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s

T

o r

n.

E

crainte, ai-je dit a-cet homme. Votre

tna1tre

eíl: homme d'honneur. Pour le monde ·en–

tier, je ne voudrois pas lui fake le

moi~dre

mal,

&

jeme flatte de

n'

en·avpir pas a crain–

dre de lui.

Je me fuis

haré

.de monter. C'eíl: vous·;

Monfieur ? Pourquoi ne

m'

avoir pas fait

avertir (en lui prenant i;endrement les

d~ux

mains,

&

par une double raifon) que·votre

deff.ein étoit de me faire cet honnetl1:, ou du

moins, pou.rquoi ne pas me·Jaire dire que

vous étiez ici ?

·

Vous faire

dire~

... Vous arracher de votre

Clémenrine? Non, (d'un air mélancolique ).

Mais apprenez·moi -ce que vous avez conclu.

Mon arneeíl: irnpariente de le favoir, Répon–

dez-moi en homme d'honneur.

1

11

n'y a ríen de condu, Monfieur.

Ríen

ne peut 1°.eu-e avant que les intentions de

Clémenüne f-0ient entiére.m.ent connnes.

S'il

n'y

a point d'autre obíl:acle....

ll n'eíl: _pas léger. Je vous affiue que

Clé–

rnenrine fait ce qu'eUe vaut. Elle veut mettre

un juíl:e príx au .don de

fa

main. Dans fes

j)lus grandes abfeinces, elle a toujoms con–

fervé un vif fentiment de cette délicatetfe

,qui diffíngue une fei.nme d'honneur ; &

maintenant on la voit édater dans fon lan–

g.age

&

dans fes aél:.ions, avec un nouveau

1uíl:re. Elle fera d'autant plus de difficultés,

que

f.a.

famille en fait moins. On ne précipi–

tera ríen; &

íi

vous·en pouvez tirer que}que

.avanrag.e

pour

vot;r~

repos

~

j;ar vous ne