19.+
H
1
s
T
e
1
n.
E
jours. Que vous dirous-nous ? Parlez vous.;
merne,chereHenriette.Plus d'incertitüde que
jamais
!
Chere 6Ue
!
dires
~
dites-nous ce
que vous en penfez.Sij'enrrois dar.s le moin·
dre dérail, j'appréhenderois de ne pas finir•
.Adieti,
mon amour.
L E T T R E L X X X I.
Mif's BY Ro
N,
J
miladi G..
••••
Au cháteau de:
Sclby ,
11
d' AoOn
V
o
u s
dire,
ma
chere miladi , ce que je
penfe des lerrres gYe vous avez la bonté de
~'envoyer
par un expres, il rn'efl plus aifé
de vous apprendre ce qu'en difent ici mes
:imis. Ils croicnt y trouver un fujet de féli–
citation
pour rnoi.
Mais puis-je me félicite!
moi-meme ? Puis-je recevoir lems félicita–
tions? Une Clémenrine
!
Un ange, -plus
digne mille
fois
de
!ir
Charles Grand.iaon,
qu'Henriette Byron ne peut jamais l'etre
1
Ql¡l'eUe eíl: grande,
&
que je fuis perite
a
mes yenx
!
Elle ne peut manquer d'etre
a
lui. Elle fera
fa
femme. Elle doit !'erre. Elle
~hangera
de réColution.
V
otre frere,
íi
on(–
~ant
ckuus fes foins
!
·Elle,
íi
vivement prelfée
par
l'a1ucm:
!
Elle
!·•••
Qui fe B.attera
j~rnais
dº
htenü: place
d~ns
le cc:rur de
fir
Charles
aprts elle? Mon orgueil ,
rna
chere, eíl:
ah>fol~ment hai~oui.
Moi
!
Ctie
toute autre