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s
SON.
~,
.fille
vous
rt'
avez
den faitq:ui
;µt pu
l~óf
fenfer. Elle a quitté les bras,de
fa
mere. Je
me
fuis
approché d'elle. Tantot, m'a-c-elle
dit, j'ai cru que ce n'étoít pás vous q1.ü
étíez affis proche de ñ1oi ; ma:is , apres votre
départ, j'ai reconnu que ce ne pouvoír erre
un autre que vous. Pourquoi vous eres–
vous retiré
?
vous ai-je caufé quelque
dé-
plailir?
.
Vous n'en etes pas capable, Madetnoifelle;
mais vous m'avez ordonné de vous quitter
>
&
j'ai du vous obéir.
Fort
bien (en regardant
fa
mere). Maís
que luí dirai-je, Maclame?
J e
ne me rappelle
point ce que je voulois luí dire. Et s'avan–
~ant
d'un air empre!fé vers
fa
belle-fceur :
vous me promenez , Madame , de ne rien
dire contre moi
a
ma couíine Daurarta. La
jem1emarquife
a
répondu , en prenant
fa.
ma.in, qu'elle ha.>lfoir Daurana,
&
qu'elie
n'aimoir que
fa
chere Clémentine.
Oh
!
je ne lui fouliair_e
la
haine de
per~
forine ....
&
fe bailfant vers moi, elle mya
demandé qui étoit cene dame. Le général
s'eft réjoui de cette queíl:ion : c'étoít
la
pre–
miere fois gu'elle avoit paru faire attention
a
fa
belle-freur ,
&
qu'
elle avoit demandé
qui elle étoít , quoiqu'elle en rec;ut des mar–
ques eominuelles de tendreife.
Je lui ai dit que ·cette dame étoit
fa
freur
>
& la femme du généraI fon frere.
11a fa:ur.
!
Quelle
app~-~enc,e
?
Comment
ne
l
auro1s~1e
pas
fu
juíqu a prefent?
~