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R.

A N D

J

s so

N.

,7

C'eft mon fentianent,

dit

le pere,

em

baüfanc

b

tete.

Que puis-je ajouter

?

a continué la mar–

quile. Nous fommes tous dans un mortel

e1ubarras. On me charge d'une commillion

c¡ui m'affiige. Soulagez mon creur, Cheva–

ller, en m'épa:rgoant une plus longue expli–

cation.

Il n'en eíl: pas befoin, Madame. Je croís

vous entendre. L'ingratitude ne fera jamais

un reproche que je puiffe faire a votre

fa–

mille. Vous, mon pere, dites-moi (fuppofé,

du

moins , que vous puiiliez faire en ma

faveur ce que je ferois pour vous), fi vous

étiez a ma place (

&

VQUS

ne fauriez etre

P.lus convaincu de votre religion que je le

Luis

de la mienne) , dites-moi !=e que vous

feriez ,

&

par conféquent ce que vous jugez

que je dois faire.

Le pere_m'a répondu qu'il ne pouvoit

adrµettre une foppofition de cette natw-e •

mais efi-il poffible, a-t-il repris, que l'erreur

pwffe avoir fur un efprit raifonnable,

la

meme force que la vériré?

Vous n'ignorez pas, lui ai-je dit ; que

cene queíl:ion fe réduita ríen,

&

que j'ai le

meme cdroit de vous la faite a mon tour.

Mais continuons nos prieres pour l'heureufe

Jin qui nous intéreffe tous , pour le parfait

rétabliffement de notre chere Clémentine.

Vous etes r.émoin, MaClame, que je ne cher–

che point a me faire valoir aupres d'elle.

Vous voyez avec quel refpeét jeme conduis.

Tome Vl.

E