons ces contes ¡¡ ceux qui les aifIJent,
<\
ve–
nons ¡¡
p~u~
faits qU'pn peut ¡¡re p¡us CérieuCement .
u–
re
)eune (emme étoit Cujette
a
de fréquens acds d'n.;
ne maladie conVlillive contre laquelle IOUS les remedes
avoicnt éehoüé. Elle s'adreffa
a
un ¡nedeein d'O xfort
qui avoit de la répotation,
&
qui lui ayant annoneé
que le petit os dont il s'agit ici étoit 1 par fa disloca–
tioo, la
vérit~ble
caufe de fa maladie, oe balan"a pas
a
lui propofer l'amputatíon du gros 0rteil. La malade
y
¡:onfentit
&
rccouvra
la
fanté, Ce fait, dit M . Ja–
mes, a été éor¡ffimé par des
t~mo¡gnages,
&
n'a jamais
été
r~voqué
en doute.
M~is
i1
y a plus:
il
dit !lue lui–
m~me
fut appel¡é en
1737
che? un fermier de Hen–
wood-Hall pres de Solíhull dªns le Warw iekshire,
&
qu'il le trolJva affis fur le bord de fon lit, on
il
di–
foit avoir paffé le jour
&
la nuit qui avoit précédé- ,
Cans ofer remuer, parce que le
moilldr~
mouvement du
pié lui donnoit des eonvulfiQns, I.¡e fermier ajol\ta qu'il
y
avoi~
qljclques jours .qu'ils s'étoit
bleff~
an gros orteil de
ce pié,
qp~
cene b)effure lui avoit donné des convullions,
&
qu'elles avoient
con~inué
depuis
I
Comme
~es
fl'mpto–
mes .avoiem
qu~lque'
rap¡>ort ayec ceux de l'épileptie,
M. James l'interroge¡l,
&
n'en apprit autre chofe lioon
qu'il ' s'étoít t011Jours ' bien porfcí
1
S ur cene r¿ponfe il
lui
apport~
des rerl}edes qui furen t tOIjS ¡nutiles ,
&
cet
hOl1}rne nlourut au bou¡ d'une
feflJaln~.
•
L B A N 1
( S.)
Géog.
petite ville de France daDs
le bas Languedoe, diodfe de M ende.
,. A L B A N
1E,
( Glog. )
province de la Turquie
Européenne fur le golphe de Veni[e.
Long.
36. ] 8.
39.
too
lat.
39-43· 30.
.
,. AL
n
A N 1
E, (
Géog, (I"c.
)
c'étoit une province
d'Arte
{jcu~e
(ur la mer Cafpicnne
1
Elle avoír cene mer
a
rorient, l'lbérie ii l'occícjenr,
Ot
l'4tropatie au n:idi.
On prétend que la Géorgie orienrale ou
l~
Gurglltall
e[l
1 '~ncienl]e
Albanie
artatíque.
.
La partie
d~
la Grece quj portoít au¡refois le
110m
d'Epire ,
ou la
parti~
occidentale de la
M.ac~doine,
s'ap–
pelle
A/banif .
. 11 Y
a une provinee de l'Ecoffe feptentrionale qui por–
te éncore aUJourd'hui le n9rn
d'Albanie,
qu'on a quel-
quefois donné
a
l'EeolTe entiere. .
.
• I\LBAN
I
N
ou ' BA~BANUf,
f. m. peuple
qui, [elon M . d'Herbelot
1
n'a aueune demeure tixe,
f\lblil!e de fes cour[es fur la l'fubie
&
l' AbylIinie,
a
lme
lan~ue
qui n'el! ,!i l'lI,rabe, ni le Cophte, ni l'A–
pylIin,
&
fe prétend defceqdl! des anciens Grees qui
Ont poJléd¿ l'Egypte depuis A lexanare. '
. '!'
ALBANO,(G/og.) villed'ltalie Curun lac de
rnemc