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-.u

C'H!V.

GttAN'ntssoN.

Ío7

'&:me faire partager la joie de cet heureux

changement.

J'

ai cec¡u les plus téndres mar–

ques de fon affeétion.

'r

out le monde, m'a–

t-il

dit, commenc¡oit

a

reprendre- du courage

&

de la fanté.

Camille, paroiífant bient8r, m'a fél.icité

de mon rerour, de la part de

fa

jeune ma'.i–

treífe,

&

m'a dit que dans un quart-d'heure

elle (eroit prete

a

recevoir ma viíite. Mira-'

de

!

miracle

!

s'eíl: écrié cene bonne femme.

Vous ne verrez ici que de la joie

&

de l'ef–

pérance. En forrant, elle m'a dita l'oreille:

Ma

ma1treífe prend une robe de couleur,

pour vous recevoir. Elle ne paro1rra plus

devant vous en hab-it noir. Vous touchez au

terme ; car le général a marqué

a

fon pere,

qu'il donne abfolument les mains au choix

de

fa

freur.

Le prélat eíl: entré. Soyez mille fois le bien

Yenu

a

Boulogne, m'a-t-il dit affelhteufe–

ment. Vous triomyhez, M. Grandiífon.

Clémentine a la di{poÚtion de

fa

deíl:inée;

celui qu'elle rendra ma1tre d'elle, quel gµ'il

pniífe erre, poifédera réellement un tréfor.

Le marquis, le comte, le pere Marefcotti,

qui font arrivés fuccetlivement, m'ont fuir

les plus vives care!Ies. La marqui(e, en.trant:

aufütot, a prévenu mes complimenrs par Je9

fiens. Votre retour , m'a-t-elle dit,. répond

a

notre impatience. Nous avons compré

les jours.

J'

efpere que·la joie de Clémenrine

ne fera pas au

detfos

de

fes

forces. Vous

connoilfez

l'

excellence de fon creur

r

.E '