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v.

Gn.AN

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s

SON.

~,

.fille

vous

rt'

avez

den fait

q:ui

;µt pu

l~óf­

fenfer. Elle a quitté les bras,de

fa

mere. Je

me

fuis

approché d'elle. Tantot, m'a-c-elle

dit, j'ai cru que ce n'étoít pás vous q1.ü

étíez affis proche de ñ1oi ; ma:is , apres votre

départ, j'ai reconnu que ce ne pouvoír erre

un autre que vous. Pourquoi vous eres–

vous retiré

?

vous ai-je caufé quelque

dé-

plailir?

.

Vous n'en etes pas capable, Madetnoifelle;

mais vous m'avez ordonné de vous quitter

>

&

j'ai du vous obéir.

Fort

bien (en regardant

fa

mere). Maís

que luí dirai-je, Maclame?

J e

ne me rappelle

point ce que je voulois luí dire. Et s'avan–

~ant

d'un air empre!fé vers

fa

belle-fceur :

vous me promenez , Madame , de ne rien

dire contre moi

a

ma couíine Daurarta. La

jem1e

marquife

a

répondu , en prenant

fa.

ma.in

, qu'elle ha.>lfoir Daurana,

&

qu'elie

n'aimo

ir que

fa

chere Clémentine.

Oh

!

je ne lui fouliair_e

la

haine de

per~

forine ....

&

fe bailfant vers moi, elle mya

demandé qui étoit cene dame. Le général

s'eft réjoui de cette queíl:ion : c'étoít

la

pre–

miere fois gu'elle avoit paru faire attention

a

fa

belle-freur ,

&

qu'

elle avoit demandé

qui elle étoít , quoiqu'elle en rec;ut des mar–

ques eominuelles de tendreife.

Je lui ai dit que ·cette dame étoit

fa

freur

>

& la femme du généraI fon frere.

11a fa:ur.

!

Quelle

app~-~enc,e

?

Comment

ne

l

auro1s~1e

pas

fu

juíqu a prefent?

~