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IJ~1.

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s

T

o

I R E

nacre íituation réelle, parce que l'efpérance

qu'il

~n

auroit

con~ue,

n'auroit .fait qu'aug.:.

mencer fon défefpoir ,

fi

le focces avoic écé _

différenc. Je me

luis

contenté de raifonner

avec luí for fes écranges iiltentions,

&

de luí

renouvellerma promeife. Il écoic fi tranquille

en me quittant, qu'il m'a remercié de me¡

avis. Son valer

&

les miens ont paru forc fur·

pris de nous voir defcendre en bonne incel–

ligence)

&

meme avec un air d'amitié. J'ou–

bliois de vous dire qu'en traverfanc mon an–

tichambre , le cornee a laiífé fm: une cable

fes deux pillolers. L'ouvrage en eft curieux·, -

~n'a-e-il

die, acceptez-les.

Cu

ferois-je

a

pré–

fenc,

&

dans queHes difficultés feriez-vous

engagé, vous, étranger

&

protefta·nc? .•. Je

ne les confidérois pas , car come ma malice

devoit tourner concre moi-meme.

Je finis cecee relaeio11 du jour; mais elle

ne partira que demain , lorfque je faurai ce

que le cours du eemps aura produic. Cher

ami

!

quel fopplice que l'incerrirude

!

Peuc–

étre me croirois-je plus obligé

a

la pacience)

íi

mon embarras

&

mes chagrins m'écoient

yenus·par ma fauce.

N.B.

Les vifitesde plujieurs joursproduifePt

de nouvelles jeenes,

&

par conjlquent de nou-–

velles lettres, qui repréfentent C/lmentine tou–

jours attaclzle Jfa réfolution, quoiquemortelle·

ment combattue parfon amour. La religiop du

chevalier eft mife

J

de nouvelles ipreu1,es, De

part

fl

d'autr.e

1

01z,ne voit que

de

la

nobleffe

fl

'

11'autres

-