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nu

CHEV.

·GRANntssoN.·

4J

paroiffoit venir des·Girconíl:ances , lui

don–

noit plus·

d'

écla't qu'elle

n:'

en pouvoit tirer de

la plus riche parure. La marquife

fe

leva. Je

m'empreffai de baifer

fa

main. Elle me die:

vous· eres·le feul, Chevalier, le feul de rou:s

les hommes,

a

qui je puiífe faire

ce

compli–

melil.t avec bien{eance;

&

{e

tournant v<Srs

fa

fille : Clémentine·,

m:i

chere·, vous ne dites

rien au cheva1ier? La charmante·Clémentine

E<Snoit les yeux baiffés:, avec qui:tlques mar–

ques d'altération

for

fon teint. La voix lui

manque, reprit cette indulgente mere, mais

je vous répo.nds de

fes.

fentiments.

J,ugez, cher doéteur

7

cambien j·e dus etre

1:0uché d'une

íi

flatteufe réception, moi

quí

.He favois. poi11.tencare ce qu'on avorr

a

rn'

or–

donner. Epargnez - mor , chere marquife·,

dis-je en moi-meme

!

N'exigez ríen qw bleífe

-mes príncipes,

&

prenez pour vous le monde

entier avec toute fa

gloire

&

fes tréfors ,

je

fetaii. aífez r.fche,

1.1

v.o.us

m'accordez. vo.tre

Clémentine.

·

La marquife pla? fa

fille

dans

fon propr..e

fauteuil. Je

m'

en approchai. Maisquel mo_yen

efe me livrer

a

ma reconnoiífance ' lorfque

j'étois combattu par nies cra:int-es

?

Cepen–

dant je

m'

expliquai avec aífez

d~ardeur,

pour

faire attribuer

a

mon retpeét une retenue

dont

il

n'éroit pas

la

feu1e caufé.. Enfuite,

ayant avancé un fauteuiL pour la·marquife',

f

en tirai un pour moi ·par fon ordre. Elle

.prit

une. de.$ i:nain5" de

!a

filie

pour ex.circe: