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á'autres fujets d'admirarion. Mais comme la
Janté
de Clémenrine
fe
fór1ijie de jaur en jaur
~
fans que fa réfoluuon s'ajf(nbltffe, le prélat
&
le pere Mareji::otti
,
qui cqmmencent
a
fe
pro–
mettre un égalfucús de ces deux cr1tés , cedent
aufecond avec beaucoup d adre:f{e,f:I femblent
Je
refroidírun peu pcur le c!tevalier. lls'en apper-
9air.
Jl
ne di.ffimulepas au dac7eurBar/et
q11(;
fon
orgueil en efl ble.f!é. Cependanr
,
ji
dele ·
J
fes
prwcipes,
il
eff
le premier .¡u1 propnfe
J
la fa–
mille d'ej(ayer par l'abfence,
Ji
la raifon
f;
le
courage de Clémentinefont capables defefou–
tenir. ll luif'aitgoúter
fui-
méme leprojet de fon
éloignemenc.fous desprltextes qu'elle approun:.
Mais elle.fou!taite un commercede lettres avec
lui jufqu'Jfon retor1r,
fl
la marquife y confenr.
11
part pour un mois, dans le de.ffein de L'em–
ployer
a
1ifiter plufieurs vil/es d'lralie.
L E T T R E L X X X.
Miladi
G~
••••. '
a
mifs
By
RON.
( Ea
lui eavoyaat les lettres de fir Cha1les. )
Londres , 7 d'Aodr,
B
N
I)ieu, ma chere, quelles letcres je
vous envoie
!
Je ne perds pas un momenr.
Le doél:eur Barlet, qui les a res:ues il
y
;a
deux heures , a fouhaicé qu'elles vous
fuf–
fent envoyées par un expres. Je les ai lues
avec ma freur, qui eíl: ici depuis quelques
Tome VI.
'
1