nu Cnl!v.
GitANnrssoN.
T~>f
femme doit
lui
paro!tre abj'eéte, lorfqu'il
peufe
a
fa
Clém.enrine
L
Er
puis~
qui pour-–
roit
fe
contenter
de
la moitié
d'rm
ca:iar
?·
La
moirié
7
e'eft trop
d.ire
7
s'iJ
retid juíbce
i
ce prndige de femme. Ma confofation,
lorfque je
l'ai
i.regai:dé cotlilme penlu póur
moi
>
a
t0t1j01:irs été
d.e
le
vo·ii:
a.
eme
fernme
ci'un mérite
fi
fopérieur.
Mais qui feroit capable de refofer de
la
cornpatlion
3:
e~
glorieux homrne
?
O
ma
chere
!
je me perds dans un tel fujet. Je ne
fais que vous dire. S'il falloit vous rapporter
ce que j'ai penfé, quelles ont été mes émo–
tions en lifont tant8t
fa
gélléreufo pitié ponr
le comte de Belvedere,
tant&c
fes nobles
&
refpeél:ueux d.ifcoms
a
la premiere de tomes
les femmes, les. ag1tations. de certe incom.–
parable Clémentine, avant que de 1ui livrer
fon écrir........ cet écrir qui furpaffe
tou.t
ce
que
j'ai
Jamai:s }u de
notre fexe, a1.1JU
CObl;–
forme
l~éanm.oins
a
h.
condu-i.requ'elle avoit
tenue,lorfqu'm'l comq
at fans ex:emp~e,
entre
fa
reti~ion
&
fon arnour , 1-ur
.f avoitcoifré;
fa
raifon,,
fa
dHicarelfa,.
fa
fen:n.e-ré dans
les
príncipes de
fo.
foi,
en u
n mQt, tour
les grands ruaits de
f
un, de Fawré , d.ans les
différenrs
jours fous lefquel>
ils paroiílen>t
mus denx ; s'iil
falloi1:
vous
d.ire
tour ce qui
s'eíl:
pa.ffé da ns rnon ca:ur , un vol
umeferoit
bien
él'Oig1~é
de
[11ifu:.e
,
&
je ne
fa.isquell'e
mefure pourroítc011J.tenirmes
hrna
e.>. .fl
Cuffiit
de veus avouer ql!l<e
p<t1~dant
deULX jours
&
Jeux auits , }e
R'ai
pas.
eu~
la
force
d.e
me
I
2.