DU
Cmiv.
G ·n.ANJJ1ss .0N~ ~j
lamru;q~ife
s'imagine qu'il lui reíle
quelqu~
ÍOllvenir confos del'ancienne prévention que
le
général
&
ce _per_e avoienr contre moi,.
&
que me voyant réconcilié
av~c
1e prernier',.
ellé a
fouhaité auíI1 roa ..réconciliation avec
l'autre.
J'
ai cru vous devoir , mon cher _doél:eur ,.
ce dérail des agitations d'une
íi
chere per–
fonne dans nos deux premieres
~ntrevues,
Toiade monde el'l concoit éléja de meiUeures
efpérances.
A
préfent que , par une révolu–
tion
fi
forprenanre, elle eíl: fortie du profond
frlence ot\ elle éroir comme enfevelie ,
&
qu'elle commence
a.f
uivre un difcours; quoi–
qu'avec fort peu de liaifon, nous av:ons jugé
qu'il eíl: ímpoi;_mnt de ne pas la fatiguer par
de trap longs entretiens. Camille a recu ordre
de l'amufer dans fon appartement,
&
de ne
lui rien propofer que de fiatteur pour fon
imaginarían. Je lui .ai demandé la permiilion
de me retirer : elle m'a répondu : mais
j~
vous re' errai- done avant .von·e rerour era
Anglererre? Sans dome,
&
tres-fouvent,
h1i
;i.
dit le gér1éral. Elle eíl: forrie forr fatisfaite
avec Camille.
Notis forn
mes paf fés dans l'appart.ement
.de J.eronimo,
que.la jeu.nemarquife a réjoui
heaucoup par
le réci.t
_c:!,e· cequi ,s'étoi{ paffé.
·ce généreux ami vouloit que ce;: heureux
changement ne fi1r attribué qu'a m'a pré–
fence;
&
le général a protellé qu'a !'avenir'
il
emreroit avec joi.e dan$
tout~s
les :réfolu•