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'!1ari, (,/
d'
autres inádents
dnmejfiques.Ontloi~
ltre
01
1
erti que mifs
By
ron étoit retournle dans
fa
f'amille.
Mtladi G..•
qui ne peut Yivre fans
elle, prend
,J
lo fin le parti de
s'y
rendre au.ffi
;
- &
de
la
elle
écrú
a
ja
faur
mtladi L ....
tout
ce qu'efle voit d'agriable autour d'el/e; c'efi-2-
tjire, les ezcellcntes qualités desparents dtfon
amie,
&
les plaijirs q.u'on ne ce.Jfe pos de lui
·
procurer,La langueur de mifs
By
ron ejl décrite
a~·ec
tour l intérét d'une vive amitié. Son mal
n'ejl inconnu aperfonne,
&
la"vertueufe noblcffe
de fes fentiments le fait refpec1er.
Enfi~
trois
-
lettreS tlu c!zeYalier arrii•ent au doc1eur Bar-le1.
LE T T R E LX X 1V.
Le
clze.valier
GRANDISSON
'a
M.
IJARLBT.
:Florente,
s
&
16
Juill~.
JE
ne compte pas moins de trois femaines,
depuis la date de ma derniere lettre ; mais
cet intervallen'a
pas
été
fans
agrém@nt pour
moi.
J'
ai
rec;:u des nouveUes de tous
mes
amis _
d'
Angleterr-e
&
de
France ;
&
ceHes qui
me
font venues de Boulogne par le prél:t11, le
pere Marefcotü
&
M.
Lowther, ont toujours
~té
des plus heureufes. Le prélat me marque
particuJiérement q_u'on attribue aux favora–
bles progres de Iafanté d.u frere, l'eípérance.
dont on
fe
Harte
a
préfem de
voir
la
f~ur
~ientót
rétablie.