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!>U

CH1!Y.

Cn.ANlH-SSON.

~Of>

te chevaüer , mon amour

!

lui a dic

.marquife. Clémenrine, recevez nocre ami.

Elle

s'eíl levée, avec

un

air de dignicé

&

de

douceur. Je me fuis approché d'elle.

Elle

ne

m'a pas refufé

fa

rnain. Le général, Ma•

demoifelle,

&

fon

époufe, rn'onc chargé,

pour

vous:

<le

leurs plus cendres E:ompli–

ments.

Ils

vous ont rec;u

fans

doute coml'ne

r

ami

de

toute la famille? Mais, dites moi, Mon–

lieur (en fouriant), votre voyage n'a-c-il

pas

été plus long que vous ne l'aviez promis?

De deux ou ttois jours feulernent, Made–

moifeHe.

Seulement? Moníieur. Fort bien. Je ne

vous en fais pas de reproche.

Il

n'eíl: pas

furprenant qu un hornme

fi

déftré ne foit pas

toujours le ma.ltre de

fon

temps.

, Elle a paru héíiter. Elle a regardé

fa

mere,

moi , la terre , avec un embarras viíible.

Enfoüe , paroi!fanc douter de

fa

fituarion,

~lle

(eíl: tournée, en portant fon mouchoir

a

fa

rete.

-Mad. Bemonc , ai - je repris pour faire

• diverfion

a

fon

chagrín, vous embra!fe avec

touce

fa

cendre!fe.

Vous avez pa!fé

a

Flor.ence, Mad. Be–

inont, dices-vous ?

A

Florence

!

&

cou–

rant vers

fa

mere , elle lui a paífé (es deme

bras aurour du cou. Elle a caché fon

vif~e

,

dans fon foin......

O

madame

!

Sauvez-rnoi,

fauvez-moide moi-meme.

Je

ne

fais plus

ou

~.{Qis.