n u
e
a
E
v.
e
tt
A N
n
1
s so
it.
:+r
&
l'éveque notre fils. Vous aurez ,
íi
vous
n'y
mettez pas d'oppofition, un tréfor dans
Clémentine ,
&
méme un rréfor avec elle.
Notre deifein eíl: de faire en
fa
faveur tout
ce que nous aurions fair
ú
fon affeélions'étoit
déclarée pour le mari que fon pere avoit en
vue, Vous
pouv~z
juger que notre filie ilous
eft
chere... fans quoi...,
J'applaudis
a
l'indulgence de leur affec–
tion.
Je ne puis dom:er·, M. Grandilfon, que
vous n'aimiez c1¿mentine plus que toutes les
autres femmes.
11
eíl certain , mon ·cher doél:eur, que je
n'avoisjamais vu de femme pour laql!lelle
j
'eul.fefenri plus d'inclination. Je ne m'étois
défendu que par la haute opinion que j'avois
de leur rang, par des motifs de religion , par
la confiance que toute cette famille avoit eue
· pour moi,
&
par la réfolution que j'avois
formée, en commencanc mes voyages, de
J1e me marier jamais a;,.ec une,étrangere.
J'aífurai la marquife que j'étois fans enga–
gement · que, n'ayant pas eu la pré{omp–
tion d'afpirer au bonheur qu'elle me faifoit
envifager'
a
peine ofois-je me flatter que
ce flir
a
moi qu'il fut réfervé. Elle
répon~
dit qu'elle m'en croyoit digne; que je con–
noilfois roure
l'
eíl:ime dom
fa
famille éroi.t
remplie pour moi; que oelle de Clémentine
n'avoit pas d'autre fondement que la vertu;
que c'étoit tnon cara&ere qui
faifoit
mo11
poph~ur?
c¡.ue
l'opinic:m
~h1
monde
11'av9i~